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Événements contenant la ou les locutions cherchées



22 événements affichés, le premier en 1547 - le dernier en 1631


Claude II de Lorraine - Galerie des batailles - Versailles

Mariage de Claude II de Lorraine avec Louise de Brézé

Claude II de Lorraine épouse le 1er août 1547 Louise de Brézé (1518-1577), fille de Louis de Brézé et de Diane de Poitiers. Leurs enfants sont :

En mariant sa fille cadette, Diane de Poitiers sait se ménager une alliance qui deviendra sa plus sûre protection.



Naissance de Charles Ier d'Aumale

Charles Ier d'Aumale ou de Lorraine naît le 25 janvier 1555, fils de Claude II de Lorraine et de Louise de Brézé.



Mariage de René II de Lorraine-Guise avec Louise de Rieux

René II de Lorraine-Guise épouse le 3 février 1554 ou 1555 Louise de Rieux, fille de Claude Ier de Rieux et de Suzanne de Bourbon-Montpensier. Leurs enfants sont :


François d'Alençon - 1572

Suite du siège de La Rochelle

Mort de Claude II de Lorraine

Charles Ier d'Aumale Duc d'Aumale

Charles II de Mayenne Gouverneur de Bourgogne et Grand chambellan du roi

Érection du marquisat de Mayenne en duché-pairie

Henri III de France Roi de Pologne

Henri Ier de La Tour d'Auvergne participe au siège de La Rochelle en 1573.

Albert de Gondi participe à ce siège où il est blessé.

Jean-Louis de Nogaret participe à ce siège et y rencontre Henri III de France.

Jean de Saulx suit Henri III de France à ce siège.

Catherine de Parthenay y fait jouer sa tragédie Holopherne afin de galvaniser, semble-t-il, le moral des femmes, dont certaines participent aux combats.

François d'Alençon marque son opposition à Henri III de France et se lie d'amitié avec Henri de Navarre, le futur Henri IV de France.

Charles IX de France envoie François III de la Noue, un noble protestant rallié aux Valois, afin de parlementer avec les insurgés.

Les rochelais, ulcérés par la tragédie qui vient de se jouer, refusent toute négociation.

N'oubliant pas ses convictions huguenotes, François III de la Noue devient avec l'accord du roi le chef des Rochelais et organise la défense de la ville.

Le souverain espère ainsi favoriser une solution.

Le 2 février 1573, Henri III de France, duc d'Anjou, l'incite à se rendre dans des conditions favorables, tout en exigeant une reddition sous 3 jours.

Faisant face au refus de ses coreligionnaires extrémistes, qui pour certains l'accusent de traîtrise, François III de la Noue quitte la ville pour attendre l'issue du siège de La Rochelle au camp royal, sans prendre part aux combats.

Le 11 février 1573, Henri III de France prend le commandement de l'armée royale qui compte bientôt 28 000 hommes.

Claude II de Lorraine qui accompagne le duc d'Anjou au siège de La Rochelle, y meurt le 3 mars 1573.

Charles Ier d'Aumale, son fils, devient Duc d'Aumale.

De retour dans son pays, Charles II de Mayenne remplace Claude II de Lorraine comme Gouverneur de Bourgogne et Grand chambellan du roi.

Charles IX de France érige le marquisat de Mayenne en duché-pairie.

Louis de Gonzague s'illustre lors de ce siège en tentant de bloquer l'entrée côté mer.

Henri III de France apprend alors qu'il vient d'être élu Roi de Pologne le 10 mai 1573.

Sa candidature a été soutenue auprès de la Diète par Jean de Lasseran et, en sous main, par les Turcs.

Jean de Lasseran promet aux nobles polonais s'ils élisent Henri III de Francecomme Roi :

Malheureusement pour elle, après avoir été élu, Henri retirera sa promesse.

Henri III de France met un terme à ses opérations militaires contre les réformés.

François III de la Noue signe finalement la paix le 24 juin 1573.

Le siège est levé le 6 juillet 1573.

Gilles de Souvré s'attache à Henri III de France duc d'Anjou qu'il accompagna en Pologne en 1573.



Destruction du château de Châtillon-sur-Marne

Bataille de Dormans

Henri Ier de Bourbon-Condé fait venir Jean Casimir le fils du comte palatin du Rhin, avec son armée de reîtres.

Les Calvinistes poursuivis par Henri Ier de Guise s'emparèrent du château de Châtillon-sur-Marne et le détruisent, vers 1575.

Les armées royales empêchent le mouvement de s'étendre à Dormans, où Henri Ier de Guise, placé à la tête des troupes royales, vainc les reîtres le 10 octobre 1575.

Blessé au visage, Henri Ier de Guise y gagne son surnom de "Balafré", comme son père.

Philippe-Emmanuel de Lorraine participe à cette bataille.

