Listes Recherche par nom de personne, de lieu,... Recherche par Année Carte

Page précédente Accueil du site Mode d'emploi Nous écrire



De l'année à l'année
Sans mise en forme











Événements contenant la ou les locutions cherchées



37 événements affichés, le premier en 1473 - le dernier en 1868


Anne de France - par Jean Hey - vers 1498- huile sur panneau droite du Triptyque - Cathédrale de Moulins Triptyque de Moulins - par Jean Hey - vers 1498- huile sur panneau central du Triptyque - Cathédrale de Moulins Pierre II de Bourbon ou de Beaujeu - par Jean Hey - vers 1498- huile sur panneau gauche du Triptyque - Cathédrale de Moulins

Mariage de Pierre II de Bourbon avec Anne de France

Pierre II de Bourbon épouse en novembre 1473 Anne de France, fille de Louis XI et de Charlotte de Savoie. Leurs enfants sont :



Mort de Barthélemy de Montesquiou Co-seigneur de Lussan, Seigneur de Gastun, de Salles, de Marsan et de Milhas

Barthélemy de Montesquiou meurt en 1482.



Naissance de Charles III de Bourbon

Charles III de Bourbon naît à Montpensier en 1489 ou le 17 février 1490, fils de Gilbert de Bourbon-Montpensier et de Claire de Gonzague.

Anne de France assure son éducation.



Prise de Rome

Prises de Merillano et de Capoue

Frédéric II de Naples Comte du Maine

Louis d'Armagnac Vice-roi de Naples

Mort de Louis II de Bourbon-Montpensier

Charles III de Bourbon Comte de Montpensier, de Clermont

Charles III de Bourbon Dauphin d'Auvergne

Le 1er juin 1501, l'armée française et les troupes de César Borgia quittent Milan pour Naples.

Jean de Poitiers participe à cette campagne.

Bérault Stuart participe à la prise de Rome en juin 1501.

Bérault Stuart au siège de Capoue en juillet 1501.

Louis II de Bourbon-Montpensier prend part à la troisième guerre d'Italie en 1501, et participe aux prises de Merillano et de Capoue.

Pendant qu'ils descendent la Péninsule, les Espagnols prennent pied en Calabre et dans les Pouilles.

Jacques II de Chabannes s'empare de plusieurs places dans les Abruzzes et les Pouilles;

En août 1501, les Français sont devant Naples.

Frédéric II de Naples est abandonné par le pape Alexandre VI qui s'est allié avec Louis XII.

Plutôt que de soutenir un siège, Frédéric II de Naples négocie avec Louis XII et capitule le 26 septembre 1501.

Il se réfugie auprès de Louis XII qui lui attribue une pension et les titres de Duc d'Anjou et de Comte du Maine en contrepartie de son renoncement au royaume de Naples.

Bérault Stuart est nommé vice roi de Naples.

Son gouvernement est cité comme un modèle d'habileté et de sagesse.

Louis d'Armagnac, Duc de Nemours, est nommé vice-roi de Naples.

Louis II de Bourbon-Montpensier meurt à Naples en 1501.

Charles III de Bourbon, son frère, devient Comte de Montpensier et de Clermont et Dauphin d'Auvergne en 1501.



Mariage de Charles III de Bourbon avec Suzanne de Bourbon

Charles III de Bourbon Duc de Bourbon et d'Auvergne

Charles III de Bourbon Comte de Forez et de la Marche

Charles III de Bourbon Sire de Beaujeu

Charles III de Bourbon épouse en 1505 Suzanne de Bourbon, sa cousine, fille et héritière de Pierre II de Bourbon et d'Anne de France. Leurs enfants sont :

Ce mariage fait de lui le seigneur le plus riche de l'époque.

Charles III de Bourbon devient Duc de Bourbon, d'Auvergne, Comte de Forez, de la Marche et Sire de Beaujeu.


Louis XII à Gênes - en 1507 - par Jehan Marot - Enluminures de Jean Bourdichon

Révolte à Gênes

Siège de Gênes

En 1507, les habitants de la ville de Gênes se révoltent.

Louis XII est réclamé par la population.

En avril 1507, Bayard force le passage des Apennins devant Gênes.

Charles III de Bourbon accompagne Louis XII à Gênes.

Bérault Stuart accompagne Louis XII à Gênes.

Charles IV d'Alençon y fait sa première campagne.

Robert Stuart d'Aubigny participe à ce siège.

Louis II de La Trémoïlle et Charles de La Trémoïlle, son fils, se distingue lors de cette expédition de Gênes.

Favori de François Ier de France, Guillaume Gouffier se concilie sa faveur par le courage qu'il déploie lors de ce siège.

Jacques II de Chabannes commande en 1507 l'avant-garde de l'ost français au siège de Gênes, au cours duquel il est grièvement blessé.

Charles II d'Amboise réprime la révolte des Génois.

Louis II d'Amboise entre triomphalement à Gênes avec Louis XII.

Odet de Foix suit, très jeune, Louis XII dans son expédition d'Italie.

Odet de Foix est de son cortège lorsqu'il entre dans Gênes le 28 octobre 1507.



Nouvelle campagne en Italie

Les troupes françaises défilent en présence du roi, le 20 avril 1508.

