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Événements contenant la ou les locutions cherchées



28 événements affichés, le premier en 1559 - le dernier en 1670


Antoine III d'Estrées - par François Clouet en 1560 Françoise Babou de La Bourdaisière

Mariage d'Antoine III d'Estrées avec Françoise Babou de La Bourdaisière

Antoine III d'Estrées épouse à Chartres le 14 février 1559 Françoise Babou de La Bourdaisière (vers 1542-1592). Leurs enfants sont :

Ils se sépareront.



Naissance de François-Hannibal Ier d'Estrées

François Annibal ou François-Hannibal Ier d'Estrées naît à Paris le 15 mai 1572 ou vers 1573, fils d'Antoine III d'Estrées (vers 1529-1609), Marquis de Cœuvres, et de Françoise Babou de La Bourdaisière (vers 1542-1592).



François-Hannibal Ier d'Estrées Comte-évêque de Noyon

François-Hannibal Ier d'Estrées Marquis de Coeuvres

Bien que l'ainé, François-Hannibal Ier d'Estrées est destiné à l'état ecclésiastique.

François-Hannibal Ier d'Estrées est nommé par Henri IV de France Comte-évêque de Noyon de 1594 à 1596.

Il est pair de France ex officio.

François-Hannibal Ier d'Estrées devient Marquis de Coeuvres en juin 1594.



De ce fait, François-Hannibal Ier d'Estrées quitte sa carrière ecclésiastique et se dirige vers celle des armes.Jacques Le Bret Secrétaire du Roi

Jacques Le Bret devient Secrétaire du Roi le 4 août 1594.

Il le reste jusqu'au 21 octobre 1597.



François-Hannibal Ier d'Estrées Lieutenant général en Île de France et gouverneur de Laon

Le 3 juillet 1599, François-Hannibal Ier d'Estrées est nommé Lieutenant général en Île de France et gouverneur de Laon.

3 juillet 1599 : Francois-Hannibal Ier d'Estrées est nommé lieutenant général en Île de France et gouverneur de Laon



Mariage de Philippe de Béthune avec Catherine le Bouteiller de Senlis

Philippe de Béthune épouse en 1600 Catherine le Bouteiller de Senlis. Leur enfant est :



Don de la recette de la Chartreuse aux moines

En 1605, François-Hannibal Ier d'Estrées remet aux moines Chartreux la recette de l'élixir qui devait faire leur fortune : la Chartreuse.



Naissance de la Chartreuse

En 1605, François-Hannibal Ier d'Estrées remet aux moines de la Chartreuse de Vauvert, à Paris, un manuscrit révélant la formule d'un élixir de longue vie dont nul ne sait l'origine : c'est l'origine de la liqueur appelée Chartreuse.



Guerre des mécontents

Démantèlement du château de Pierrefonds

En mars 1617, le château de Pierrefonds est la propriété de François-Hannibal Ier d'Estrées, membre du parti des mécontents mené par Henri II de Bourbon-Condé.

Le château est assiégé et pris par les troupes envoyées par Richelieu, secrétaire d'État à la Guerre.

Son démantèlement est entrepris, mais n'est pas mené à son terme en raison de l'ampleur de la tâche.

Les ouvrages extérieurs sont rasés, les toitures détruites et des saignées sont pratiquées dans les tours et les courtines.



François-Hannibal Ier d'Estrées Ambassadeur ordinaire

François-Hannibal Ier d'Estrées est nommé Ambassadeur ordinaire de 1619 jusqu'à 1622.



François-Hannibal Ier d'Estrées Marechal des camp des armées du roi

Le 3 mars 1622 :, François-Hannibal Ier d'Estrées est nommé Marechal des camp des armées du roi.