Charles Ier d'Aumale combat avec Henri Ier de Guise, son cousin.

Guillaume V de Hautemer défait 99 reîtres.

Mais il ne peut empêcher le gros des mercenaires allemands d'Henri de Bourbon-Condé de pénétrer dans le royaume et de menacer Paris.



Charles Ier d'Aumale Seigneur d'Anet

En 1576, Louise de Brézé abandonne le château à son fils Charles Ier d'Aumale.



Mariage de Charles Ier d'Aumale avec Marie de Lorraine-Elbeuf

Charles Ier d'Aumale épouse à Joinville le 10 novembre 1576 Marie de Lorraine-Elbeuf, sa cousine germaine, fille de René II de Lorraine-Guise, et de Louise de Rieux. Leurs enfants sont :



Inhumation solennelle de Diane de Poitiers

Le corps de Diane de Poitiers est resté jusqu'alors dans l'église de la paroisse d'Anet.

Charles Ier d'Aumale fait consacrer la chapelle sépulcrale d'Anet en 1577 et y fait inhumer solennellement Diane de Poitiers, sa grand-mère.



Charles Ier d'Aumale Chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit

Jacques II de Goyon Chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit

Honorat II de Savoie chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit

Philippe-Emmanuel de Lorraine Chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit

Jean VI d'Aumont Chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit

François de Bourbon-Condé en le faisant chevalier de l'ordre du Saint-Esprit

Le 1er janvier 1579, Henri III de France nomme dans la première promotion des chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit :

Henri III de France s'attache François de Bourbon-Condé en le faisant chevalier de l'ordre du Saint-Esprit dès 1579



Henri III de France et Catherine de Médicis à Anet

Charles Ier d'Aumale reçoit en 1581 Henri III de France qui, avec la reine-mère Catherine de Médicis, tient un de ses enfants sur les fonts baptismaux de la chapelle d'Anet.



Anet Principauté

En 1583, Charles Ier d'Aumale fait achever l'église paroissiale d'Anet, fonde dans le parc du château un couvent de Cordeliers.

Charles Ier d'Aumale obtient d'Henri III de France, l'érection de la seigneurie d'Anet en principauté.



Révolte en Picardie

Charles Ier d'Aumale est l'un des chefs de la Sainte-Ligue, Gouverneur de Picardie et Grand Veneur de France. Il conduit la révolte en Picardie en 1587, mais tente un rapprochement avec Henri III de France.



Assassinat d'Henri Ier de Guise

Mort de Louis II de Lorraine

Charles Ier de Lorraine Duc de Guise et Prince de Joinville

Le 23 décembre 1588, Henri III de France fait assassiner Henri Ier de Guise par des membres des "Quarante-cinq", sa garde personnelle au château de Blois dans la propre chambre d'Henri III de France.

On retrouve sur Henri Ier de Guise ce billet portant son écriture :

Pour entretenir la guerre en France, il faut 700 000 livres tous les mois.

Son corps est brûlé dans une des salles du château et ses cendres jetées dans la Loire.

Présent à Blois lors des évènements, Jean Héroard rédige le Récit de la mort des duc et cardinal de Guise.

Charles Ier de Lorraine, son fils, est arrêté avec le reste de la famille, mais s'évade de sa prison de Tours.

Charles Ier de Lorraine se rend à Paris et est reconnu chef de la Ligue.

L'assassinat du duc de Guise multiplie la haine et le fanatisme de Catherine-Marie de Lorraine à l'encontre du roi.

Catherine-Marie de Lorraine joue un rôle de premier plan dans la révolte en poussant à l'action les membres de sa famille.

Catherine-Marie de Lorraine part ainsi à la rencontre de Charles II de Mayenne, son frère pour le convaincre de venir à Paris prendre la tête de la Ligue.

Le lendemain, le 24 décembre 1588, le Cardinal Louis II de Lorraine, frère d'Henri Ier de Guise, meurt au château de Blois assassiné sur ordre d'Henri III de France.

Son corps est aussi brûlé et ses cendres jetées dans la Loire.

Jacques Amyot se trouve à Blois au moment de l'assassinat d'Henri Ier de Guise et Louis II de Lorraine.

Sixte V nomme Philippe de Lenoncourt à l'archevêché de Reims, mais cette nomination demeurera sans effet.

Henri III de France tente de justifier ces actes en prétextant des dangers que les Guise auraient représentés pour la couronne.

Charles Ier de Lorraine devient 4e Duc de Guise en 1588.

Prévenu par Louise de Lorraine-Vaudémont, la reine, sa sœur, Philippe-Emmanuel de Lorraine s'échappe et se réfugie en Bretagne.

L'assassinat de Henri Ier de Guise met fin à la tentative de rapprochement de Charles Ier d'Aumale et d'Henri III de France.

