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Événements contenant la ou les locutions cherchées
8 événements affichés, le premier en 1815 - le dernier en 1859
Naissance de Charles-Marie-Esprit Espinasse
Charles-Marie-Esprit Espinasse naît à Castelnaudary dans l'Aude le 2 avril 1815, fils de Jean Espinasse et de Germaine Robert.
Charles-Marie-Esprit Espinasse Sous-lieutenant au 47e Régiment d'Infanterie de Ligne
Charles-Marie-Esprit Espinasse entre à Saint-Cyr en 1833 et en ressort sous-lieutenant au 47e Régiment d'Infanterie de Ligne.
Campagne d'Algérie
Charles-Marie-Esprit Espinasse participe à la campagne d'Algérie de 1835 à 1849.
Charles-Marie-Esprit Espinasse est gravement blessé.
Charles-Marie-Esprit Espinasse fait la première moitié de sa carrière en Afrique dans la Légion étrangère.
Charles-Marie-Esprit Espinasse devient capitaine au 1er régiment de chasseurs à pied
Le 17 janvier 1841, Charles-Marie-Esprit Espinasse devient capitaine au 1er régiment de chasseurs à pied.
Mariage de Charles-Marie-Esprit Espinasse avec Marie Festugière
Charles-Marie-Esprit Espinasse épouse en 1853 Marie Festugière, fille d'Adrien Festugière de Ruat, maître de forges, et de Julia Marie Antoinette O'Tard de La Grange. Leurs enfants sont :
Charles-Marie-Esprit Espinasse Aide de camp de Napoléon III
Charles-Marie-Esprit Espinasse est Aide de camp de Napoléon III et inspecteur général de l'infanterie en 1857.
Charles-Marie-Esprit Espinasse Ministre de l'Intérieur
Charles-Marie-Esprit Espinasse Sénateur du Second Empire
Loi de sûreté générale
Après l'attentat d'Orsini, Charles-Marie-Esprit Espinasse devient ministre de l'Intérieur du 7 février au 14 juin 1858.
Charles-Marie-Esprit Espinasse fait voter la fameuse loi de sûreté générale.
Charles-Just-François-Victurnien de Beauvau-Craon vote pour l'adoption de la loi de sûreté générale.
Charles-Marie-Esprit Espinasse est nommé sénateur du Second Empire le 14 juin 1858.
Bataille de Magenta
Mort de Jean Joseph Gustave Cler
Mort de Charles-Marie-Esprit Espinasse
Patrice de Mac-Mahon Maréchal de France
Ferencz Gyulai s'aperçoit du piège et ordonne que le gros de l'armée soit déplacé, à travers Vigevano et Abbiategrasso, de Lomellina à Magenta.
Les Autrichiens reculent, établissant ainsi une ligne défensive entre Naviglio Grande et le Tessin, faisant sauter le grand pont napoléonien de Boffalora sopra Ticino, entre Magenta et Trecate qui résiste et restera partiellement exploitable.
La nuit du 2 au 3 juin 1859, le génie français, protégé par l'artillerie, jette un pont de barques de 180 mètres à Turbigo : le IIe corps d'armée peut commencer à traverser afin de soutenir les premiers combats à Turbigo et Robecchetto.
Le matin du 4 juin 1859, Patrice de Mac-Mahon partage ses troupes en 2 colonnes :
Pendant ce temps, les troupes autrichiennes tardent à arriver et le général autrichien Clam-Gallas dispose ses troupes en triangle avec pour sommets Magenta, Marcallo et Boffalora.
Dès que Napoléon III entend tonner le canon, de son observatoire dans la tour de San Martino al Basto, convaincu que l'attaque de Patrice de Mac-Mahon est engagée, il ordonne aux troupes en attente près du Tessin de se déplacer vers les ponts :
Les Autrichiens font sauter le pont de la douane et celui de la voie ferrée, un peu plus bas. Il reste l'unique passage pour rejoindre la berge gauche du canal.
Patrice de Mac-Mahon est arrêté dans l'attente de coordonner ses 2 colonnes et le IIIe corps d'armée français tarde depuis Novare à rejoindre le champ de bataille.
D'Abbiategrasso, le gros des troupes autrichiennes commence à arriver et son entrée rend la situation critique pour les Français à tel point qu'un télégramme est envoyé à Vienne qui annonce la victoire.
Patrice de Mac-Mahon repousse l'attaque à Boffalora.
Les Autrichiens, menacés sur leur flanc droit par Patrice de Mac-Mahon, se retirent à Magenta.
Après de féroces combats, les Français réussissent à passer sur le ponte Nuovo
Le général français Jean Joseph Gustave Cler tombe.
La bataille se propage autour de la gare ferroviaire de Magenta.
Les Autrichiens se réfugient dans les habitations espérant défendre le territoire mètre par mètre.
Conduisant sa division en pointe, Charles-Marie-Esprit Espinasse est blessé à proximité de Casa Giacobbe, mais sa colonne et celle de Patrice de Mac-Mahon, par une manœuvre en tenaille, attaquent l'ennemi retranché dans la ville.
Le soir, les Bersaglieri de la division du général Manfredo Fanti arrivent à couvrir le côté gauche des alliés.
Ferencz Gyulai décide de se retirer momentanément envisageant une contre-attaque qui n'aura pas lieu.
Adolphe Jean Casimir Niel, commandant le 4e corps, se distingue lors de cette bataille.
Jean Louis Metman se couvre de gloire à Magenta, en enlevant avec son régiment le pont et les ouvrages du naviglio Grande. Le régiment y perd un tiers de son effectif, mais Jean Louis Metman y gagne la croix de Commandeur de la Légion d'Honneur.
Louis-Jules Trochu est divisionnaire.
Charles-Marie-Esprit Espinasse meurt.
Au soir du 4 juin 1859, Patrice de Mac-Mahon, Comte de Mac-Mahon, est fait Maréchal de France et Duc de Magenta, par Napoléon III.
Louis Charles Auguste Morand commande son bataillon au 2e régiment de Zouaves lors de la prise de Magenta, action pour laquelle le drapeau du régiment est décoré.
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