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Événements contenant la ou les locutions cherchées



21 événements affichés, le premier en 1104 - le dernier en 1175



Mariage de Guillaume Fitzrichard

Guillaume Fitzrichard épouse X de Mortain (née vers 1086). Leurs enfants sont :



Naissance de Réginald de Dunstanville

Sybille Corbet est la fille de Robert Corbet, un propriétaire terrien du Shropshire.

Renaud de Donstanville ou Réginald de Dunstanville (en latin, Rainaldus de Dunstanivilla) naît vers 1110, fils illégitime d'Henri Ier Beauclerc et de Sybille Corbet.

Orderic Vital est le seul à désigner Réginald par le toponyme de Dunstanville.



Réginald de Dunstanville en Normandie

En 1136, Réginald de Dunstanville fait partie des barons qui rendent hommage à Étienne de Blois.

Mais peu après Réginald de Dunstanville rejoint le parti de Mathilde l'Emperesse à Argentan en Normandie.

Il est possible que Réginald de Dunstanville rejoigne la Normandie pour suivre Baudouin de Reviers, son ami et allié, qui est exilé par Étienne de Blois.



Baudouin de Reviers Prisonnier

Durant l'hiver de 1137 à 1138, Réginald de Dunstanville et Baudouin de Reviers militent dans le Cotentin pour le parti de Mathilde l'Emperesse, jusqu'à ce que Baudouin de Reviers soit capturé par Enguerrand de Say.



Mariage de Réginald de Dunstanville avec Béatrice FitzRichard

Réginald de Dunstanville épouse début 1140 Béatrice FitzRichard, fille de Guillaume FitzRichard, Baron des Cornouailles, Seigneur de Cardinham. Leurs enfants sont :

Guillaume FitzRichard détient de nombreuses terres en Cornouailles.

Réginald de Dunstanville a aussi des enfants illégitimes ,

Guillaume de Malmesbury relate que peu après, Réginald de Dunstanville est créé comte de Cornouailles par Robert de Gloucester. Celui-ci agit alors sans doute pour le compte de leur demi-sœur Mathilde l'Emperesse.

Son beau-père ayant déjà rejoint le parti de l'Emperesse, les deux hommes tentent d'y rallier les autres barons du comté.

Il s'ensuit une intense et féroce campagne dans laquelle Réginald de Dunstanville commet l'erreur de s'aliéner les ecclésiastiques locaux en leur imposant une taxe.

Il est finalement excommunié.

Étienne de Blois envoie alors Alain III de Penthièvre en Cornouailles mener une contre-campagne qui trouve un certain soutien.

Réginald de Dunstanville se retrouve isolé et ne contrôle plus qu'un territoire limité à un seul château, probablement celui de Launceston.

Alain III de Penthièvre réussit à maintenir dans sa nouvelle position de comte de Cornouailles et tient même une cour de justice à Bodmin.



Siège de Lincoln

Dans la guerre civile entre Étienne de Blois contre Mathilde l'Emperesse, Alain III de Penthièvre est au service d'Étienne de Blois.

Ranulf de Chester et son frère Guillaume de Roumare, Comte de Lincoln, beau-frère de Baudoin de Reviers, s'emparent début 1140 du château de Lincoln.

Aussitôt Étienne de Blois entre dans la ville avec l'aide des habitants et assiège le château.

Ranulf de Chester parvient à s'enfuir pour lever une armée pour s'opposer au Roi.

Vers 1140, Alain III de Penthièvre entre en conflit avec son voisin Guillaume le Gros, le comte de Richmond, entre autres pour le contrôle des possessions de Gilbert de Gand, son cousin germain, durant sa minorité.

Étienne de Blois, Roi d'Angleterre, envoie Alain III de Penthièvre, en Cornouailles, mener une contre-offensive contre Réginald de Dunstanville, le Comte de Cornouailles.

Ce dernier mène une campagne contre les barons locaux hostiles à sa demi-sœur Mathilde l'Emperesse.

Alain III de Penthièvre y trouve un certain soutien.

Alain III de Penthièvre parvient à isoler son adversaire, qui ne contrôle plus qu'un territoire limité à un seul château (probablement celui de Launceston).

Alain III de Penthièvre réussit à maintenir sa position de comte de Cornouailles et tient même une cour de justice à Bodmin.