Henri III de France fait arrêter Charles Ier de Bourbon à Blois.

Il est emprisonné un premier temps à Tours.

Il finira sa vie enfermé au château de Fontenay-le-Comte.



Bataille de Senlis

Henri Ier d'Orléans-Longueville Pair et Grand chambellan de France

Les forces d'Henri III de France et d'Henri IV de France commandée par Henri Ier d'Orléans-Longueville gagnent sur les Ligueurs la bataille de Senlis le 17 mai 1589.

Anne d'Anglure combat contre la Ligue dans cette bataille.

Jean de Montluc de Balagny qui embrasse le parti de la Ligue, fait parti des battus, ainsi que Charles Ier d'Aumale.

Henri Ier d'Orléans-Longueville devient Pair et Grand chambellan de France en 1589.



Siège du château de Beaumont-sur-Oise

Jean de Biencourt passe de longues années aux armées, dans le parti de la Ligue, parmi les troupes de Charles Ier d'Aumale dont il est l'un des plus brillants capitaines.

Jean de Biencourt s'illustre en 1590, dans la défense du château de Beaumont-sur-Oise assiégé par les huguenots.



Siège d'Évreux

Bataille d'Ivry-la-Bataille

Urbain de Laval Prisonnier

Mort de Philippe Egmont

La capitale est assiégée de façon lâche par Henri IV de France depuis près d'un an.

Si les communications sont possibles, toutes les villes environnantes, et les provinces l'approvisionnant habituellement :

sont aux mains d'Henri IV de France.

La ville est menacée de famine. Charles II de Mayenne, nommé lieutenant général du Royaume par le Paris ligueur, commande la garnison parisienne et tente de délivrer les environs de Paris des garnisons d'Henri IV de France.

Pour verrouiller l'accès à la Normandie, Henri IV de France part assiéger la ville d'Évreux qui est aux mains de la Ligue.

Charles II de Mayenne se porte au secours de cette ville.

En apprenant l'approche des troupes de la Ligue, Henri IV de France décide de lever le siège et de se retirer à proximité pour se déployer dans la plaine Saint-André entre la ville de Nonancourt et la ville d'Ivry qu'on renommera ensuite Ivry-la-Bataille.

Charles II de Mayenne arrive avant la fin du déploiement mais trop tard pour commencer la bataille qui est remise au lendemain.

Le 14 mars 1590 à l'aube, les deux armées sont face à face.

Henri IV de France, et ses lieutenants :

ne dispose que de 8 000 hommes d'infanterie et 3 000 cavaliers.

Dominique de Vic se comporte remarquablement vaillamment et est fait sergent.

François III de la Noue participe à ces combats.

Anne d'Anglure participe aux batailles autour de Paris en 1590.

Charles de Gontaut-Biron, fils d'Armand Ier de Gontaut-Biron, participe à ce combat

Maximilien de Béthune combat à côté d'Henri IV de France.

Charles II de Mayenne et ses lieutenants :

dispose de 12 000 fantassins et mercenaires allemands et de 4 000 cavaliers dont 2 000 espagnols.

Tilly, au service de Charles II de Mayenne, participe à cette bataille.

Le début des combats est déclenché par le tir des 6 canons composant l'artillerie royale et dirigés par La Guiche, puis c'est le choc des deux cavaleries.

La charge des reîtres de la Ligue réussit à culbuter les chevau-légers du roi, puis les Wallons éliminent l'artillerie royale.

Jean VI d'Aumont ne résiste pas à l'attaque de 3 escadrons de la Ligue.

Mais ce succès est stoppé net par la charge commune de Montpensier et d'Armand Ier de Gontaut-Biron qui viennent à la rescousse de Jean VI d'Aumont.

De l'autre côté de la ligne, Henri IV de France charge les lanciers de la Ligue de manière à les empêcher de prendre le champ nécessaire à l'utilisation de leur lance.

Pour renverser la bataille, Charles II de Mayenne décide de charger l'escadron royal, formé de 600 cavaliers.

Henri IV de France a fait poser sur son chapeau de grandes plumes blanches pour être plus facilement repérable pendant la bataille. Il harangué ses troupes par ces mots :

Mes compagnons, Dieu est pour nous ! Voici ses ennemis et les nôtres ! Si vos cornettes vous manquent, ralliez vous à mon panache blanc, vous le trouverez toujours sur le chemin de l'honneur et de la gloire

La bataille tourne alors à la mêlée pure et simple, à tel point que l'on crut plusieurs fois le roi mort ou prisonnier et que les Ligueurs crient même victoire. Le roi doit rallier ses troupes pour les haranguer de nouveau et les rassurer sur sa santé par ces phrases :

Tournez visage, leur crie-t-il, afin que si vous ne voulez combattre, vous me voyez du moins mourir !

puis il repart dans la mêlée où ses troupes le suivent dans un élan qui les mènent à la victoire.

