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Événements contenant la ou les locutions cherchées



25 événements affichés, le premier en 525 - le dernier en 590



Mariage de Brunulphe Ier d'Ardennes avec Crotechilde d'Ostrogothie

Brunulphe Ier d'Ardennes épouse vers 525 Crotechilde d'Ostrogothie, fille d'Eutharic d'Ostrogothie et d'Amalasonte d'Ostrogothie. Leurs enfants sont :



Mariage de Clotaire Ier avec Arégonde de Thuringe

En 532 ou en 536, Ingonde de Thuringe demande à Clotaire Ier de trouver un mari, digne de sa haute lignée, pour Arégonde de Thuringe.

Clotaire Ier ne trouve pas de meilleur prétendant que lui-même.

Clotaire Ier ré-épouse Ingonde de Thuringe et décide d'épouser Arégonde de Thuringe.

Il les force à vivre ensemble jusqu'au décès d'Ingonde de Thuringe.

Arégonde de Thuringe est la mère de :



Naissance de Chilpéric Ier de Francie

Chilpéric Ier de Francie naît en 535 ou en 539, fils de Clotaire Ier, Roi des Francs, et d'Aregonde de Thuringe.



Mariage de Chilpéric Ier de Francie avec Audovère de Soissons

Chilpéric Ier de Francie épouse Audovère de Soissons (vers 530-vers 580). Leurs enfants sont :

Audovère de Soissons engage peu après ses noces à son service comme chambrière, Frédégonde d'Ardennes, fille du comte d'Ardennes.

Jeune femme ambitieuse, celle-ci séduit Chilpéric Ier de Francie, devient sa concubine et obtient de lui une promesse secrète de mariage.



Naissance de Clotilde de Francie

Clotilde de Francie ou de Neustrie ou de Reims naît à Reims vers 562, fille de Chilpéric Ier de Francie et d'Audovère de Soissons.


La France en 561 Partage du royaume à la mort de Clotaire - Grandes Chroniques de France - XIVe siècle - Castres musée Goya Caribert Ier Gontran Ier Chilpéric Ier de Francie Sigebert Ier - Jean Du Tillet - Recueil des rois de France - Bibliothèque nationale de France

Mort de Clotaire Ier

Caribert Ier Roi de Paris,

Gontran Ier Roi de Bourgogne et d'Orléans

Sigebert Ier Roi de Metz et d'Austrasie

Chilpéric Ier de Francie Ier Roi de Neustrie et de Soissons

Badégesile Maire du palais de Neustrie

Ciucilon Maire du palais d'Austrasie

Adowaire Commandement la province d'Arles

Clotaire Ier meurt le 10 ou le 29 novembre 561 à Compiègne.

Mêlant les souvenirs de l'ambition aux craintes religieuses qui l'agitent dans ses derniers moments, Clotaire Ier s'écrie :

Hélas! Quel est donc ce Roi du Ciel qui fait mourir ainsi les plus puissants Rois de la Terre ! Comme il n'est pas mortel, il est sans comparaison, meilleur que le plus grand prince de la Terre ; s'il est donc meilleur, il est plus puissant, et s'il est plus puissant, il est miséricordieux; car il ne disperse en la vengeance de ceux qui l'ont desservi, ainsi que font maints mortels princes."

Son corps est porté à Soissons, et enterré dans l'église de Saint-Médard, qu'il a commencée et que Sigebert, son fils, achèvera.

Le royaume franc est à son apogée, couvrant toute la Gaule, à l'exception de la Septimanie, et une partie de l'Allemagne actuelle.

Clotaire laisse 4 fils entre lesquels se fait un nouveau partage.

Cette manière de diviser un état comme un bien patrimonial, est l'une des plus funestes erreurs de droit public des peuples germaniques.

Les royaumes dont ces villes étaient les capitales ne correspondaient pas du tout à ceux résultant du partage du royaume de Clovis Ier.

La Bourgogne est alors divisée en quatre grandes parties :

La province d'Arles est dans son ensemble rattachée au royaume de Gontran, c'est-à-dire à la Bourgogne.