Le soulèvement les habitants de la ville de Gênes permet à Louis XII d'intervenir à nouveau en Italie.

Il part pour l'Italie le 14 mai 1508.

Le pape Jules II demande son aide, qu'il accorde, pour récupérer la ville de Bologne.

Mais à Gênes, une vingtaine de français sont assassinés.

Furieux, Louis XII monte une expédition punitive pour les venger.

Pour éviter un massacre et un pillage, la ville demande pardon.

Charles III de Bourbon accompagne Louis XII à Gênes, qui envisage alors une quatrième expédition en Italie.



Bulle d'excommunication contre Venise

Bataille d'Agnadel

Bartolomeo d'Alviano Prisonnier

Prise de Brescia, Bergame, Crémone et Peschiera

Siège de Padoue

Jacques II de Chabannes est envoyé au secours de Maximilien Ier de Habsbourg.

Le 15 avril 1509, l'armée française quitte Milan.

Jules II fulmine une bulle d'excommunication contre Venise, le 27 avril 1509.

Les Vénitiens refusent de céder à l'ultimatum papal et la guerre éclate.

Commandées par Louis XII de France en personne, l'armée française franchit la frontière lombarde le 9 mai 1509.

Philippe de Savoie-Nemours, Antoine II de Lorraine, Charles III de Bourbon, Charles IV d'Alençon, Jacques de Trivulce, Charles II d'Amboise, Louis II de La Trémoïlle et son fils Charles de La Trémoïlle participent à cette Campagne.

Venise lève une armée de mercenaires commandée par Bartolomeo d'Alviano et Niccolò di Pitigliano, les cousins Orsini.

Cette armée composée de 30 000 fantassins et 2 000 cavaliers, stationne devant Bergame.

Ils reçoivent l'ordre d'éviter toute confrontation directe et de s'en tenir à des démonstrations et des escarmouches pour harceler l'ennemi.

Le 9 mai 1509, Louis XII, à la tête de 30 000 hommes dont 6 000 Suisses et 2000 cavaliers, fait traverser l'Adda à son armée, à hauteur de Cassano d'Adda.

Charles II d'Amboise commande l'avant-garde.

Bartolomeo d'Alviano est partisan d'enfreindre les consignes des doges et d'attaquer de front l'envahisseur.

Mais finalement, Bartolomeo d'Alviano et Niccolò di Pitigliano qui campent sous les remparts de Treviglio, se décident à décrocher sur le Pô afin de tenir des positions plus solides.

Le 14 mai 1509, alors qu'il fait marche vers le sud, Bartolomeo d'Alviano se heurte à un détachement français commandé par Charles II d'Amboise, qui stationne ses troupes autour du village d'Agnadel.

Bartolomeo d'Alviano range son armée, environ 8 000 hommes, en ordre de bataille, sur un coteau surplombant un vignoble.

Les vénitiens engagent l'action qui est reçu par l'avant-garde Française.

Charles II d'Amboise répond par une charge de cavalerie, puis fait monter les piquiers suisses à l'assaut.

Ses troupes sont ralenties dans l'ascension de la colline par le franchissement d'un fossé de drainage et par la pluie.

Les positions vénitiennes soutiennent le premier choc.

Niccolò di Pitigliano est déjà plusieurs kilomètres au sud.

Il reçoit un message de Bartolomeo d'Alviano l'appelant à la rescousse.

Il fait répondre qu'il vaut mieux interrompre la bataille, et poursuit sa marche vers le sud.

Le gros de l'armée française arrive à Agnadel et encercle Bartolomeo d'Alviano.

Robert Stuart d'Aubigny participe à cette bataille.

Les bataillons Français et Vénitiens se combattent dans une terrible mêlée, sans pouvoir presque se reconnaitre, et dans un tel tumulte que les ordres sont à peine entendus par les soldats.

Louis XII fait disposer son artillerie dans les broussailles, hors de la vue des ennemis.

Il les fait tirer, éclaircissant les rangs Vénitiens.

Il fait alors donner la gendarmerie Française, qui est alors la plus redoutable d'Europe, mettant en fuite les forces ennemies.

Bartolomeo d'Alviano est renversé de son cheval et reçoit un coup de lance qui lui fait perdre l'œil.

Il est fait prisonnier.

Les Français, notamment le chevalier Bayard, s'illustrent aux côtés de leurs alliés.

La cavalerie vénitienne s'enfuit, puis en l'espace de 3 heures, l'armée vénitienne est détruite et compte 4 000 morts.

L'issue de la bataille est connue de Niccolò di Pitigliano dans la soirée.

Au matin, la moitié de ses troupes ont déserté.

Une Chapelle des Morts ainsi qu'une stèle commémorative rappellent encore aujourd'hui la bataille d'Agnadel.

Confronté à l'avance inexorable de l'armée française, Niccolò di Pitigliano précipite se retraite sur Trévise et Venise, laissant Louis XII prendre possession de toute la Lombardie.

Louis XII s'empare immédiatement des villes lombardes qui lui reviennent : Brescia, Bergame, Crémone et Peschiera.

Charles IV d'Alençon participe aux prises de Bergame, de Caravaggio, de Borromeo et de Crémone.

La victoire française met la République de Venise à la merci d'une invasion, voire d'une disparition.