Mariage de François-Hannibal Ier d'Estrées avec Marie de Béthune

François-Hannibal Ier d'Estrées épouse au château de Moussy-le-Vieux en Seine-et-Marne le 4 avril 1622 Marie de Béthune (1602-1628), fille de Philippe de Béthune et de Catherine le Bouteiller de Senlis. Leurs enfants sont :

Marie de Béthune est la sœur du comte de Béthune et du comte de Charrost.



Naissance de François-Annibal II d'Estrées

François-Annibal II d'Estrées naît au château de Coeuvres à Coeuvres-et-Valsery dans l'Aisne vers 5 juillet 1623, fils de François-Hannibal Ier d'Estrées (1572-1670) et de Marie de Béthune (1602-1628).



François-Hannibal Ier d'Estrées Ambassadeur extraordinaire auprès des Cantons suisses

En juin 1624, François-Hannibal Ier d'Estrées nommé ambassadeur extraordinaire auprès des Cantons suisses.



Naissance de Jean II d'Estrées

Jean II d'Estrées naît en 1624, fils de François-Hannibal Ier d'Estrées et de Marie de Béthune.


François-Hannibal Ier d'Estrées - par Paulin Guérin

François-Hannibal Ier d'Estrées Maréchal de France

François-Hannibal Ier d'Estrées est fait Maréchal de France le 10 octobre 1626 par Louis XIII.



Naissance de César d'Estrées

César d'Estrées naît à Paris le 5 février 1628, fils de François-Hannibal Ier d'Estrées et de Marie de Béthune.


Forçage du Pas-de-Suze

Forçage du Pas de Suse

Le pas de Suse, situé à 500 mètres d'altitude, est un défilé des Alpes situé sur la frontière entre la France et le duché de Savoie.

Louis XIII veut conduire en personne le secours de Casal.

Louis XIII décide de passer les Alpes en plein hiver.

Le récit de cet événement est notamment raconté par Louis de Rouvroy, Duc de Saint-Simon, dans ses Mémoires.

Richelieu prépare la campagne en renforçant les corps permanents et en levant 6 nouveaux régiments dans le Dauphiné, la Provence et le Lyonnais.

Trois armées doivent envahir à la fois le Piémont et combiner leurs opérations dans la vallée du Pô :

23 000 hommes d'infanterie et 3 000 chevaux sont rassemblés autour de Briançon.

L'infanterie comprend :

À la cavalerie d'élite de la Maison du Roi s'ajoutent 12 compagnies de chevau-légers et les carabins d'Arnauld de Corbeville.

Mais ni artillerie, ni munitions, ni mulets de transport.

L'armée n'a pas 15 jours de vivres, bien qu'avant de partir de Paris, on eût donné 200 000 livres d'avance aux intendants des vivres pour entretenir en permanence, outre la ration journalière, un mois de vivres en magasin.

Rien n'est prêt non plus pour le ravitaillement de Casal.

Le 18 février 1629, Louis XIII arrive à Grenoble avec Richelieu et les grands seigneurs de son entourage :

Louis XIII désigne comme lieutenants-généraux :

comme maréchaux de camp :

Léon d'Albert de Luynes est présent à cette journée.

Richelieu précède Louis XIII à Embrun, pour arrêter le plan d'opérations et l'ordre de marche.

L'avant-garde, conduite par Charles Ier de Blanchefort de Créquy et François de Bassompierre, a mission de s'emparer des passages du Piémont.

Elle comprend :

L'armée suit sous le commandement de Charles de Schomberg.

Abraham de Fabert d'Esternay participe à ces combats.

Le 28 février 1629, l'avant-garde passe les Alpes à Montgenèvre et Cezanne ou Césane (en italien Cesana Torinese) et cantonne à Oulx, sur la Doria Riparia.

Le 29 février 1629, l'avant-garde trouve au fort d'Exilles, 13 vieux canons éventés, pour battre les retranchements de M. de Savoie.

Le 1er mars 1629, l'avant-garde couche à Chaumont ou Chiomionte, un bourg ouvert, à un quart de lieue de la frontière de Piémont.

