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Événements contenant la ou les locutions cherchées
13 événements affichés, le premier en 1587 - le dernier en 1625
Bataille de Coutras
Mort d'Anne de Joyeuse
Mort de Claude de Joyeuse
Mort de César de Saint-Lary
Jean-Louis de Nogaret Amiral de France, Gouverneur de Normandie, de Caen, du Havre
Le 20 octobre 1587, Anne de Joyeuse attaque les troupes protestantes à Coutras.
Jean III de Beaumanoir commande l'aile gauche de l'armée royale.
Henri IV de France adopte une tactique innovante dans la façon de disposer ses troupes.
Henri IV de France intercale des pelotons de mousquetaires :
La charge des chevau-légers protestants rompt l'armée royale, qui est mise en déroute.
Théodore Agrippa d'Aubigné participe à cette bataille.
L'infanterie et la cavalerie d'Anne de Joyeuse sont décimées.
Anne de Joyeuse se constitue prisonnier, lorsqu'il est reconnu et tué d'un coup de pistolet.
Anne de Joyeuse est inhumé à Montrésor en Indre-et-Loire.
François Ier d'Espinay renverse avec sa lance, de dessus son cheval, Henri Ier de Bourbon-Condé.
Henri Ier de Bourbon-Condé revient affaibli se reposer à St Jean d'Angély.
César de Saint-Lary meurt lors de cette bataille.
Parmi les 2 000 morts catholiques, se trouve également Claude de Joyeuse, jeune frère d'Anne de Joyeuse.
Henri IV de France fait rendre le corps d'Anne de Joyeuse à sa famille, et assiste à une messe en l'honneur des ennemis tués.
Maximilien de Béthune combat à côté d'Henri IV de France à Coutras
Charles de Bourbon-Soissons participe à cette bataille.
Jean Héroard participe à cette bataille.
Henri Ier de la Tour d'Auvergne, premier gentilhomme d'Henri IV de France, prend part, à ses côtés à cette bataille.
Jean-Louis de Nogaret devient Amiral de France, Gouverneur de Normandie, de Caen et du Havre de Grâce.
États généraux de Blois
Urbain de Laval Prisonnier
Henri III de France convoque les États Généraux à Blois qui débutent au château de Blois le 2 octobre 1588.
Charles II de Cossé préside la chambre de la noblesse.
Philippe-Emmanuel de Lorraine assiste aux États généraux de Blois.
Les députés, en majorité ligueurs, demandent à pouvoir exercer un contrôle effectif sur le Conseil du roi.
De retour à la cour, Charles de Bourbon-Soissons obtient le pardon du roi et assiste à ces États généraux.
En décembre 1588, Henri III de France fait arrêter Urbain de Laval aux états de Blois, et le relâche ensuite sur parole.
Le 17 décembre 1588, Louis, cardinal de Lorraine, représentant du clergé aux États généraux, porte un toast à Henri Ier de Guise, son frère, en disant : Je bois à la santé du roi de France.
Pendant la tenue des États de Blois, Philippe de Lenoncourt est atteint d'une maladie de foie qui l'affaiblit tellement, qu'on est obligé de lui donner une nourrice et de l'allaiter comme un tout jeune enfant.
Bataille de Saint-Symphorien
Charles de Bourbon-Soissons Prisonnier
Henri IV de France, après avoir remit de l'ordre en son royaume de Navarre, reprend les hostilités.
Diane de France et Jacques-Auguste de Thou négocie la réconciliation d'Henri III de France, son frère, avec Henri IV de France, Roi de Navarre.
Isolé, traqué par Charles II de Mayenne près d'Amboise, Henri III de France se voit contraint de se réconcilier et de traiter avec le roi de Navarre le 3 avril 1589.
Henri III de France et d'Henri IV de France se rencontrent et signe un traité d'alliance au château de Plessis-lès-Tours le 30 avril 1589.
Troupes royales et troupes protestantes s'unissent alors pour combattre la Ligue.
À Saint-Symphorien, le 8 mai 1589 un faubourg de Tours, a lieu un combat sanglant entre des troupes de Charles II de Mayenne et celles conjointes d'Henri III de France et d'Henri IV de France.
Hercule de Rohan-Guémené participe à ce combat dit aussi bataille du pont de tours pour Henri III de France.
Charles de Bourbon-Soissons est fait prisonnier, est détenu à Château-Giron puis au château de Nantes, d'où il s'évadera pour rejoindre l'armée d'Henri IV de France à Dieppe.
Guillaume de Saulx se déclare pour Henri IV de France dès 1589, malgré Jean de Saulx, son frère, Vicomte de Tavannes, forcené ligueur.
Troisième Siège de Paris
En 1590, après la brillante victoire d'Ivry, Henri IV de France tente un troisième siège sur Paris où plusieurs milliers de pauvres gens meurent de faim.
