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Événements contenant la ou les locutions cherchées



14 événements affichés, le premier en 1777 - le dernier en 1841


Honoré IV Grimaldi Louise Félicité Victoire d'Aumont

Mariage d'Honoré IV Grimaldi avec Louise Félicité Victoire d'Aumont

Honoré IV Grimaldi épouse (1758-1819) à Saint-Sulpice à Paris le 15 juillet 1777 Louise Félicité Victoire d'Aumont (1759-1826), Duchesse de Mazarine, fille de Louis Marie Guy d'Aumont de Rochebaron et de Louise-Jeanne de Durfort. Leurs enfants sont :

Louise Félicité Victoire d'Aumont apporte les titres de Duc de Mazarin et de Baron de Massy, transmis à la lignée princière de Monaco.



Naissance d'Honoré V Grimaldi

Honoré-Gabriel ou Honoré V Grimaldi naît à Paris le 14 mai 1778, fils d'Honoré IV Grimaldi et de Louise Félicité Victoire d'Aumont.



Honoré V Grimaldi au service de la France

Honoré V Grimaldi s'engage dans la cavalerie française en 1798.



Liaison d'Honoré V Grimaldi avec Félicité Pronault de Gamaches

Honoré V Grimaldi a une liaison en 1805 avec Félicité Pronault de Gamaches. Leur enfant est :



Honoré V Grimaldi Légionnaire

Devenu officier, Honoré V Grimaldi est employé comme aide de camp par Emmanuel de Grouchy.

À partir de 1807, Honoré V Grimaldi est attaché à Joachim Murat, alors grand-duc de Berg.

À la demande de Murat, Honoré V Grimaldi est fait Légionnaire le 3 juillet 1807.



Honoré V Grimaldi Baron de l'Empire

Honoré V Grimaldi, Baron de Monaco, devient Baron de l'Empire par décret impérial du 15 mars 1810 sans lettres patentes.



Honoré V Grimaldi Pair de France à vie

Honoré V Grimaldi, Duc de Valentinois, devient de Pair de France à vie, par ordonnance du 4 juin 1814 de Louis XVIII de France.


Le pont du Ponthaut - par Victor Cassien, (1808 - 1893)

Les Cent-Jours

Guillaume II des Pays-Bas commandant de l'armée néerlandaise

Napoléon Ier débarque sur les côtes françaises à Golfe-Juan.

Au tout début mars 1815, Napoléon Ier rencontre par hasard Honoré V Grimaldi.

La légende veut que l'Empereur, s'étant entendu répondre Je vais chez moi à Monaco, aurait affirmé que lui aussi se rendait chez lui aux Tuileries.

Lors du retour de l'Empereur en 1815, il semble que Jean Gabriel Marchand d'abord voulu éviter tout contact entre ses troupes et celles de l'île d'Elbe.

Jean Gabriel Marchand envisage même d'évacuer Grenoble et de se retirer sur Chambéry pour soustraire ses soldats au prestige de la présence de Napoléon Ier.

Cependant un bataillon du 5e de ligne et une compagnie de sapeurs sont partis avec l'ordre de détruire le pont du Ponthaut à quelques lieues de la Mure.

Ce détachement est commandé par le chef de bataillon Lessard le 7 mars 1815 à 9 heures au village de Laffrey.

Vers 13 heures, Napoléon Ier y arrive également.

Les 2 troupes s'observent pendant quelque temps

Mais l'hésitation, si elle existait, nest pas de longue durée.

Napoléon Ier met pied à terre, et s'avance vers le bataillon, et aussitôt les cris de vive l'Empereur retentissent.

Jacques Louis César Alexandre Randon n'a plus qu'à retourner vers, Jean Gabriel Marchand, son oncle pour lui rendre compte de ce qui se passe.

Jean Gabriel Marchand se retire par la route de Chambéry avec 150 hommes restés fidèles aux Bourbons.

Jean Gabriel Marchand, rallié aux Bourbons, est maintenu dans son commandement de la 7e division militaire et conserve Jacques Louis César Alexandre Randon pour aide de camp.

En 1815, Guillaume II des Pays-Bas prend le commandement de l'armée néerlandaise pour combattre Napoléon Ier pendant les Cent-Jours.

Louis Alexandre Berthier accompagne le roi et se voit rayé de la liste des maréchaux.

Pendant les Cent-Jours, Charles Ferdinand d'Artois suit Louis XVIII à Gand.

Armand-Emmanuel-Sophie-Septimanie de Vignerot accompagne Louis XVIII, sur le chemin de Gand, jusqu'à Lille.

Charles César de Damas accompagne Louis XVIII en Belgique.

Louis Eugène Augustin Hilaire de Choiseul d'Aillecourt se rallie à la restauration et suit le roi à Gand durant les Cent-Jours

En 1815, pendant les Cent-Jours, Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé cherche à organiser la résistance royaliste en Anjou avant de fuir en Espagne.