Machiavel a pu dire de cette bataille qu'en un jour les Vénitiens ont perdu ce qu'ils avaient mis 800 ans à arracher.

Maximilien Ier de Habsbourg fait de même avec les siennes et Jules II occupe la Romagne.

Les troupes vénitiennes se ressaisissent.

Le 15 juillet 1509, les Vénitiens qui s'étaient fortifiés dans Trévise, assiège Padoue sous les ordres d'Andréa Gritti.

En septembre 1509, ils reprennent Padoue.

Maximilien Ier de Habsbourg vient mettre le siège devant Padoue le 15 septembre 1509, mais doit le lever 17 jours plus tard.



Charles III de Bourbon Gouverneur du Languedoc

Invasion de la Navarre par le Duc d'Albe

Jacques II de Chabannes au secours de Jean III d'Albret

Intégration de la Haute-Navarre au royaume de Castille

En 1512, Louis XII fait Charles III de Bourbon Gouverneur du Languedoc.

Ferdinand II d'Aragon prend prétexte de l'ascendance de son épouse Germaine de Foix pour revendiquer la couronne de Navarre.

Ferdinand II d'Aragon fait envahir Pampelune par Fadrique Álvarez de Toledo y Enríquez de Quiñones, deuxième Duc d'Albe, en 1512 puis toute la Navarre au Nord comme au Sud.

Rentré en France à l'automne 1512, Jacques II de Chabannes est envoyé dans les Pyrénées au secours de Jean III d'Albret.

Louis XII envoie Charles III de Bourbon combattre Ferdinand II d'Aragon.

Jean III d'Albret de Navarre perd ses territoires au-delà des Pyrénées.

La Haute-Navarre et une partie de la Basse-Navarre sont annexées par le royaume de Castille.

L'Espagne achève ainsi son unité.

L'usurpation est sanctionnée par une bulle du pape Jules II.


Antoine Duprat

L'entourage de François Ier de France

Antoine Duprat Principal ministre et chancelier de France

Claude de Lorraine-Guise Échanson du roi

François Ier de France, physiquement imposant et doté d'un caractère déterminé, souhaite jouer un rôle de premier ordre en Europe.

S'il n'est pas encore aguerri aux fonctions de Roi, François Ier de France sait s'entourer de personnes efficaces.

Sa mère, Louise de Savoie, entre au Conseil privé.

François Ier de France est reconnaissant vis-à-vis des personnes qui ont servi Louis XII : la Trémoïlle, Odet de Foix et de La Palisse.

Il favorise également des amis d'enfance :

Ainsi, François Ier de France nomme Antoine Duprat principal ministre et chancelier de France le 7 janvier 1515, office qu'il conservera tout au long de sa vie.

Claude de Lorraine-Guise est nommé Échanson du roi et entre dans son conseil.

De 1515 à 1518, François Ier vit au château d'Amboise.

La Cour du Roi qui peut représenter jusqu'à 10 000 personnes, est un instrument de pouvoir pour le Roi.

La noblesse y est très présente, souhaitant attirer les faveurs du souverain.

Ceux qui en ont la chance, loge avec le Roi.

De fête en tournoi ou en lecture de poèmes, François Ier entretient une ambiance agréable.

Il aime à se mêler aux membres de la Cour.

Les temps fort d'une journée royale sont la chasse à cour et les repas.

Toutes les précautions sont prises pour la nourriture et les boissons destinées au Roi.

La Renaissance est réputée pour ses empoisonnements.

La Maison du Roi dirigée par Artus Gouffier de Boissy, puis René de Savoie, oncle du Roi, organise la vie du souverain et de son entourage.

Cette Maison recouvre les besoins de l'esprit, l'intendance du Roi et sa table.

Il existe également une armée pour assurer la protection du Roi.

Cette Maison du Roi est l'ambition de beaucoup de nobles.



Défense de la Bourgogne par Charles III de Bourbon

En 1515, Charles III de Bourbon défend la Bourgogne contre Maximilien Ier de Habsbourg.


Prospero Colonna - Extrait du Journal de Louise de Savoie -Gravure du XVIe Bataille de Marignan Charles III de Bourbon, gravure de Thomas de Leu Charles III de Bourbon

Bataille de Marignan

Mort de Charles de Bueil

Mort de Charles de la Trémoïlle

Déposition de Maximilien Sforza

François Ier Duc de Milan, de Parme et de Plaisance

Charles III de Bourbon Connétable de France

Charles III de Bourbon Vice-roi du Milanais

Pendant les escarmouches qui conduisent à la bataille de Marignan, les soldats de Robert Stuart d'Aubigny sous le commandement de Jacques de la Palice, dans un audacieux raid de cavalerie derrière les lignes ennemies, surprennent et capturent Prospero Colonna, le commandant du pape.

Ce sont les piquiers suisses qui attaquent les français le 13 septembre 1515 et mettent en difficulté l'armée de François Ier de France.

Avec l'aide des vénitiens, François Ier de France réussit cependant à battre le 14 septembre 1515, grâce à la supériorité du feu français.

Cette bataille fait plus de 15 000 victimes.

Participent à cette bataille :

Capitaine, Charles de Bueil commande une compagnie de gendarmerie lors de cette bataille.

Charles de Bueil meurt le 13 septembre 1515.