On ne peut franchir cette frontière, de ce côté, que par le Pas de Suse, défilé de 600 toises qui n'a pas plus de 18 pas de largeur en certains endroits et qui est obstrué par des roches qu'aucune machine ne pourrait déplacer ; 2 hommes ont grand-peine à y passer de front.

À l'entrée, le bourg et le gros rocher de Gelasse surmonté d'un fort, qui n'est accessible que par une rampe étroite et bordée de précipices.

Des 2 côtés du défilé, se dressent des montagnes imposantes :

Le passage est fermé, du côté de Chaumont, par un grand retranchement en forme de demi-lune et, en arrière, par des barricades, flanquées, à mi-pente, par des redoutes, distantes l'une de l'autre de 200 pas.

Le défilé débouche au faubourg de Suse, dominé par un couvent de Cordeliers.

3 000 Piémontais ou Milanais gardent les ouvrages.

Charles-Emmanuel Ier de Savoie, Victor-Amédée Ier de Savoie, son fils, le lieutenant général comte de Verrua et le marquis de Ville, commandant la cavalerie, se préparent à soutenir l'attaque, bien étonnés que le Louis XIII la dirigeât en pareille saison.

Le 5 mars 1629, à 11 heures du soir, Louis XIII quitte Oulx avec la Noblesse et 2 compagnies de ses Gardes, pour faire 4 lieues, à pied, dans la neige.

En arrivant à Chaumont, 3 heures avant le jour, Louis XIII trouve Richelieu dressant l'ordre de combat avec les maréchaux.

Les Gardes françaises et suisses, ainsi que Navarre attaqueraient de front les barricades et les redoutes.

Le régiment de Sault, dont les officiers étaient du pays pour la plupart, devait partir à 3 heures du matin et suivre à droite, au-dessous du crêt de Montmoron, avec de bons guides, un sentier extravagant qui conduisait derrière les retranchements.

L'avance ainsi gagnée permettrait d'assaillir l'ennemi de tous côtés en même temps.

500 hommes d'Estissac, moitié piques, moitié mousquets, longeraient les hauteurs de gauche, sous le crêt de Montabon.

Dans le défilé, les enfants perdus se jetteraient sur les barricades par le milieu et par les flancs :

Ces 3 pelotons seraient suivis par 3 troupes de 100 hommes, fournies par les mêmes régiments.

Comme soutien, 300 gentilshommes volontaires, de qualité pour la plupart, et 500 soldats de Navarre.

Henri II de Valois-Longueville les commande.

L'artillerie vient ensuite : une coulevrine et 2 moyennes, tirées au crochet et poussées par 50 pionniers.

En arrière, un gros de 800 Gardes françaises et de 500 Suisses, sous le commandeur de Valençay.

4 000 hommes restent rangés en bataille devant Chaumont.

Ils sont destinés :

Avant de donner le signal de l'attaque, Louis XIII veut adresser à Charles-Emmanuel Ier de Savoie une dernière sommation.

Il envoie Guitaut-Comminges, capitaine aux Gardes-françaises, avec les maréchaux des logis, le lieutenant de Pontis et un trompette, demander passage, pour préparer à Suse le quartier du Roi.

A 100 pas de la barricade, le groupe s'arrête et le trompette sonne.

Un officier piémontais et 12 soldats sortent du retranchement, puis le comte de Verrua, escorté de 200 mousquetaires.

Après qu'il nous a salués fort civilement, raconte Pontis, Guitaut-Comminges lui dit :

Monsieur, le Roi mon maître m'a commandé d'aller aujourd'hui à Suse pour lui préparer son logis, parce qu'il veut, demain, y aller loger.

Le comte de Verrua lui répond avec beaucoup de civilité :

Monsieur, Son Altesse tiendrait à grand honneur de loger Sa Majesté.