Vers fin 1140, Alain III de Penthièvre s'empare du château de Galclint (identifié généralement comme le château de Belvoir).

Agissant au nom d'Étienne de Blois; roi d'Angleterre, Alain III de Penthièvre le reprend à Ranulph de Gernon qui l'avait acquis peu avant en en expulsant Guillaume d'Aubigné, le lord de Belvoir.

En 1140, après la reprise par Étienne de Blois de la ville et du château de Lincoln au comte de Chester Ranulph de Gernon, une bataille d'envergure se prépare.

Étienne de Blois ordonne des attaques contre les autres châteaux de Ranulph dans la région.

Alain III de Penthièvre attaque Belvoir, que le comte a acquis récemment.

Alain III de Penthièvre prend aussi les châteaux d'Howden et Ripon où il met en garnison des troupes loyales au roi.

Alain III de Penthièvre rejoint ensuite Étienne de Blois à Lincoln, avec des troupes venant du Yorkshire, qu'il a mobilisées avec l'aide de Guillaume le Gros, le comte de York.



Bataille de Lincoln

Étienne de Blois prisonnier

Le 2 février 1141 les partisans de Mathilde l'Emperesse assiègent la ville de Lincoln.

Galérand IV de Beaumont-le-Roger y commande pour Étienne de Blois.

Le combat est sanglant mais bientôt les partisans du roi passent à l'ennemi, Hugues Bigot, Comte de Norfolk, en premier.

Seule une poignée d'hommes restent à ses côté.

Galérand IV de Beaumont-le-Roger réussit à s'enfuir.

Étienne de Blois est vaincu et capturé.

Il se retrouve en captivité à Bristol.

Quelques jours plus tard, c'est au tour d'Alain III de Penthièvre d'être fait prisonnier par Ranulf de Gernon, le comte de Chester.

Réginald de Dunstanville reprend le contrôle du comté de Cornouailles.

Il a alors le contrôle des châteaux royaux et des shérifs.

Pour l'historien britannique J.C. Holt, Jean Ier d'Eu perd les honneurs de Tickhill et Blyth (Yorkshire du Sud) après sa capture par Ranulf de Gernon, le comte de Chester à cette bataille.

Mais pour l'historien David Crouch, cette interprétation est erronée étant fondée sur un document dont la date a été mal évaluée.

Pour Crouch, le comte de Chester n'est jamais en possession de ces honneurs (tout au plus d'une partie), et il ne mentionne pas Jean Ier d'Eu à cette bataille de Lincoln, le supposant mineur.



Siège de Boulogne

Bataille de Winchester

Capture de Robert de Gloucester

Avec Robert de Gloucester et David Ier d'Écosse, Mathilde l'Emperesse va assiéger Boulogne.

Une armée de renfort, dont des mercenaires flamands et des Londoniens, menée par Mathilde de Boulogne, et par Guillaume d'Ypres, ne tarde pas à assiéger Mathilde l'Emperesse.

Le 13 septembre 1141 les partisans de Mathilde l'Emperesse sont anéantis.

Robert de Gloucester, le commandant militaire et demi-frère de Mathilde l'Emperesse, qui couvre la fuite de Mathilde l'Emperesse est capturé.

D'après le chroniqueur Florence de Worcester, Réginald de Dunstanville mène l'escorte qui conduit l'Emperesse en sécurité.



Naissance de Mathilde de Cornouailles

Maud ou Maude FitzRoy ou Mathilde de Cornouailles ou de Dunstanville naît en 1143, fille de Réginald de Dunstanville et de Béatrice FitzRichard.



Réginald de Dunstanville intermédiaire entre le parti Mathilde l'Emperesse et Étienne de Blois

Réginald de Dunstanville agit en tant qu'intermédiaire entre le parti Mathilde l'Emperesse et Étienne de Blois en 1146.

Philippe de Gloucester, son neveu, qui a rejoint le camp d'Étienne de Blois, capture Réginald de Dunstanville et sa suite alors qu'il effectue cette mission d'intermédiaire.

Étienne de Blois oblige peu après Philippe de Gloucester à libérer Réginald de Dunstanville, car il lui a donné un sauf-conduit.



Campagne anglaise d'Henri II Plantagenêt

En 1149 et 1150, Réginald de Dunstanville apporte son soutien à la campagne anglaise d'Henri II Plantagenêt.