Du côté ligueur :

Seuls les Suisses ne se débandent pas, et Armand Ier de Gontaut-Biron refuse de charger cette troupe d'élite. Ils obtiennent la vie sauve.

Maximilien de Béthune est blessé.

Urbain de Laval est blessé et prisonnier.

François de Bourbon-Condé participe à cette bataille.

Les royalistes ramènent de nombreux trophées dont 5 canons, tous les drapeaux ennemis ainsi que la cornette de Charles II de Mayenne et l'étendard du Comte d'Egmont. Les chefs ligueurs sont poursuivis, Charles II de Mayenne fuit jusqu'à Nantes, d'autres se réfugient à Chartres.

Charles Ier d'Aumale, fait prisonnier, refuse de se soumettre et continue la lutte.

Au soir de cette victoire, le roi dit à Jean VI d'Aumont, si vaillant dans la bataille, que :

Il est juste que vous soyez du festin, après m'avoir si bien servi à mes noces.

Le soir, contrairement aux usages, un festin rassemble ceux qui ont combattu.

Cette bataille sonne le glas de la Ligue catholique, déjà très éprouvée par la bataille d'Arques.



Exil de Charles Ier d'Aumale à Bruxelles

Charles Ier d'Aumale s'exile à Bruxelles alors capitale des Pays-Bas espagnols.

Son exil durera presque 40 ans.

Le Parlement de Paris condamne Charles Ier d'Aumale pour crime de lèse-majesté le 6 juillet 1595.

Il est condamné à mort et ses biens sont saisis.

Il est écartelé en effigie et le château d'Anet doit être rasé à fleur de terre et les bois voisins abattus à hauteur de ceinture.

Heureusement, Henri IV de France, dans un esprit d'apaisement, ne fait pas exécuter cette clause de l'arrêt.

Charles Ier d'Aumale est le seul membre de la famille des Guise à avoir obstinément refusé de se soumettre au roi.



Bataille de Nieuport

Lassé des pillages incessants des corsaires dunkerquois, Maurice d'Orange-Nassau décide de détruire une fois pour toutes ce nid de pirates que représente Dunkerque.

Le 21 juin 1600 Maurice d'Orange-Nassau rassemble une armée forte de 12 régiments d'infanterie et de 25 escadrons de cavalerie : 10 000 fantassins et 1 400 cavaliers et 14 canons.

Le 22 juin 1600cette armée traverse l'estuaire de l'Escaut dans une multitude de petits navires et arrive à Ostende, sa base pendant les opérations.

Maurice d'Orange-Nassau laisse là la moitié d'un régiment et 4 escadrons pour renforcer la garnison et le 30 juin 1600 part pour Nieuport.

Il arrive devant la place, le 1er juillet 1600.

Il envoie 2/3 de sa force sur l'autre rive de l'Yser pour se protéger de l'ouest.

Alors qu'elle marche le long de la côte, l'armée hollandaise rencontre l'armée espagnole d'Albert VII de Habsbourg, forte de 7 700 fantassins, 1 200 cavaliers et 9 canons.

Maurice d'Orange-Nassau remporte la bataille de Nieuport ou Nieuwpoort le 2 juillet 1600.

Mais Maurice d'Orange-Nassau fait demi-tour.

Pour ce coup-ci, Dunkerque est épargnée.

Charles Ier d'Aumale se met au service d'Albert VII de Habsbourg.

Il est doté de charges honorifiques et combat dans l'armée espagnole.

Charles Ier d'Aumale est blessé à lors de cette bataille.



Naissance d'Anne de Lorraine

Anne de Lorraine naît en 1600, fille de Charles Ier d'Aumale et de Marie de Lorraine-Elbeuf.



Cession du château d'Anet

Ruinée par Charles Ier d'Aumale, Marie de Lorraine-Elbeuf, harcelée par les créanciers, doit vendre le château d'Anet à Marie de Luxembourg en 1615.


Henri Ier de Savoie-Nemours

Mariage d'Henri Ier de Savoie-Nemours avec Anne de Lorraine

Henri Ier de Savoie-Nemours Duc d'Aumale

Henri Ier de Savoie-Nemours épouse le 18 avril 1618 Anne de Lorraine, fille de Charles Ier d'Aumale et de Marie de Lorraine-Elbeuf. Leurs enfants sont :

À cette occasion, Louis XIII rend à Henri Ier de Savoie-Nemours le duché d'Aumale qui avait été confisqué au père d'Anne de Lorraine en 1595.

Le château d'Ussé passe par ce mariage à Henri Ier de Savoie-Nemours.



Mort de Charles Ier d'Aumale

Charles Ier d'Aumale meurt à Bruxelles en 1631.


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