Mais, puisqu'elle vient si bien accompagnée, vous, trouverez bon, s'il vous plait, que j'en avertisse auparavant Son Altesse.

Guitaut-Comminges répondit :

Nous primes alors congé et allâmes retrouver Sa Majesté.

Louis XIII attend son émissaire, à 100 pas des enfants perdus, devant le gros des Gardes-françaises.

Il trouve que le comte de Verrua a répondu en homme d'esprit et en capitaine.

Louis XIII s'approche du maréchal et lui dit, en colère :

Savez-vous bien que nous n'avons que 600 livres de plomb dans le parc de l'artillerie ?

Il est bien temps de penser à cela ! Faut-il, pour un masque qui n'est pas prêt, ne pas danser le ballet ? Laissez-nous faire, Sire, et tout ira bien !

Le signal est donné à 8 heures.

Laissons François de Bassompierre raconter le combat qu'il prétend avoir dirigé.

Nous mîmes pied à terre, Créqui et moi, pour mener les enfants perdus.

Schomberg, que la goutte empêchait de marcher, nous suivait à cheval, afin de voir la fête.

Une balle dans les reins le mit bientôt hors de combat.

En dépassant le bourg de Gelasse, évacué par l'ennemi, nous fûmes canonnés par le fort et salués de quantité de mousquetades, venant des montagnes et de la première barricade.

Nos ailes ayant gagné les éminences latérales, tirèrent au derrière de ce retranchement, pendant que nous y donnions, tête baissée, et le faisions abandonner.

Nous poursuivîmes si vivement les Savoyards, qu'ils ne purent garder les deux autres barricades, où nous entrâmes pêle-mêle avec eux.

Valençay escalada la montagne de gauche à la tête des Suisses et en chassa les gens du Valais.

Dans le défilé, le marquis de Ville eut l'épaule fracassée et se fit transporter à Suse.

Nous poussâmes si vivement notre pointe avec les Gardes-françaises que, sans la résistance que firent près d'une chapelle, le capitaine Cerbelloni et quelques soldats espagnols, le Duc et son fils auraient été pris, tant Treville, lieutenant des Mousquetaires du Roi, les serrait de près.

Un estafier fut tué à son étrier.

Mais le Duc échappa à Treville, qui dut se contenter de blesser Cerbelloni et de le faire prisonnier.

Nous marchâmes, sans nous arrêter, jusqu'au faîte du passage, d'où nous vîmes Suse.

La citadelle nous tira force canonnades.

Mais nous étions si animés au combat et si joyeux de la victoire, que nous ne nous en occupions pas.

Quelques enfants perdus entrèrent dans la ville avec les fuyards et y furent faits prisonniers.

Créqui et La Valette logèrent les Gardes dans les maisons qui bordent la descente à main gauche, tandis qu'avec l'aide de Toiras et de Tavannes, j'établissais Navarre dans les maisons de droite.

Valençay, quoique blessé au genou, descendit, avec les Suisses du colonel Salis, de l'autre côté de Suse, pour empêcher que rien n'en sortit.

Les montagnards du comte de Sault avaient trouvé le sentier extravagant mal gardé par le régiment piémontais de Marc-Antoine Belon.

Ce qu'il y eut de plus remarquable, raconte Pontis, fut que les ennemis, nous attendant de pied ferme à ce détroit qu'il nous eut été impossible de forcer, furent bien surpris de voir le comte de Sault, qui avait fait nettoyer la neige avec des pelles et grimpé sur ces hautes montagnes, fondre tout d'un coup sur eux et les investir par derrière.

Ils lâchèrent pied aussitôt et quittèrent toutes leurs fortifications ; de sorte qu'ils ne donnèrent pas le loisir à nos troupes de leur faire sentir la pesanteur du bras du roi de France, à qui ils avaient osé refuser le passage.

Il y eut néanmoins beaucoup des nôtres tués ensuite par le canon de Suse, qui fouettait et nettoyait d'une étrange sorte tout le chemin.

