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Événements contenant la ou les locutions cherchées



16 événements affichés, le premier en 1764 - le dernier en 1812



Mariage de Jean Laurent Froust avec Marie Anne Belloudeau de Rozengat

Jean Laurent Froust épouse en 1764 avec Anne Belloudeau de Rozengat (1738-1813). Leurs enfants sont :



Naissance de Claude François Ferey

Claude François Ferey naît à Auvet en Haute-Saône le 20 septembre 1771.



Claude François Ferey soldat dans le 1er Régiment de Chasseurs à Cheval

Le 19 mars 1787, Claude François Ferey entre comme soldat dans le 1er Régiment de Chasseurs à Cheval.



Claude François Ferey Brigadier

Claude François Ferey devient Brigadier le 20 février 1788.



Claude François Ferey Maréchal-des-logis

Claude François Ferey devient maréchal-des-logis le 20 juillet 1790.



Claude François Ferey dans la Garde constitutionnelle du Roi Louis XVI

Le 9 décembre 1791, Claude François Ferey passe dans la Garde constitutionnelle du Roi Louis XVI.

D'abord simple garde, Claude François Ferey devient rapidement brigadier et maréchal-des-logis.



Claude François Ferey Sous-lieutenant au régiment du Roi

Claude François Ferey est nommé sous-lieutenant au régiment du Roi, le 9 juillet 1792.



Claude François Ferey Adjudant-major au 9e bataillon des volontaires de la Haute-Saône

Claude François Ferey est élu adjudant-major au 9e bataillon des volontaires de la Haute-Saône, le 12 juillet 1792.


Louis Ferdinand de Prusse - par Jean-Laurent Mosnier - 1799 Siège de Mayence

Siège de Mayence

L'état-major français prend pratiquement le pouvoir à Mayence le 2 avril 1793.

Jean-Pierre Travot combat au siège de Mayence du 10 avril au 23 juillet 1793.

La ville est encerclée le 14 avril 1793 par 32 000 soldats de la Première coalition, surtout des Prussiens.

Louis-Ferdinand de Prusse prend part à ce siège où il est blessé.

Claude François Ferey se trouve dans Mayence.

Claude François Ferey est blessé pendant ce siège d'un coup de feu au genou gauche.

23 000 Français défendent la ville, ce qui suffit pour tenir les fortifications, même lorsque les assiégeants reçoivent 11 000 Autrichiens en renfort.

Jean-Baptiste Kléber s'illustre dans la défense de Mayence.

Jean Baptiste Annibal Aubert du Bayet défend la ville

D'abord les Prussiens tentent sans succès une série de manœuvres visant à s'emparer des forts.

Dans la nuit du 17 juin 1793, ils entreprennent le bombardement de la ville.

Ce siège est raconté en détail par le jeune Johann Wolfgang von Goethe dans son livre Die Belagerung von Mainz.

En ville, le siège et le bombardement suscitent une tension croissante entre les citadins, la municipalité et l'état-major français.

Le 13 juillet 1793 la loi martiale est instituée, irritant davantage la population restante.

Les renforts ne parviennent pas. L'état-major doit se résigner le 17 juillet 1793 à des pourparlers avec l'assiégeant.

L'état-major français capitule le 23 juillet 1793, obtenant que les 18 000 soldats défendant encore la ville puissent repartir libres.

En contrepartie, l'état-major français promet au coalisés de ne plus s'attaquer aux armées des puissances coalisées pendant un an.

La forteresse Mayence devient ainsi un avant-poste prussien.

Le bombardement a défiguré Mayence :

Le siège marquent le déclin de l'aristocratique Mayence : la ville perd son statut de siège de l'archevêché, de l'électorat de Mayence et par là-même son meilleur atout.

L'armée de Mayence défaite est envoyée dans l'ouest pour renforcer les armées républicaines en lutte contre les insurgés vendéens, renforçant l'armée des côtes de Brest.

L'armée menée par Jean-Baptiste Kléber arrive à Nantes le 6 septembre 1793.



Claude François Ferey Aide-de-camp du général Marigny

Le 4 août 1793, Claude François Ferey est choisi pour aide-de-camp par le général Marigny mais ne remplit ces fonctions que durant peu de jours.



Laurent de Gouvion-Saint-Cyr Adjudant-général chef de bataillon

Laurent de Gouvion-Saint-Cyr est nommé Adjudant-général chef de bataillon le 13 septembre 1793.

Laurent de Gouvion-Saint-Cyr est chef d'état major du général Claude François Ferey en septembre 1793.



Claude François Ferey Général de brigade

Envoyé en l'an X à l'armée du Portugal, Claude François Ferey fut nommé, le 11 fructidor an X soit le 29 août 1802, Général de brigade.


Claude François Ferey

Claude François Ferey Général de division

Claude François Ferey promu au grade de Général de division, le 3 octobre 1810.


Bataille de Fuentes de Oñoro La cavalerie légère française chargeant les carrés britanniques à Fuentes de Oñoro

Bataille de Fuentes de Oñoro

Au printemps 1811, face à une situation totalement bloquée, André Masséna ordonne la retraite sur l'Espagne qui s'effectue en bon ordre.