Charles de Bueil, et le duc de Châtellerault, d'Imbercourt, Jacques d'Amboise seigneur de Bussy, Hugues d'Amboise, baron d'Aubijoux, fondant la lance en arrêt sur le bataillon des Suisses, se font jour en 2 ou 3 endroits, culbutent et foulent aux pieds de leurs chevaux un grand nombre de combattants, mais périssent presque tous dans ce premier effort.

Louis IV de Bueil, son frère, est blessé lors de cette bataille.

Robert Stuart d'Aubigny prend part à cette bataille.

Robert III de la Marck se distingue et contribue à la victoire des Français.

François Ier de France l'adoube de sa propre main.

Louis II de La Trémoïlle se distingue à Marignan.

Charles de la Trémoïlle, son fils, meurt le 13 septembre 1515.

Claude de Lorraine-Guise se conduit en héros et est grièvement blessé.

Charles IV de Bourbon-Vendôme combat à la tête de 70 lances.

Charles III de Bourbon dirige une armée.

François Ier de France tire une gloire de cet affrontement n'hésitant pas à se mêler lui-même à la bataille comme les héros de l'antiquité.

François Ier et François Ier de Bourbon-Saint-Pol se fait adouber Chevalier par Bayard sur le champ de bataille.

Cette victoire entraîne la facile conquête de l'Italie en un temps où l'arrivée de l'or américain diminue pour une courte période.

Maximilien Sforza se soumet au Roi français et est déposé de son duché de Milan.

Le 13 octobre 1515, François Ier de France est déclaré Duc de Milan, de Parme et de Plaisance.

François Ier de France nomme Charles III de Bourbon Connétable de France et vice-roi du Milanais.

Antoine Duprat est nommé chancelier du duché de Milan.

Plusieurs traités sont signés pour mettre fin à ces guerres d'Italie.

Il y a :



Rappel de Charles III de Bourbon en France

Charles III de Bourbon défend le Milanais contre les Impériaux, remporte quelques succès, mais est rappelé en France en 1518.



Mort de Suzanne de Bourbon

Charles III de Bourbon, commandant en chef de l'armée royale, est à la tête d'un vaste territoire et a une Cour et une administration identique au Roi.

François Ier de France montre peu d'attention vis à vis de Charles III de Bourbon et celui s'en offusque.

Suzanne de Bourbon prend le soin de désigner Charles III de Bourbon, son époux, comme héritier universel par testament.

Suzanne de Bourbon meurt à Châtellerault en 1521.

La succession du duché de Bourbon et de ses autres domaines est revendiquée :

Louise de Savoie intente un procès à Charles III de Bourbon.

Guillaume Poyet, futur chancelier de France défend Louise de Savoie.

Charles III de Bourbon est défendu par François Ier de Montholon.

François Ier aurait entendu François Ier Montholon plaider la cause du connétable de Bourbon contre sa mère.

Dès lors plein d'estime pour lui, il lui aurait destiné une charge d'avocat général au Parlement de Paris.



Charles III de Bourbon dépossédé de plusieurs fiefs

Louise de Savoie Duchesse de Bourbon et d'Auvergne

Louise de Savoie Comtesse de Forez et de la Marche

Louise de Savoie Dame de Beaujeu

La succession de Bourbon est tranchée en faveur de Louise de Savoie par procès.

Anne de France qui vit retirée à Chantelle intervient sans résultats.

Le testament de Suzanne de Bourbon n'est pas retenu par les juges soumis à la pression du Roi, qui souhaite récupérer les immenses territoires des ducs.

Le 7 octobre 1522, Charles III de Bourbon est dépossédé de plusieurs fiefs.

Louise de Savoie devient Duchesse de Bourbon et d'Auvergne, Comtesse de Forez et de la Marche, Dame de Beaujeu



Complot de Charles III de Bourbon

Jacques Hurault Prisonnier

Charles III de Bourbon engage des négociations avec Charles Quint, mais le complot échoue.

Jean de Poitiers est arrêté le 5 septembre 1523 à la suite de la trahison de Charles III de Bourbon.

Ses biens sont confisqués et rattachés au domaine royal le 7 septembre 1523.

Louis de Brézé alerte François Ier de France de la trahison de Charles III de Bourbon.

Charles de Rohan-Gié remplace l'un des pairs laïcs lors du jugement de Charles III de Bourbon.

Jean de Poitiers, père de Diane de Poitiers, est accusé de complicité dans ce complot et devient le principal bouc émissaire de l'affaire.

Charles III de Bourbon part pour les terres impériales, Charles Quint gagnant ainsi un bon général, utile pour l'invasion de la France qu'il projette.

René de Brosse entre dans la conspiration de Charles III de Bourbon.

René de Brosse suit Charles III de Bourbon en Italie et entre au service de Charles Quint.

René de Brosse est condamné à mort par contumace.

En septembre 1523, les français encerclent Milan.

Bataille après bataille, le bilan des affrontements est désastreux pour les français.

Soupçonné d'avoir eu part aux conseils de Charles III de Bourbon, Jacques Hurault est longtemps détenu prisonnier.



Charles III de Bourbon Lieutenant général de Charles Quint

Bataille de Sésia

Mort de Bayard

En mars 1524, les français doivent se retirer de Milan.