Gontran Ier place la province d'Arles sous le commandement d'Adowaire en 561.

Mais en raison de l'importance de la fenêtre méditerranéenne, Sigebert Ier obtient un corridor appelé corridor austrasien qui partant de l'Auvergne passe par Avignon et aboutit à Marseille.

Badégesile devient Maire du palais de Neustrie en 561.

Ciucilon devient Maire du palais d'Austrasie en 561.

La Marche, au sud du comté de Poitou, enclavée entre le comté d'Angoulême et celui du Périgord, est concédée à Caribert Ier et échoit au royaume de Neustrie.



Faide royale

Invasion des Huns

La période durant laquelle Sigebert Ier et Chilpéric Ier de Francie se déchirent est connue sous le nom de faide royale.

Les premières années du règne de Sigebert Ier sont troublées par une irruption des Huns dans ses États.

Sigebert Ier remporte une grande victoire et les force à repasser le Rhin.

Le poète Fortunat remarque que ce jeune monarque se met à pied au premier rang, et que, la hache à la main, il charge les ennemis avec une intrépidité héroïque.

Pendant cette expédition, Chilpéric Ier de Francie s'emparé de Reims et de quelques autres places qui appartiennent à Sigebert.

Celui-ci lui mène une guerre vive et dicte les conditions de la paix.



Répudiation d'Audovère de Soissons par Chilpéric Ier de Francie

Chilpéric Ier de Francie répudie Audovère de Soissons vers 565.


Mariage de Sigebert Ier et de Brunehaut - Manuscrit du XVe siècle - grandes chroniques - BNF

Mariage de Sigebert Ier avec Brunehaut

Mariage de Chilpéric Ier de Francie avec Galswinthe

Frédégonde d'Ardennes Maîtresse de Chilpéric Ier de Francie

Sigebert Ier épouse vers 566 Brunehaut, fille d'Athanagilde Ier de Wisigothie et de Goswinda des Wisigoths. Leurs enfants sont :

L'alliance royale que Sigebert Ier vient de contracter fait désirer à Chilpéric Ier de Francie d'en former une semblable.

Chilpéric Ier de Francie éloigne Frédégonde d'Ardennes

Chilpéric Ier de Francie épouse vers 566 Galswinthe; la sœur de Brunehaut, mais il conserve sa maîtresse, Frédégonde d'Ardennes.



Chilpéric Ier de Francie chassé de son royaume

Brunehaut voue alors une haine farouche envers Chilpéric Ier de Francie et Frédégonde d'Ardennes et convainc son mari de se battre contre Chilpéric Ier de Francie.

Chilpéric Ier de Francie est chassé de son royaume par ses frères et est condamné à concéder à Brunehaut les cités de l'Aquitaine qui avaient été sa part de l'héritage de Caribert.

En 567, Sigebert Ier bat Chilpéric Ier de Francie et lui réclame les terres que Chilpéric Ier de Francie avait offertes à Galswinthe en cadeau de noces, à savoir, Bordeaux, Limoges, Cahors, le Béarn et la Bigorre.

Chilpéric Ier de Francie s'empare de Tours et de Poitiers.

Sigebert Ier s'allie à Gontran Ier, son frère, roi de Bourgogne, pour récupérer ses cités.

Il récupère ainsi Tours et Poitiers.

Sigebert se brouille avec Gontran Ier, qui forme une coalition contre lui avec Chilpéric Ier de Francie.

Sigebert perd à nouveau Poitiers et Tours et une partie de l'Aquitaine.



Prise d'Albi

Le patrice de Provence Mommole enlève d'assaut Albi.

Mommole entraîne ses habitants en captivité en vue de les vendre comme esclaves, pour les châtier d'avoir accepté le joug de Chilpéric Ier de Francie injuste usurpateur de l'Albigeois austrasien.

Salvius d'Albi intervient et devient si persuasif après du patrice qu'il lui fait abandonner, sans compensation pécuniaire, son butin d'existences humaines.