Réginald de Dunstanville en Normandie

À Pâques 1152, Réginald de Dunstanville est envoyé en Normandie pour requérir la venue en Angleterre d'Henri II Plantagenêt, mais sans succès.



Débarquement d'Henri II Plantagenêt en Angleterre

Fort de ses domaines continentaux, Henri II Plantagenêt débarque finalement en Angleterre en 1153 pour revendiquer la couronne d'Angleterre.

Réginald de Dunstanville rejoint son armée et participe à la suite de ses campagnes.

Une trêve suit les premières escarmouches.



Mort d'Eustache IV de Boulogne

Guillaume de Blois Comte de Boulogne, de Mortain et de Surrey

Mort de Simon II de Saint-Lis

Traité de Wallingford ou de Westminster

Complot contre Henri II Plantagenêt

Étienne de Blois a bâti des contre-châteaux près de Wallingford pour attaquer un soutien de Mathilde retranché dans le château de Wallingford.

Henri II Plantagenêt vient en renfort et attaque ces contre-châteaux.

Une bataille rangée est attendue entre les deux camps, mais certains nobles, lassés de cette guerre civile interminable qui dure depuis 1135, s'interrogent sur la futilité de ce conflit sans fin.

Étienne de Blois est convaincu et des négociations s'engagent.

Étienne de Blois et Henri II Plantagenêt discutent, chacun d'un côté d'un cours d'eau (peut-être la Tamise, au niveau d'un gué), et un accord verbal sur une trêve est trouvé.

Réginald de Dunstanville est présent aux côtés Henri II Plantagenêt lors des négociations du traité.

Eustache IV de Boulogne, fils d'Étienne de Blois, apprenant l'accord, entre dans une colère noire après son père et quitte la cour.

Quelques jours plus tard, le 10 août 1153, Eustache IV de Boulogne meurt subitement, peut-être empoisonné.

Guillaume de Blois devient 4e comte de Surrey, Comte de Boulogne, de Mortain.

Simon II de Saint-Lis, comte de Northampton et d'Huntingdon, lui aussi très opposé à tout accord, meurt la même semaine d'une maladie semblable.

La disparition de ces 2 farouches opposants lève les obstacles à un accord entre les deux parties.

Le traité, initié à Wallingford, formellement écrit à Winchester, est finalisé à l'abbaye de Westminster.

Ce traité est conclu le 6 novembre 1153 entre Étienne de Blois et Henri II Plantagenêt.

Guillaume d'Aubigny contribue à la conclusion de ce traité qui met fin à l'Anarchie.

Fin novembre 1153, une assemblée publique de seigneurs et barons se tient à Winchester.

Étienne de Blois et Henri II Plantagenêt s'y retrouvent.

Étienne de Blois reconnait Henri II Plantagenêt pour fils, et Henri II Plantagenêt reconnait Étienne de Blois pour père.

Les principaux articles du traité stipulent :

Le traité de Wallingford confirme à Guillaume de Blois la possession du comté de Surrey et des terres baronniales qui appartenaient à Étienne de Blois, son père

Étienne de Blois emmène Henri II Plantagenêt à Londres.

La nouvelle s'étant propagée, la population les acclame.

L'accord final est signé à l'abbaye de Westminster, le 25 décembre 1153.

Le chroniqueur Gervase de Canterbury parle d'un complot ayant pour but de faire assassiner Henri II Plantagenêt à Canterbury par des mercenaires flamands.

Guillaume de Blois aurait connaissance du complot.

Le complot étant découvert, Guillaume de Blois prend la fuite et se rend en Normandie.



Nouvelle rencontre d'Étienne de Blois et d'Henri II Plantagenêt

Étienne de Blois promulgue une charte royale au début 1154.

Immédiatement après, Étienne de Blois et Henri II Plantagenêt rencontrent de nouveau à Oxford où les comtes et barons du royaume sont réunis en assemblée.

Ils jurent fidélité à Henri II Plantagenêt, et le reconnaissent comme successeur.

En avril 1154, Henri II Plantagenêt retourne en Normandie.

Réginald de Dunstanville devient son représentant en Angleterre.