Nommé lieutenant général de l'Empereur en Italie, Charles III de Bourbon combat les Français et remporte la bataille de Sésia ou Sesia.

François Ier de Bourbon-Saint-Pol combat aux côtés de Guillaume Gouffier de Bonnivet et Bayard lors de cette bataille.

Bayard est mortellement blessé par un coup d'escopette dans le dos le 29 avril 1524, à Rebec ou Robecco sul Naviglio dans le Milanais, tandis qu'il couvre la retraite de l'armée française.

La colonne vertébrale brisée, il enjoint ses compagnons à le quitter et leur dit :

Je n'ai jamais tourné le dos devant l'ennemi, je ne veux pas commencer à la fin de ma vie.

Charles III de Bourbon, qui s'était retourné contre le Roi de France, poursuit les Français à la tête des troupes de Charles Quint.

Charles III de Bourbon vient devant Bayard et dit :

Ah ! Monsieur de Bayard que j'ai grand-pitié de vous voir en cet état, vous qui fûtes si vertueux chevalier !

Le mourant répond :

Monsieur, il n'est besoin de pitié pour moi, car je meurs en homme de bien mais j'ai pitié de vous, car vous servez contre votre Prince et votre patrie !

Bayard agonise dans le camp adverse, pleuré par ses ennemis.

Bayard meurt le 30 avril 1524 à Abbiategrasso.

Son corps est ramené en France et enterré au couvent des Minimes de Saint-Martin-d'Hères près de Grenoble.

Sa vie est narrée par l'un de ses compagnons d'armes, Jacques de Mailles, dans la Très joyeuse et très plaisante histoire du gentil Seigneur de Bayart, le bon chevalier sans peur et sans reproche.

Sa devise est : Accipit ut det (La lune qui éclaire la terre) : elle reçoit pour donner.

Une épidémie décime alors l'armée française.



Siège de Marseille

Andrea Doria commandant des galères françaises

Prise d'Avignon

Philibert de Chalon-Arlay au service Charles Quint

En juillet 1524, François Ier de France affronte diverses invasions en Provence, en Normandie ou en Bourgogne.

Claude de Lorraine-Guise repousse les impériaux de Bourgogne en 1524

Charles III de Bourbon envahit ensuite la Provence et assiège Marseille.

La grande nef Sainte Marie de Bonaventure participe à la défense et à l'approvisionnement de Marseille pendant ce siège.

En 1524, Guigues Guiffrey obtient le commandement d'une compagnie de gens d'armes et défend Marseille contre les Impériaux.

René de Savoie loue la grande nef Sainte Marie de Bonaventure à son neveu François Ier de France 1500 écus par mois entre le 28 juin 1524 et le 30 avril 1525.

Andrea Doria embrasse d'abord le parti de la France.

Andrea Doria est nommé par François Ier de France au commandement des galères françaises et bat la flotte de Charles Quint sur les côtes de Provence en 1524.

Jacques II de Chabannes s'empare d'Avignon.

Philibert de Chalon-Arlay louvoie entre François Ier de France et Charles Quint pour protéger son patrimoine, mais il prend ouvertement le parti de l'empereur en 1524.

Philibert de Châlon-Arlay est capturé par Andrea Doria et retenu en otage par les Français.


Fernando de Avalos

Siège de Pavie

Mort de Claude de Longueville Duc de Longueville

Jacques II de Chabannes dirige l'armée française vers Milan abandonnée par les Espagnols.

François Ier de France entre facilement dans la ville de Milan et, contre l'avis de ses vieux conseillers, dont Louis II de La Trémoïlle veut s'emparer de Pavie.

Le 28 octobre 1524, Jacques II de Chabannes commence avec François Ier de France le siège de Pavie, défendue par les Espagnols d'Antonio de Leiva.

L'armée impériale, commandée par Fernando de Àvalos, Charles V de Lannoy et Charles III de Bourbon arrive bientôt en renfort des Espagnols.

Mais l'hiver rigoureux pénalise les français.

Ces derniers sont pris en tenaille et François Ier de France ne sait plus quoi faire.

Claude de Longueville meurt à Pavie le 9 novembre 1524.


Bataille de Pavie - Tapisserie du XVIe siècle-Galleria Nazionale di Capodimonte à Naples Bataille de Pavie - La capture de François Ier de France Capture de François Ier de France - lors de la bataille de Pavie - par 2 chevaliers de l'Ordre de la Toison d'or - peinture de Juan de la Corte (1597-1660)

Bataille de Pavie

Mort de François de Lorraine

Mort de Guillaume Gouffier de Bonnivet

Mort de René de Savoie

Mort de Georges III d'Amboise Seigneur de Meillant

Mort de Louis II de La Trémoïlle

Mort de Jacques II de Chabannes

Mort de Just Ier de Tournon Seigneur de Tournon

Mort de René de Brosse Comte de Penthièvre, Vicomte de Bridiers, Seigneur de Boussac et d'Aizenay

Jean IV de Brosse Comte de Penthièvre

François Ier de France Prisonnier

Anne de Montmorency Prisonnier

Fernando d'Avalos Généralissime

Le 23 février n>1525, attaqué sous les murs de la Pavie, François Ier de France repousse les assaillants grâce à son artillerie.