Marie-Thérèse Charlotte de France se trouve à Bordeaux, où elle tente d'organiser la résistance à Napoléon Ier, quand le roi s'est réfugié en terre étrangère, à Gand.

Napoléon, admiratif, dit de Marie-Thérèse Charlotte de France qu'elle est le seul homme de la famille, et la laisse s'embarquer pour l'Angleterre.

Hortense de Beauharnais est fidèle à l'Empereur pendant les Cent-Jours.

Pendant les Cent-Jours, François Étienne Christophe Kellermann reste à l'écart des évènements.

Joseph Bonaparte est Lieutenant-général de l'Empire lors des Cent-Jours.

Pendant les Cent-Jours, Charles-Marie Denys de Damrémont est nommé colonel et reste sous les ordres d'Auguste Frédéric Louis Viesse de Marmont.

Commandant de la 1ère subdivision de la 12e division militaire à La Rochelle, François-Xavier Donzelot se rallie à Napoléon Ier.

Charles-François Lebrun accepte pendant les Cent-Jours la charge de grand maître de l'Université.

Henri Gatien Bertrand se réinstalle aux Tuileries et devient grand Maréchal du Palais et conseiller militaire de Napoléon Ier.

Se déclarant royaliste, Élie Louis Decazes refuse de signer une adresse de félicitations à Napoléon Ier après son retour de l'île d'Elbe et reste fidèle aux Bourbons.

Isaac Thuret est un des rares diplomates à rester à Paris lors des Cent Jours.

Victor-Guy Duperré est nommé Préfet maritime de Toulon aux Cent-Jours.



Adoption du Code civil de Monaco

Fin juriste, Honoré V Grimaldi demande à monégasquiser les codes napoléoniens et développe considérablement le droit monégasque.

Ainsi, le Code civil de Monaco adopté en 1815



Honoré V Grimaldi Pair de France à titre héréditaire

Honoré V Grimaldi est confirmé Pair de France à titre héréditaire par l'ordonnance du 19 août 1815 de Louis XVIII.

Les ordonnances de Louis XVIII sont prises en faveur du fils et non du prince souverain Honoré IV Grimaldi.

Cela est conforme à la pratique de l'Ancien Régime où le détenteur d'un titre ducal peut le transmettre à un héritier assuré.

La principauté de Monaco est passée sous la protection du royaume de Sardaigne.

Cependant Honoré V Grimaldi continue à siéger à la Chambre des pairs française.



Administration de Monaco par Honoré V Grimaldi

Honoré IV Grimaldi laisse l'administration de Monaco à Honoré V Grimaldi, son fils, à partir de 1815.



Honoré V Grimaldi Duc

Honoré V Grimaldi devient Duc héréditaire par ordonnance du 31 août 1817 de Louis XVIII.

Le fait que les ordonnances de Louis XVIII soient prises en faveur du fils et non du prince souverain Honoré IV Grimaldi est conforme à la pratique de l'Ancien Régime français où le détenteur d'un titre ducal pouvait le transmettre à un héritier assuré.


Honoré V Grimaldi

Mort d'Honoré IV Grimaldi

Honoré V Grimaldi Prince de Monaco

Florestan Ier Grimaldi Marquis des Baux

Honoré IV Grimaldi meurt à Paris le 16 février 1819.

Honoré V Grimaldi est couronné Prince de Monaco en 1819.

Florestan Ier Grimaldi devient Marquis des Baux en 1819.

À la Chambre des pairs française, Honoré V Grimaldi expose des conceptions économiques dirigistes qui, sur place, aboutissent à des catastrophes pour ses sujets.


Florestan Ier Grimaldi

Mort d'Honoré V Grimaldi

Florestan Ier Grimaldi Prince de Monaco

Honoré V Grimaldi meurt à Paris le 2 octobre 1841.

Honoré V Grimaldi est aussi grand d'Espagne.

Florestan Ier Grimaldi, son frère, devient Prince souverain de Monaco.

Florestan Ier Grimaldi n'a jamais été préparé à assumer le rôle de Prince de Monaco.

Il est acteur au théâtre de l'Ambigu-Comique et vit à Paris, dans l'hôtel de Créqui qu'il a acheté et restauré.

Durant son règne, le pouvoir réel réside entre les mains de Caroline Gibert de Lametz, son épouse.

Pendant quelque temps, elle réussit à rétablir les finances des Grimaldi puis à alléger la situation économique difficile née de la nouvelle position de Monaco sous protectorat du Royaume de Sardaigne.

Le couple princier tente de répondre aux demandes locales pour plus de démocratie.

Il propose deux constitutions à la population, mais elles sont rejetées, particulièrement par les habitants de Menton.


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