Mort de Galswinthe

La passion de Chilpéric Ier de Francie pour Frédégonde d'Ardennes sa maîtresse qu'il avait quittée l'emportant de nouveau.

Galswinthe préfère se retirer dans un couvent où Chilpéric Ier de Francie et Frédégonde d'Ardennes la font étrangler dans son lit en 567.


Chilpéric Ier de Francie et Frédégonde d'Ardennes

Mariage de Chilpéric Ier de Francie avec Frédégonde d'Ardennes

Chilpéric Ier de Francie épouse en 568 Frédégonde d'Ardennes. Leurs enfants sont :

Frédégonde d'Ardennes devient Reine légitime de Neustrie



Réconciliation de Chilpéric Ier de Francie et de Sigebert Ier

En 569, Gontran Ier réconcilie ses deux frères Chilpéric Ier de Francie et Sigebert Ier à Andelot, qui sont sur le point de se faire la guerre, suite à l'assassinat de Galswinthe, la sœur de Brunehaut qui est l'épouse de Sigebert Ier.


Grégoire de Tours

Grégoire de Tours Évêque de Tours

Grégoire de Tours réside à Lyon jusqu'à ce qu'il soit élu Évêque de Tours, en 573, probablement à l'instigation de la reine Brunehaut et de Sigebert Ier, Roi d'Austrasie.

Il y succède à Eufronius, son cousin maternel.

Tours est alors l'un des plus importants sièges épiscopaux de Gaule.

Durant son épiscopat, Grégoire de Tours est gêné par les querelles des souverains francs, qu'il n'hésite pas à fustiger.

Notamment, Grégoire de Tours tient tête au roi Chilpéric Ier de Francie, puis à la reine Frédégonde d'Ardennes qu'il rend responsable du meurtre de l'évêque Prétextat.



Victoire de Sigebert Ier sur Chilpéric Ier de Francie

En 574, Chilpéric Ier de Francie attaque Reims.

Pour le battre, Sigebert Ier demande l'aide des Francs d'au delà du Rhin, les Francs Ripuaires, ainsi que celle des peuples qu'il contrôle, Alamans, Saxons, Thuringiens.

Il peut ainsi vaincre l'armée de son neveu, Théodebert.



Concile de Braisne

Chilpéric Ier de Francie par un retour de fortune, redevient le maître de l'albigeois.

Frédégonde, aussi dissolue que lui, se plaint des calomnies que Grégoire de Tours aurait propagées à son endroit.

Un concile est convoqué à Braisne (Aisne) pour juger l'inculpé.

Salvius d'Albi est auprès de son ami.

Il est aussi éloquent que courageux.

Le crime de lèse-majesté est écarté et Grégoire de Tours a la vie sauve.



Écriture d'un traitement sur la Trinité par Chilpéric Ier de Francie

Salvius d'Albi reprend le chemin de la cour.

Chilpéric Ier de Francie se pique de théologie ; il compose un traité sur la Trinité et prétend le faire approuver aux deux évêques de Tours et d'Albi.

L'ascendant de Salvius d'Albi est tel que, sur ses objurgations, le prince consent à détruire son traité.


Siège de Tournai - Guillaume Crétin BNF Assassinat de Sigebert

Mort de Sigebert Ier

Chilpéric Ier de Francie à nouveau Roi de Neustrie et de Soissons

Childebert II d'Austrasie Roi d'Austrasie

Chilpéric Ier de Francie et sa femme Frédégonde d'Ardennes sont encerclés dans Tournai, et ne peuvent s'échapper.

En 575, Sigebert Ier se fait proclamer Roi de Soissons par les sujets de Chilpéric Ier de Francie.

Deux scélérats envoyés par l'implacable Frédégonde d'Ardennes poignardent Sigebert Ier à Vitry-en-Artois, où il s'est rendu pour recevoir les hommages des Neustriens.

Chilpéric Ier de Francie recouvre alors son royaume de Neustrie et de Soissons, occupe la plus grande partie des États de Caribert et notamment Paris, et relègue Brunehaut à Rouen.

