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6 événements affichés, le premier en 1741 - le dernier en 1794


Marie Anne Julie Le Tonnelier de Breteuil - portrait école francaise

Mariage de Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre avec Marie Anne Julie Le Tonnelier de Breteuil

Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre (1720-1794) épouse le 5 juin 1741 Marie Anne Julie Le Tonnelier de Breteuil (1716-1793). Leurs enfants sont :



Naissance de Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre naît de Paris le 28 juillet 1747, fils de Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre (1720-1794) et de Marie Anne Julie Le Tonnelier de Breteuil (1716-1793).

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre est baptisé à Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris Ve.



Mariage de Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre avec Louise Adélaïde Victoire de Durfort Civrac

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre (1747-1793) épouse le 28 juin 1767 Louise Adélaïde Victoire de Durfort Civrac (1757- 1796). Leurs enfants sont :



Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre Commandant du Régiment de Royal-Guyenne

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre est capitaine au Régiment du Roi-Cavalerie,

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre devient commandant du Régiment de Royal-Guyenne en 1780.


Siège de Lyon

Siège de Lyon

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre Condamné à mort

L'Armée des Alpes est chargée de pacifier Lyon, réputée en rébellion contre-révolutionnaire.

Une offensive de l'armée sardo-piémontaise en Savoie retarde François Étienne Christophe Kellermann.

Les troupes républicaines,, commandées par François Étienne Christophe Kellermann font mouvement vers Lyon à partir du 10 août 1793.

Le 12 août 1793, le département est séparé en Rhône et Loire.

Arrivés de l'est, Albitte et 10 000 hommes emmenés par Laporte s'installent à La Guillotière.

Arrivés du nord, 9 000 hommes emmenés par Dubois-Crancé et Gauthier prennent position au château de La Pape, entre Rhône et Saône.

10 000 hommes emmenés par Javogues arrivent du sud-ouest de Montbrison.

Fin août 1793, les premiers combats permettent aux colonnes républicaines d'avancer jusqu'aux redoutes, qui protègent les abords des ponts sur la Saône.

8 000 hommes emmenés par Reverchon arrivent du nord-ouest de Villefranche, le 1er septembre 1793.

Face à ces quelque 65 000 hommes, les troupes insurgées comptent moins d e 10 000 hommes.

Les insurgés conservent le contrôle de l'essentiel de l'ouest du département de Rhône-et-Loire.

Une délégation se rend à Semur-en-Brionnais pour demander à Louis François Perrin de venir prendre le commandement des troupes lyonnaises.

Le général accepte, en toute lucidité d'après le compte-rendu qu'en font les membres du groupe venus le solliciter et auxquels il répond :

Avez-vous bien réfléchi à toutes les conséquences d'une guerre contre la convention, ce pouvoir central qui peut disposer contre vous de tant de ressources ?

Avez-vous songé aux sacrifices de toute nature qu'il vous faudra faire pour soutenir une lutte inégale ?

Savez-vous bien ce qu'est une guerre civile ?

Le général François Amédée Doppet remplace François Étienne Christophe Kellermann à partir de septembre 1793.

Dans la nuit du 15 au 16 septembre 1793, les Lyonnais se replient sur leurs retranchements de La Croix-Rousse au nord et sur la tête-de-pont des Brotteaux à l'est.

Avec l'avancée des troupes républicaines, qui réduit la portion de territoire aux mains des insurgés, la ville sombre dans la disette.

La Convention nationale ordonne le bombardement de Lyon.

Après une première sommation, le 22 septembre 1793 commence le bombardement de la ville, depuis La Guillotière, avec des boulets chauffés au rouge.

Le 29 septembre 1793, au sud-ouest de la ville, le fort de Sainte-Foy tombe aux mainsdes assiégeants, puis ce sont ceux de Saint-Irénée et de Saint-Just.

Les troupes républicaines descendent sur le confluent, achevant l'investissement de la ville.

Le 29 septembre 1793, Louis François Perrin tente une sortie avec un escadron de cavalerie, le dernier restant, et repousse l'armée de la Convention de l'autre côté du pont de la Mulatière.

Une trêve interrompt les combats jusqu'au 7 octobre 1793.

Des pourparlers sont lancés le 8 octobre 1793.

Dans la ville, après délibération des sections, et malgré Louis François Perrin, une députation emmenée par l'ancien constituant Périsse du Luc se rend aux avant-postes des troupes de la Convention pour ouvrir des négociations.

Le 8 octobre 1793, tombent les forts Saint-Irénée et Saint-Just, à l'ouest, les troupes commandées par Étienne François Giraud des Écherolles ne parvenant pas à repousser l'ennemi.

Lyon est prise et les autorités civiles lyonnaises capitulent à midi le 9 octobre 1793.

Le 9 octobre 1793, à l'aube, Louis François Perrin et ses principaux lieutenants tentent une sortie par le faubourg de Vaise avec une troupe de 1 200 à 2 500 hommes ou 1.000 fantassins et 200 cavaliers, divisés en 3 corps, ainsi que quelques civils.

L'objectif est de passer la Saône en aval de Trévoux, puis de gagner la Suisse.

L'avant-garde, commandée par Rimbert et le corps principal, sous les ordres de Louis François Perrin, parviennent à traverser les lignes sous le feu des assiégeants, mais l'arrière-garde, sous les ordres du comte de Virieu, est anéantie dans le défilé de Saint-Cyr.

Passant par Vaise, Louis François Perrin s'enfuit jusqu'à Saint-Romain-de-Popey puis Sainte-Agathe-en-Donzy.

La plupart de leurs compagnonstombent sous les coups des habitants des villages traversés durant leur véritable débandade à travers le Lyonnais et le Beaujolais.

D'autres sont capturés, comme Plantigny, Clermont-Tonnerre, Arnaud et Rimbert.

Les derniers hommes de Louis François Perrin (80 ou 100) sont finalement rejoints, capturés ou taillés en pièces au mont Popey le 11 octobre 1793.

À Lyon, conduite par Georges Auguste Couthon puis Collot d'Herbois et Joseph Fouché, la répression qui suit, est sévère.

La ville perd son nom au profit de Commune affranchie.

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre Général de l'armée lyonnaise est condamné à mort par la commission de justice militaire de Lyon, le 18 octobre 1793.



Mort de Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre Marquis de Clermont-Tonnerre, Comte d'Epinac

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre est domicilié à Lyon.

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre est condamné à mort par la commission révolutionnaire séante à Lyon.

Charles Gaspard II de Clermont-Tonnerre meurt à Lyon le 30 pluviôse an II soit le mardi 18 février 1794 fusillé.


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