Jacques II de Chabannes, proche conseiller du Roi, ne parvient pas à empêcher ce dernier de sonner la charge des chevaliers, réduisant ainsi à néant le travail des artilleurs de Galiot de Genouillac.

La cavalerie française est battue par l'armée de Fernando de Avalos, Marquis de Pescara, secondé par Charles III de Bourbon.

L'impétuosité de la cavalerie française et de son chef, le Roi-Chevalier, est l'une des causes principales de la défaite le 24 février 1525.

Charles V de Lannoy est le principal artisan de la victoire des impériaux à Pavie.

C'est à Charles V de Lannoy que le Roi de France doit d'avoir été sauvé de la rage des lansquenets allemands et qu'il remet son épée lorsqu'il est fait prisonnier au cours de la bataille.

Fernando de Avalos contribue puissamment à la victoire. Il est nommé généralissime.

François de Scépeaux fait ses premières armes lors de cette bataille.

Claude d'Annebault participe à cette bataille comme lieutenant de la compagnie de François de Saint-Pol.

Louis IV de Bueil, Robert III de la Marck, Claude d'Annebault sont fait prisonnier lors de cette bataille.

Gaspard de Saulx est auprès du Roi en qualité de page à cette bataille.

Gaspard de Saulx y est fait prisonnier, mais relâché peu après car on n'en espère pas de rançon.

Charles Quint, irrité par la défection de Robert II de La Marck, son père, emprisonne Robert III de la Marck en Flandres où il reste quelques années.

Jean VIII de Créquy participe à cette bataille.

Robert Stuart d'Aubigny participe à cette bataille.

René de Montejean participe à cette bataille. Il est grièvement blessé et est fait prisonnier.

Homme d'armes, Blaise de Lasseran est fait prisonnier sur le champ de bataille, mais trop pauvre pour être rançonnable, il est relâché.

Claude de Rieux est maréchal lors de cette bataille où il est fait prisonnier.

Le feu des arquebusiers espagnols provoque une hécatombe qui décime les nobles qui y participent.

Sont tués :

Jean IV de Brosse devient Comte de Penthièvre en 1525.

Louis II de La Trémoïlle est surnommé le chevalier sans reproche, digne émule et compagnon d'armes de Bayard, le chevalier sans peur.

Jacques II de Chabannes, lancé à cheval, est mis à terre par des arquebusiers et doit combattre à terre dans une lourde armure, face à de légers lansquenets.

Il est fait prisonnier par le capitaine italien Castaldi.

Buzarto, un officier espagnol, qui avait espéré faire lui-même prisonnier Jacques II de Chabannes, furieux de ce que l'Italien refuse de partager la rançon escomptée, appuie son arquebuse sur le front de Jacques II de Chabannes et lui fait éclater la tête.

Just Ier de Tournon meurt lors de cette bataille.

Sont fait prisonnier :

Blaise de Lasseran est trop pauvre pour payer rançon, on doit le relâcher.

Charles IV d'Alençon et Antoine II de Clermont-en-Trièves participent à cette bataille.

Après la capture du Roi, Charles IV d'Alençon commande l'armée française.

Le respect du point d'honneur (ne point reculer) entraîne la captivité du Roi, qui déclare :

Tout est perdu, fors l'honneur

François Ier de France est d'abord emprisonné près de Crémone.

Il est ensuite transféré à Naples, puis près de Valence et enfin à Madrid.

Il écrit à sa mère :

Madame, pour vous avertir comme se porte le ressort de mon infortune, de toutes choses, ne m'est demeuré que l'honneur et la vie sauve, et pour ce que mes nouvelles vous serons quelque peu de réconfort, j'ay prié qu'on me laissast vous escrire. Ceste grace m'a esté accordée, vous priant ne vouloir prendre l'extrémité de vos finz en usant de vostre accoutumée prudence ; car j'ay l'espérance à la fin que Dieu ne m'abandonnera point. Vous recommandant vos petits-enfants et les miens, vous suppliant faire donner sur passage pour aller et retourner en Espagne au porteur qui va devers l'Empereur pour scavoir comment il veut que je sois traicté. Et sur ce très humblement me recommande en vostre bonne grâce. Très humble et obéissant fils, Françoys.

Charles Quint a de fortes exigences : la Bourgogne, les Flandres et l'Artois. Il souhaite également pour Henri VIII Tudor l'ouest de la France et pour Charles III de Bourbon la Provence. François Ier de France juge ses demandes intolérables.

La Régente de Louise de Savoie organise la continuité du royaume et une contre-offensive diplomatique contre l'empereur Charles Quint, maîtrisant autant que possible les invasions. Heureusement les envahisseurs sont occupés par ailleurs.

Anne de Montmorency est libéré contre une rançon.

Fidèle de François Ier de France, Charles IV de Bourbon-Vendôme est nommé chef du Conseil lorsque celui-ci est prisonnier.

Claude de Lorraine-Guise est conseiller militaire de Louise de Savoie.

Pendant l'absence et la captivité de François Ier de France, Louise de Savoie ne gouverne que par les conseils d'Antoine Duprat.

René de Birague doit se retirer en France pour échapper à la vengeance de Ludovic le More.