Créqui et François de Bassompierre établissent leur logis dans le faubourg de Suse, au couvent des Cordeliers, où le Roi leur envoie ses félicitations.

Il convient d'ajouter à ces éloges, les critiques de Richelieu, qui marche bravement sous les canonnades, à côté de Louis XIII, en avant du soutien.

L'attaque dure fort peu à cause de la furie française et parce que les ennemis, se voyant pris de tous côtés, lâchent pied après leur première décharge.

Tous firent bien en cette occasion.

Cependant tout l'ordre désirable ne peut être gardé :

Les maréchaux Créqui, Bassompierre, Schomberg et les maréchaux de camp, sont tous ensemble, mêlés aux volontaires, contre la raison qui veut qu'ils soient séparés pour donner les ordres en divers endroits.

Nous perdons fort peu de gens ; 5 ou 6 officiers sont blessés ; il n'y a pas plus de 30 morts.

Suse, mauvaise place, ne peut se défendre :

Sa Majesté l'a fort recommandé, pour ne décrier ses armes en Italie, où l'on estime les Français aussi braves que peu réglés.

Le château de Suse se rend le lendemain mais il n'en est pas de même de sa citadelle ni du fort de Gelasse.



François-Hannibal Ier d'Estrées Ambassadeur extraordinaire à Venise

En 1630, François-Hannibal Ier d'Estrées devient ambassadeur extraordinaire à Venise.



François-Hannibal Ier d'Estrées Chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit

François-Hannibal Ier d'Estrées devient chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit en 1633.



Mariage de François-Hannibal Ier d'Estrées avec Anne Habert

François-Hannibal Ier d'Estrées est veuf de Marie de Béthune.

Anne Habert est veuve de Lauzières, fils du maréchal de Thémines.

Le contrat est signé le 15 avril 1634 à Paris, rue du Temple, chez le père de la mariée.

François-Hannibal Ier d'Estrées épouse au Mesnil-Saint-Denis dans les Yvelines le 18 avril 1634 Anne Habert (vers 1598-1661).

Leurs enfants sont :



François-Hannibal Ier d'Estrées Ambassadeur extraordinaire à Rome

François-Hannibal Ier d'Estrées devient ambassadeur extraordinaire à Rome de 1635 jusqu'en 1644.



Naissance de Louis d'Estrées

Louis d'Estrées naît le 1er décembre 1637, fils de François-Hannibal Ier d'Estrées et d'Anne Habert.



François-Hannibal Ier d'Estrées Ministre d'État

En août 1652, François-Hannibal Ier d'Estrées devient Ministre d'État.



Mariage de François-Hannibal Ier d'Estrées avec Gabrielle de Longueval

François-Hannibal Ier d'Estrées est veuf de Anne Habert.

François-Hannibal Ier d'Estrées épouse le 25 juillet 1663 Gabrielle de Longueval (morte en 1687).



François-Hannibal Ier d'Estrées Duc d'Estrées

Ambassadeur extraordinaire en Suisse et à Rome, François-Hannibal Ier d'Estrées obtient le 15 décembre 1663 que la terre de Cœuvres soit érigée pour lui en duché-pairie, sous le nom d'Estrées.



François-Hannibal Ier d'Estrées 1er Duc d'Estrées

François-Hannibal Ier d'Estrées Reçu au Parlement

François-Hannibal Ier d'Estrées devient 1er Duc d'Estrées le 15 décembre 1663.

Le 15 decembre 1663, François-Hannibal Ier d'Estrées est reçu au Parlement.



Mort de François-Hannibal Ier d'Estrées

François-Annibal II d'Estrées Duc d'Estrées

François-Hannibal Ier d'Estrées meurt à Paris le 5 ou 15 mai 1670.

François-Annibal II d'Estrées, son fils, devient 2e Duc d'Estrées le 15 mai 1670.


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