Henri II Plantagenêt La France en 1154

Mort d'Étienne de Blois Roi d'Angleterre

Henri II Plantagenêt Roi d'Angleterre

Étienne de Blois meurt au château de Douvres le 25 octobre 1154.

Il est inhumé dans l'abbaye de Fervesham dans le Kent.

Henri II Plantagenêt est couronné Roi d'Angleterre à l'abbaye de Westminster le 19 décembre 1154.

Guillaume Ier, Baron de Courcy et Écajeul, est maitre d'hôtel d'Henri II Plantagenêt.

Dès lors, malgré une réconciliation passagère, les affrontements sont permanents entre Louis VII le Jeune et Henri II Plantagenêt.

Henri II Plantagenêt devenu roi d'Angleterre n'obéit au pas tout de suite au testament de son père car l'Anjou et le Maine coupent en deux ses possessions :

Henri II Plantagenêt ne donne pas l'Anjou et le Maine à Geoffroy VI d'Anjou, son frère.

Réginald de Dunstanville est l'un des plus proches conseillers laïcs d'Henri II Plantagenêt avec Robert III de Beaumont-le-Roger et Richard de Lucy.

Réginald de Dunstanville n'a pas de fonction officielle dans l'administration, mais son influence est aussi importante que celle du Robert III de Beaumont-le-Roger.

La position dans les Cornouailles de Réginald de Dunstanville n'est pas remise en question par Henri II Plantagenêt, alors que celui-ci a pour politique de réduire autant que possible les pouvoirs des barons de son royaume.

Réginald de Dunstanville est virtuellement indépendant, les shérifs du comté ne répondant que de lui.

Réginald de Dunstanville détient la troisième baronnie du royaume en termes de richesse.

Son contrôle s'étend aussi dans le comté voisin du Devon où ses alliés de la famille de Reviers sont comtes.

Les chroniqueurs contemporains le reconnaissent comme le plus puissant baron du royaume avec le Comte de Leicester.

Parmi ses nombreux neveux figurent:



Fuite de Becket en France

Thomas Becket se rétracte à la demande du pape Alexandre III.

En 1164, malgré les concessions obtenues, Henri II Plantagenêt cite Thomas Becket à comparaître devant un parlement convoqué à Northampton, pour se justifier d'une série d'accusations portées contre lui, entre autres d'avoir détourné les deniers publics, pendant qu'il remplissait les fonctions de grand chancelier.

Avec Robert III de Beaumont-le-Roger, Réginald de Dunstanville agit comme intermédiaire entre Henri II Plantagenêt et Thomas Becket.

Thomas Becket est condamné pour forfaiture

Thomas Becket en appelle au pape et se réfugie en France :

Son séjour sur le Continent se prolonge pendant 6 ans.



Mariage de Robert II de Meulan avec Mathilde de Cornouailles

Robert II de Meulan épouse vers 1165 Mathilde de Cornouailles, fille de Réginald de Dunstanville de Béatrice FitzRichard. Leurs enfants sont :



Mariage de Guy IV de Laval avec Emma de Dunstanville

Guy IV de Laval épouse en 1165 ou en 1170 Emma de Dunstanville, fille de Réginald de Dunstanville et de Béatrice FitzRichard.

Leurs enfants sont :



Aliénor d'Aquitaine Prisonnière

Révolte de ses fils contre Henri II Plantagenêt

Bataille de Fornham

En 1173, Henri II Plantagenêt fait arrêter et enfermer Aliénor d'Aquitaine dans la forteresse de Winchester dans le Sud de l'Angleterre, sans la répudier pour ne pas perdre le bénéfice de la dot… l'héritage poitevin et aquitain.

Elle y restera 16 ans.

Pendant plusieurs années, Guillaume Ier le Maréchal mène une bande de chevaliers réunis autour d'Henri Plantagenêt le Jeune de tournoi en tournoi dans le nord de la France actuelle.

Guillaume Ier le Maréchal est l'un des plus grands tournoyeurs de son temps.

Henri II Plantagenêt ne partage pas le pouvoir.

En avril 1173, Henri II Plantagenêt donne des territoires à Jean-Sans-Terre à l'occasion de ses Fiançailles.

Henri Plantagenêt le Jeune proteste publiquement et revendique le gouvernement direct d'une partie des états de, son père.