Après l'assassinat de Sigebert, Brunehaut et le jeune Childebert II sont arrêtés par ordre de Frédégonde d'Ardennes.

C'est sous le règne de Sigebert Ier qu'il est parlé pour la première fois de la dignité de maire du palais, qui fut par la suite si funeste à la puissance royale.

Mais, Gondebaud, un seigneur austrasien, a l'adresse de libérer Childebert II, de le mener en Austrasie et enmené à Matz.

Les grands l'élèvent sur le trône, et balaye ainsi les projets formés par Chilpéric Ier de Francie et Frédégonde d'Ardennes, d'unir ce royaume à leur couronne.

Childebert II d'Austrasie succède à Sigebert Ier, son père, et est proclamé Roi d'Austrasie le 25 décembre 575 n'étant âgé que de 5 ans.

Childebert II d'Austrasie gouverne sous la tutelle de sa mère, Brunehaut qui est exilée à Rouen.

Pendant la captivité de Brunehaut, les seigneurs austrasiens exercent la régence, et s'accoutument si bien au pouvoir, qu'à l'époque où elle est libérée, elle est réduite à essayer de reprendre par des intrigues une autorité qu'elle croyait devoir lui appartenir, comme mère du roi mineur.

Chilpéric Ier de Francie et Frédégonde d'Ardennes, malgré leurs crimes, réussissent à se maintenir sur le trône et gouvernent même leur royaume avec assez d'habileté.

En 575, Marseille revient à Childebert II d'Austrasie, fils de Sigebert Ier, mais Gontran Ier, oncle de ce dernier, tout en s'instituant son tuteur, s'attribue la moitié de la ville : la ville basse.

Childebert II d'Austrasie, outré de ce procédé, rompt avec son oncle.

Théodore, évêque de Marseille, épouse la cause de Childebert II d'Austrasie et a à soutenir une lutte des plus vives contre Dynamius ou Dyname ou Diname, recteur de la Provence pour le compte de Gontran Ier de 575 à 587.

Théodore et Dyname ont des partisans déterminés.

Cette querelle amène des troubles sérieux dans Marseille.

Dès le début, Dyname est appelé à une entrevue qui doit avoir lieu hors des murs de la ville, à l'église de Saint-Étienne (aujourd'hui Notre-Dame du Mont).

Dyname est séparé de ses gardes et mis dans l'obligation de laisser pénétrer les soldats de Childebert II dans la ville.

Dyname se venge bien par la suite : il fait emprisonner à plusieurs reprises Théodore.

L'évêque subit en dernier lieu une assez longue détention, mais Childebert II et Gontran Ier s'étant réconciliés, il peut reprendre la direction de son diocèse et tout rentre dans l'ordre.

La ville devient une indivision sous l'autorité des deux souverains, représentés par un seul fonctionnaire appelé rector et nommé par le roi austrasien.

La région d'Arles, de son côté, semble dépendre de ducs aux pouvoirs territoriaux plus étendus.



Prise de Vannes

Bataille du Pont-Neuf

Waroch, le chef du Vannetais breton, n'acceptant pas la suprématie des Francs, s'empare en 577 de Vannes.

En 578, le roi franc Chilpéric Ier de Francie, décide de reprendre la ville et organise une expédition contre Waroch.

Ce dernier, informé des projets du roi franc, envisage d'attendre l'armée royale au passage de la Vilaine.

Le combat a lieu aux abords du Pont-neuf (le pont romain).

Waroch persuade les machtiems des plous bretons situés à l'ouest de la Vilaine (Guipry, Winnon, Anast,…) de l'intention du roi Chilpéric Ier de Francie de détruire leurs villages, de brûler leurs moissons et de leur faire payer un lourd tribut.

Ils rejoignent Waroch, dont les troupes se trouvent réunies sur les landes recouvrant les terres actuelles de Godier, du Bouéxic et de Launay dans le plou de Guipry.