L'arrière-garde est assurée avec beaucoup de brio par Michel Ney, qui remporte à cette occasion quelques succès face aux troupes alliées qui ont entrepris de suivre l'armée du Portugal.

Michel Ney est cependant relevé de son commandement à la suite de sa mésentente persistante avec André Masséna.

Le général Loison remplace Michel Ney par intérim avec peu de zèle.

Arthur Wellesley de Wellington réussit ainsi à libérer le Portugal des Français.

Arthur Wellesley de Wellington investit la place d'Almeida, ville située près de la frontière. Située au nord du Portugal, elle est un point de passage obligé vers l'Espagne.

Une garnison, forte de 1 300 hommes aux ordres du général Antoine François Brenier de Montmorand, occupe la place d'Almeida.

André Masséna décide alors d'un retour offensif pour dégager la place et en évacuer la garnison.

André Masséna dispose d'environ 45 000 hommes, dont 2 000 cavaliers auxquels il convient d'ajouter 1 600 cavaliers sous les ordres directs de Jean-Baptiste Bessières, commandant en chef de l'armée du Nord, venus en renfort.

Parmi eux se trouve un régiment de marche de la cavalerie de la Garde impériale aux ordres du général Louis Lepic.

Enfin l'armée dispose de 38 canons.

Arthur Wellesley de Wellington pour sa part peut compter sur environ 34 000 Anglo-portugais, dont 1 500 cavaliers, sans compter les troupes assurant le blocus de la place d'Almeida.

Les 2/3 de ses hommes sont des soldats de sa Majesté britannique.

Son artillerie est forte de 48 pièces.

Sauf dans le domaine de l'artillerie, les Français disposent donc d'une très nette supériorité sur leur adversaire.

L'action s'étale sur 3 jours.

Le 3 mai 1811, André Masséna lance la division de Claude François Ferey sur le village de Fuentes de Oñoro.

Le village est âprement disputé mais une contre-attaque repousse les Français à l'entrée du village.

Au cours de l'action, un bataillon hanovrien, servant dans la division Claude François Ferey, vêtu de rouge, est confondu avec l'ennemi et essuie le feu ami.

Le 4 mai 1811 voit les troupes des 2 armées renforcer leurs positions autour du village et échanger des coups de feu.

La cavalerie française mène de nombreuses reconnaissances.

Au cours de l'une d'elle, le général Louis Pierre de Montbrun s'aperçoit que le flanc droit d'Arthur Wellesley de Wellington est relativement dégarni.

Il fait immédiatement part de cette information à André Masséna, qui décide alors de réaliser, pour le lendemain, une vaste attaque de ce côté.

Les dispositions sont promptement arrêtées :

Le mouvement français est en partie réalisé dans la nuit du 4 au 5 mai 1811 et facilité par le brouillard à l'aube.

L'attaque prend les Anglo-Portugais au dépourvu, dans un premier temps.

Louis Pierre de Montbrun effectue plusieurs charges brillantes qui sèment la confusion.

Sous la pression, les troupes d'Arthur Wellesley de Wellington plient mais ne rompent pas.

Fuentes de Oñoro est vaillamment défendu et le repli se fait pied à pied avec le village comme point d'appui.

Les charges du général François Fournier-Sarlovèze déciment 2 carrés anglais, exploit jamais égalé depuis.

Finalement, une solide ligne de défense est établie.

C'est à ce moment que Louis Pierre de Montbrun, voulant opérer une ultime percée, ordonne au général Louis Lepic de charger.

Celui-ci refuse, arguant du fait qu'il ne peut recevoir d'ordre que de Jean-Baptiste Bessières en personne.

Or celui-ci demeure introuvable.

La bataille diminue alors d'intensité et s'achève sans autres événements majeurs.

Les Français perdent environ 2 000 hommes tués ou blessés, les Alliés 1 500.

Maurice Étienne Gérard se distingue lors de cette bataille.

Martial Bardet sert lors de cette bataille.

André Masséna fait parvenir l'ordre de repli à Antoine François Brenier de Montmorand, par 3 messagers.

La place d'Almeida est évacuée dans la nuit du 10 au 11 mai 1811 et la garnison rejoint l'armée française au nez et à la barbe des Britanniques.

Le 11 mai 1811, André Masséna entre en Espagne.

Il est alors rejoint par Auguste Frédéric Louis Viesse de Marmont qui le relève officiellement de son commandement.

André Masséna s'exile alors sur ses terres.

André Masséna ne recevra plus jamais le commandement d'une armée sur un champ de bataille.



Combat de Foz de Arouce

Claude François Ferey montre une grande valeur au combat de Foz de Arouce le 5 mai 1811.



Bataille des Arapiles

Mort de Claude François Ferey Baron de Rosengath

La bataille des Arapiles ou des Arapyles ou Bataille de Salamanque a lieu le 22 juillet 1812.

Claude François Ferey est blessé lors de cette bataille à la tête de la 3e division de l'armée du Portugal.

Claude François Ferey meurt à Olmedo en Espagne le 24 juillet 1812 des suites de ses blessures.

Jean Pierre François Bonet combat à Salamanque et est blessé.


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