Traité de Madrid

François Ier de France libéré

François III de Bretagne et Henri II de France Otages de Charles Quint

On confie à François de Tournon et à Jean de Selve les négociations en Espagne.

Gabriel de La Guiche négocie la délivrance de François Ier de France.

Le 14 janvier 1526, François Ier de France, n'ayant qu'une idée en tête, celle d'être libre, signe le traité de Madrid qui met fin à la première guerre de François Ier de France et de Charles Quint.

Anne de Montmorency est négociateur dans ce traité.

En échange de sa libération, François Ier de France :

La libération de Philibert de Châlon-Arlay est un des enjeux de ce traité.

Charles III de Bourbon retrouve ses biens.

François Ier de France est libéré le 21 janvier 1526.

Dans les traités de l'époque on donnait en otage une dizaine de grands seigneurs.

Au lieu de cela, pour garantir à Charles Quint l'exécution du traité, 2 fils de François Ier de France :

sont échangés contre François Ier de France, et resteront à Madrid les otages de Charles Quint de 1526 à 1530.

Seul, Charles II d'Orléans, troisième fils, reste en France.

René de Cossé, gouverneur des enfants de France, et les accompagne en captivité en Espagne.

Charles II d'Orléans, dernier fils du Roi, peut rester en France.

La première rencontre entre Diane de Poitiers et Henri II de France, à eu lieu le 15 mars 1526 à Bayonne lors du départ pour l'Espagne.

Les princes de France connaissent en premier lieu des conditions de détention privilégiées dues à leur rang.

Robert II de La Marck, chassé de ses terres par Charles Quint est rétablit par François Ier de France.


Charles IV de Bourbon-Vendôme

Prise et Sac de Rome

Mort de Charles III de Bourbon

Clément VII Prisonnier

Charles IV de Bourbon-Vendôme Duc de Bourbon

Charles Quint fait Philibert de Châlon-Arlay gouverneur et capitaine général du Royaume de Naples.

Abandonné par Charles Quint, qui ne veut pas satisfaire ses ambitions, Charles III de Bourbon résout de se créer une principauté en Italie.

Les mercenaires allemands qui stationnent en Italie du Nord sous les ordres du connétable Charles III de Bourbon décident de descendre sur Rome afin de se rétribuer par le pillage, comme il était assez courant à l'époque.

Charles III de Bourbon met le siège devant Rome qu'il prend mais il meurt pendant l'assaut le 6 mai 1527.

La ville est pillée.

Philibert de Châlon-Arlay est acclamé par les troupes comme généralissime et tente de calmer les lansquenets protestants de Georg von Frundsberg sans pouvoir empêcher le sac de Rome.

Ferdinand Ier Gonzague prend part au sac de Rome où il pille les palais de ses propres parents.

Philibert de Châlon-Arlay réussit néanmoins à garantir la sécurité de Clément VII qui, assiégé dans le château Saint-Ange, se rend à lui.

Clément VII est emprisonné quelques mois. Cela permet d'empêcher le pape d'annuler le mariage d'Henri VIII Tudor et de Catherine d'Aragon, tante de Charles Quint, qui ne pouvait pas donner d'héritier à l'Angleterre.

Jules III figure parmi les otages donnés par Clément VII aux Impériaux et aurait été tué par les lansquenets impériaux à Campo di Fiori, s'il n'avait pas été libéré en secret par le Cardinal Pompeo Colonna.

Les domaines de Charles III de Bourbon, dont le duché de Bourbon, sont réunis à la couronne. Charles IV de Bourbon-Vendôme devient Duc de Bourbon en 1527.



Charles III de Bourbon Évêque de Comminges

Charles III de Bourbon devient Évêque de Comminges en 1569.



Charles III de Bourbon Évêque de Lectoure

Charles III de Bourbon devient Évêque de Lectoure en 1590.

Il aussi Abbé de Marmoutier,



Mort de Charles II de Bourbon

Charles III de Bourbon Archevêque de Rouen

Charles II de Bourbon meurt en 1594.

Charles III de Bourbon devient Archevêque de Rouen, le 5 novembre 1594.



Mort de Charles III de Bourbon

Charles III de Bourbon meurt à Marmoutier le 15 juin 1610.

Il est toujours resté fidèle à son demi-frère Henri IV de France.


Marie-Caroline Ferdinande Louise des Deux-Siciles et ses enfants : Louise d'Artois et Henri d'Artois - par François Gérard - 1822 Charles Ferdinand d'Artois

Mariage de Charles Ferdinand d'Artois avec Marie-Caroline Ferdinande Louise des Deux-Siciles

Louis XVIII, veuf, n'a pas d'enfant et répugne à se remarier.

Charles X de France, son frère et héritier, a 2 fils :

mais aucun des deux n'a d'enfants.

Charles Ferdinand d'Artois a eu de nombreuses maîtresses et la rumeur prétend qu'il a épousé en exil Amy Brown, une jeune Anglaise, dont il a 2 filles.

La jeune femme n'étant pas de sang royal, le mariage aurait été annulé et le prince est libre.

C'est à Charles Ferdinand d'Artois, son neveu, que Louis XVIII confie la charge de donner des successeurs au trône.

La famille royale de Naples est une branche cadette de la maison de Bourbon, les femmes y sont fécondes.