Richard Cœur de Lion et Geoffroy II de Bretagne s'allient à Henri Plantagenêt le Jeune et se rebellent contre Henri II Plantagenêt, leur père.

Ils se réfugient à la cour de Louis VII de France

Aliénor d'Aquitaine les soutient en sous-main avec l'aide de Guillaume Ier d'Écosse, de Thibault V de Blois, de Mathieu d'Alsace et de Philippe Ier d'Alsace.

Louis VII le Jeune n'a de cesse d'attiser les ambitions d'Henri Plantagenêt le Jeune son gendre en lui faisant remarquer que bien qu'associé au trône, c'est son père qui exerce le pouvoir.

Dès lors Henri Plantagenêt le Jeune se comporte comme un roi et commence à distribuer des terres à Philippe Ier d'Alsace, Comte de Flandre, et à son frère Mathieu d'Alsace, Comte de Boulogne.

Henri Plantagenêt le Jeune abroge les Constitutions de Clarendon qui libère le clergé du contrôle royal.

Une révolte féodale a lieu dans l'ensemble des possessions des Plantagenêts.

En 1173 et 1174, Robert III de Beaumont-le-Roger et Guillaume Ier le Maréchal supportent Henri Plantagenêt le Jeune dans sa révolte.

Guillaume d'Aubigny reste fidèle Henri II Plantagenêt et contribueà la défaite de la rébellion.

Henri II Plantagenêt stoppe une double offensive des Flamands et de Louis VII le Jeune contre les frontières nord et est de la Normandie.

Une rencontre entre Henri II Plantagenêt et Louis VII le Jeune accompagné des fils de son adversaire ne donne aucun résultat.

Henri II Plantagenêt confisque les possessions de Robert III de Beaumont-le-Roger et brule Leicester le 28 juillet 1173.

Fin juillet 1173, avec Richard de Lucy, Réginald de Dunstanville assiège la ville de Leicester, quand Robert III de Beaumont-le-Roger se joint à la révolte.

Le siège échoue toutefois.

Pendant qu'Henri II Plantagenêt bataille en France,

Henri Plantagenêt le Jeune avec l'aide de Philippe Ier d'Alsace projette de porter la guerre en Angleterre.

Le retour rapide d'Henri II Plantagenêt en Angleterre les en empêche.

Robert III de Beaumont-le-Roger décide d'envahir l'Angleterre avec une force de mercenaires flamands.

Il débarque à Walton dans le Suffolk à fin septembre ou début octobre 1173.

Henri II Plantagenêt prend la forteresse de Breteuil le 25 septembre 1173.

Robert III de Beaumont-le-Roger tente de s'associer Hugh Bigod, Comte de Norfolk, qui est basé au château de Framlingham.

Après quelques combats concluants, Robert III de Beaumont-le-Roger décide de mener ses hommes chez lui à Leicester.

Ce mouvement est peut-être le résultat de frictions entre Robert III de Beaumont-le-Roger et Hugh Bigod et Gundreda, sa femme.

Les forces royales sont sous le commandement :

Les forces royales incluent au moins 300 chevaliers et leurs troupes ainsi que Roger Bigod, fils de Hugh Bigod, qui est resté fidèles au roi.

Les forces rebelles comportent 3 000 mercenaires.

La bataille a lieu le 17 octobre 1173 dans le Suffolk près des villes actuelles de :

au gué la rivière Lark à environ 6,4 km au nord de Bury St Edmunds.

La cavalerie de Robert III de Beaumont-le-Roger est capturée et ses mercenaires sont conduits dans les marécages à proximité, où les paysans locaux tuent la plupart d'entre eux.

Séparés de leurs forces, Robert III de Beaumont-le-Roger et Pétronille de Grandmesnil, son épouse qui a mis l'armure, sont capturés.

Vers la fin 1173, Henri II Plantagenêt et Louis VII le Jeune concluent une trêve provisoire.



Mort de Réginald de Dunstanville

Réginald de Dunstanville meurt à une date incertaine, les diverses sources étant contradictoires sur le moment et le lieu.

La date la plus probable, proposée par Ralph de Diceto, est le 1er juillet 1175.

Henri II Plantagenêt intervient en Cornouailles et reprend le comté, ne permettant pas aux filles et héritières de Réginald de Dunstanville de se le partager, à part quelques seigneuries.


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