L'opinion publique peine toutefois à se porter en sa faveur, du fait de l'accentuation de la pression fanatique qu'exerce sur la population une minorité extrémiste appelée les Seize.
Charles de Gontaut-Biron participe à ce siège.
Charles de Bourbon-Soissons prend le commandement de la cavalerie du roi.
En juillet 1590, Guillaume V de Hautemer s'empare du faubourg de Saint-Denis, et s'y retranche.
Alexandre Farnèse à la tête d'une armée espagnole vient secourir Paris.
Alexandre Farnèse se contente de prendre Lagny-sur-Marne, Saint-Maur, Charenton et Corbeil, et ainsi de ravitailler la capitale affamée. Alexandre Farnèse ne risque pas l'affrontement.
Henri IV de France abandonne momentanément Paris.
Alexandre Farnèse se retire ensuite prudemment en Flandre.
En 1590, Jean de Montluc de Balagny aide à faire lever le siège de Paris,
Charles II de Cossé Gouverneur de Paris
Sacre d'Henri IV de France
Philippe Crespin du Bec Archevêque de Reims
Entrée triomphale Henri IV de France dans Paris
Charles II de Cossé Maréchal de France
En janvier 1594, Charles II de Mayenne établit Charles II de Cossé, Gouverneur de Paris.
Henri IV de France se fait sacrer dans la cathédrale de Chartres le 27 février 1594.
Charles de Bourbon-Soissons assiste à se couronnement.
Albert de Gondi y représente le Comte de Toulouse.
Anne de Lévis-Ventadour y assiste et a l'insigne honneur de représenter l'un des 6 anciens pairs de France, le Comte de Champagne, qui porte la bannière royale et avec les 5 autres, soutient la couronne sur la tête du roi.
Jacques II de Goyon finit par se ranger au côté d'Henri IV de France, au sacre duquel il remplit les fonctions de connétable.
Philippe Crespin du Bec s'attache à Henri IV de France.
Philippe Crespin du Bec est présent à son sacre.
En prélat, Philippe Crespin du Bec lui rappelle les obligations d'un monarque catholique, alors Fils aîné de l'Église.
Reconnaissant, Henri IV de France nomme Philippe Crespin du Bec Archevêque de Reims
Charles II de Cossé conspire pour faire entrer Henri IV de France dans Paris.
D'où la chanson :
Tu es sauvé, Paris ; ton gouverneur Brissac a gardé ton navire et du bris et du sac.
Catherine-Marie de Lorraine doit accepter sa défaite.
Malgré les supplications de Louise de Lorraine-Vaudémont, veuve d'Henri III de France, sa cousine, Henri IV de France n'exerce pas de représailles à son encontre.
Mariage de Charles de Bourbon-Soissons avec Anne de Montafié
Charles de Bourbon-Soissons épouse Anne de Montafié ou de Montaflié, Dame de Lucé, fille de Ludovic de Montafié et de Jeanne de Cœsmes. Leurs enfants sont :
Naissance de Louise de Bourbon-Soissons
Louise de Bourbon-Soissons naît en 1603, fille de Charles de Bourbon-Soissons et d'Anne de Montafié.
Naissance de Louis de Bourbon-Condé
Louis de Bourbon-Condé naît en 1604, fils de Charles de Bourbon-Soissons et d'Anne de Montafié.
Naissance de Charles d'Angennes
Charles d'Angennes naît en 1605, fils de Loys ou Louis d'Angennes (mort en 1622), Baron de La Loupe et Seigneur de Sainte Colombe, et de Françoise d'Auberville.
Il est baptisé à La Loupe en Eure-et-Loir le 19 juin 1605.
Son parrain est Charles de Bourbon-Soissons.
Sa marraine est Mme de Lori.
Naissance de Marie de Bourbon-Condé
Marie de Bourbon-Condé naît le 3 mars 1606, fille de Charles de Bourbon-Soissons et d'Anne de Montafié.
Charles de Bourbon-Soissons Vice-roi du Canada
Charles de Bourbon-Soissons devient vice-roi du Canada le 8 octobre 1612.
Mort de Charles de Bourbon-Soissons Comte de Soissons et de Dreux
Charles de Bourbon-Soissons meurt au château de Blandy-les-Tours le 1er novembre 1612.
Louis de Bourbon-Condé, son fils, devient gouverneur du Dauphiné.
Mariage de Thomas-François de Savoie-Carignan avec Marie de Bourbon-Condé
Thomas-François de Savoie-Carignan épouse à Paris le 14 avril 1625 Marie de Bourbon-Condé, fille de Charles de Bourbon-Soissons, Comte de Soissons et de Dreux, et d'Anne de Montafié. Leurs enfants sont :
Il est à l'origine de la branche de Savoie-Carignan au sein de la Maison de Savoie.
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