Tous les passages de la Vilaine sont gardés.

Les troupes de Chilpéric, renforcées par des éléments locaux du comté de Nantes, se maintiennent sur les landes de Bagaron.

Profitant de la nuit, Waroch et ses hommes traversent discrètement la Vilaine et tombent à l'improviste sur les Saxons qui forment le fer de lance de l'armée franque.

Ils en massacrent la majeure partie.

Battu, Chilpéric traite avec son vainqueur.



Adoption de Childebert II par Chilpéric Ier de Francie

En 581, après une brouille avec Gontran Ier, Childebert II se fait adopter par Chilpéric Ier de Francie.



Naissance de Clotaire II

Clothaire ou Clotaire II dit le Jeune ou le grand ou le débonnaire naît à Cambrai en mars 584, fils de Chilpéric Ier de Francie et de Frédégonde d'Ardennes.

Il ne reçoit pas de nom à sa naissance, ceci dans le but de ne pas propager d'inquiétude liée à la symbolique du nom mérovingien.

Voulant choisir un parrain en fonction de l'évolution des troubles qui agitent le royaume des Francs, Chilpéric Ier de Francie, son père ne le fait pas baptiser immédiatement.

Clotaire II est élevé en secret dans la villa royale de Vitry-en-Artois, bourg situé dans le Pas-de-Calais

La conduite scandaleuse de sa mère fait soupçonner la légitimité de sa naissance.


Mort de Chilpéric Ier de Francie

Mort de Chilpéric Ier de Francie

Clotaire II Roi de Soissons et de Neustrie

Frédégonde d'Ardennes Régente de Neustrie

Assassinat des enfants de Chilpéric Ier de Francie

Chilpéric Ier de Francie meurt le 9 octobre 584 poignardé avec un "scramasaxe" par Landry de Walincourt dans sa résidence de Chelles, laissant un enfant de 4 mois.

Frédégonde d'Ardennes, profitant de la division qui existe entre Gontran Ier, Roi de Bourgogne, et Childebert II, son neveu, Roi d'Austrasie, place Clotaire II, son fils, sous la protection de Gontran Ier qui, touché de cette marque de confiance, le tient sur les fonts baptismaux, et le fait reconnaître Roi de Soissons et de Neustrie, dans une assemblée de la noblesse.

Gontran Ier s'empresse de revendiquer tout l'héritage de Caribert dont Chilpéric Ier de Francie s'était emparé.

Frédégonde d'Ardennes gouverne la Neustrie en tant que tutrice de son fils, Clotaire II.

Pour que le royaume revienne à Clotaire II, Frédégonde d'Ardennes, devenue toute-puissante, n'hésite pas à faire mettre successivement à mort deux fils que son mari avait eu de sa première femme, Audovère, et dont l'un avait épousé Brunehaut, captive à Rouen, mais qui songeait à venger les meurtres de sa sœur et de son mari.

Frédégonde d'Ardennes réussit cependant à assurer la domination de son fils sur les provinces de Rouen, de Rennes et d'Angers, ainsi que sur l'ancien royaume de Chilpéric Ier de Francie.

Brunehaut, de son coté, conserve à son fils Childebert II le royaume de Metz et d'Austrasie de son père Sigebert Ier.



Gondovald Roi d'Aquitaine

Après la mort de Chilpéric Ier de Francie, Gondowald ou Gondovald tente de prendre le pouvoir et de soulever les seigneurs d'Aquitaine.

Gondovald est proclamé Roi d'Aquitaine à Brives, en 584, et reconnu par une partie de l'Aquitaine.

Mais à l'annonce de la naissance de Clotaire II, Gondovald est à nouveau abandonné par ses partisans.

Il se retire à Saint-Bertrand-de-Comminges.



Mariage de Gamar Badon de Reims avec Richilde de Neustrie

Gamar Badon de Reims épouse Richilde de Neustrie (née vers 560) fille de Chilpéric Ier de Francie (vers 535-584) et d'Audovère de Soissons (vers 530-vers 580). Leur enfant :


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