Le choix de Louis XVIII se porte sut Marie-Caroline Ferdinande Louise des Deux-Siciles.

Après des négociations menées par l'ambassadeur Pierre Louis Jean Casimir de Blacas d'Aulps, leur mariage par procuration, a lieu à Naples le 14 avril 1816.

Marie-Caroline Ferdinande Louise des Deux-Siciles débarque à Marseille le 30 mai 1816.

Elle y est mise en quarantaine au lazaret d'Arenc en prévention de la peste, puis traverse la France dans une liesse populaire.

Leur première rencontre se réalise au château de Fontainebleau le 15 juin 1816.

Charles Ferdinand d'Artois épouse en la cathédrale Notre-Dame de Paris le 17 juin 1816 Marie-Caroline Ferdinande Louise des Deux-Siciles, fille de François Ier des Deux-Siciles et de Marie-Clémentine d'Autriche. Parmi leur 4 enfants, dont 2 seulement survécurent au-delà des premiers jours citons :

Malgré leur écart d'âge et bien qu'il s'agisse d'un mariage arrangé, ils semblent avoir formé un couple assez uni, comme en attestent leurs échanges de lettres tendres.

Le palais de l'Élysée est aménagé pour eux.


Marie-Thérèse de Savoie

Mariage de Charles II de Bourbon-Parme avec Marie-Thérèse de Savoie

Charles II de Bourbon-Parme épouse le 15 août 1820 Marie-Thérèse de Savoie. Leurs enfants sont :



Naissance de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme

Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme naît à Lucques le 14 janvier 1823, fils de Charles II de Bourbon-Parme et de Marie-Thérèse de Savoie.


Louise Marie Thérèse d'Artois et son fils Robert Ier de Parme - 1854 Louise Marie Thérèse d'Artois - par Domenico Scattola - vers. 1850

Mariage de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme avec Louise Marie Thérèse d'Artois

Princesse en exil mais femme de tête, Marie-Thérèse Charlotte de France réussit à marier Louise Marie Thérèse d'Artois.

Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme épouse en 1845 Louise Marie Thérèse d'Artois. Leurs enfants sont :



Naissance de Marguerite Marie Thérèse Henriette de Bourbon-Parme

Margherita di Parma ou Marguerite Marie Thérèse Henriette de Bourbon-Parme naît à Lucques, le 1er janvier 1847, fille de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme et de Louise Marie Thérèse d'Artois, tous deux membres de la dynastie capétienne, et tous deux issus de la maison de Bourbon.



Naissance de Robert Ier de Parme

Roberto Ludovico Maria di Borbone ou Robert Ier de Parme naît à Firenze ou Florence le 9 juillet 1848, fils de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme (1823-1854) et de Louise Marie Thérèse d'Artois (1819-1864).


Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme

Abdication de Charles II de Bourbon-Parme

Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme Duc de Parme

Charles II de Bourbon-Parme abdique le 14 mars 1849 face à la pression populaire.

Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme devient Duc de Parme et de Plaisance en 1849.



Naissance d'Alice-Marie de Bourbon-Parme

Alice-Marie de Bourbon-Parme naît en 1849, fille de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme et de Louise Marie Thérèse d'Artois.


Robert Ier de Parme

Mort de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme

Robert Ier de Parme Duc de Parme et de Plaisance

Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme meurt à Parme le 27 mars 1854 assassiné.

Robert Ier de Parme, son fils, devient Duc de Parme et de Plaisance.

Il règne sous la tutelle de Louise Marie Thérèse d'Artois, sa mère.

La duchesse congédie quelques uns des collaborateurs les plus réactionnaires de son mari.

Suite aux mouvements révolutionnaires inspirés par Giuseppe Mazzini de juillet 1854, Louise Marie Thérèse d'Artois elle met en place une politique répressive.

Robert Ier de Parme devient Caballero de la Orden del Toisón de Oro sous le brevet n 989.


Charles Marie Jean Isidore Joseph François Quirin Antoine Michel Gabriel Raphaël de Bourbon Marguerite Marie Thérèse Henriette de Bourbon-Parme et sa famille

Mariage de Charles Marie Jean Isidore Joseph François Quirin Antoine Michel Gabriel Raphaël de Bourbon avec Marguerite Marie Thérèse Henriette de Bourbon-Parme

Charles Marie Jean Isidore Joseph François Quirin Antoine Michel Gabriel Raphaël de Bourbon épouse en la chapelle du château de Frohsdorf en Autriche le 4 février 1867 Marguerite Marie Thérèse Henriette de Bourbon-Parme (1847-1893), fille de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme et de Louise Marie Thérèse d'Artois. Leurs enfants sont :



Mariage de Ferdinand IV de Toscane avec Alice-Marie de Bourbon-Parme

Ferdinand IV de Toscane est veuf d'Anne de Saxe.

Ferdinand IV de Toscane épouse en 1868 Alice-Marie de Bourbon-Parme, fille de Ferdinand Charles III de Bourbon-Parme et de Louise Marie Thérèse d'Artois. Leurs enfants sont :


Menu contextuel

Si, dans le résultat d'une recherche, un nom de personne ou de lieu ou une date vous interpelle, sélectionnez-le et faites un clique droit pour lancer une nouvelle recherche.


Si ce site vous est utile, placez le dans vos favoris ou marques-pages !