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29 événements affichés, le premier en 1509 - le dernier en 1586
Naissance de Calvin
Jean Cauvin, dit Calvin, naît à Noyon en Picardie le 10 juillet 1509, fils du procureur fiscal de l'évêque de Noyon nommé Cauvin.
Il est élevé dans la religion catholique et est d'abord destiné à l'Église.
Calvin reçoit d'abord une formation d'humaniste.
Il effectue des études de lettres et de philosophie aux collèges de la Marche et de Montaigu à Paris.
Naissance de Nicolas Durand de Villegagnon
Nicolas Durand de Villegagnon ou Villegaignon naît à Provins en 1510.
Il est élève des collèges de La Marche et de Montaigu à Paris, en compagnie de Calvin.
Il obtient ensuite sa licence de droit à Orléans.
Calvin pourvu de deux bénéfices ecclésiastiques
Calvin est destiné par son père à la prêtrise qui dès 1521 le pourvoit de deux bénéfices ecclésiastiques.
Calvin à Orléans puis à Bourges
Calvin quitte la carrière religieuse.
Calvin suit des études de droit à Orléans, où il rencontre Pierre de L'Estoile.
En 1529, Calvin se rendit à Bourges, attiré par les cours de droit d'Andrea Alciati.
Publication d'un commentaire du De clementia de Sénèque
Vers 1530, Calvin écrivit en latin sa première œuvre, un commentaire du De clementia, de Sénèque (publié en 1532).
Conversion de Calvin à la Réforme
A la mort de Cauvin, son père, Calvin revient à Paris.
Vers 1531, passionné par les controverses théologiques, Calvin se lie avec plusieurs partisans de Martin Luther.
Il est initié principes de la Réforme par son cousin Olivétan et les érudits Lefèvre d'Etaples, Guillaume Budé et Nicolas Cop, alors recteur de l'Université de Paris
Calvin commence dès 1532 à propager les théories de la Réforme protestante dans Paris.
Calvin participe à la défense de l'ouvrage de Marguerite de Navarre Miroir de l'âme pécheresse.
Menacé de prison, Calvin se réfugie d'abord à Angoulême, puis à Nérac auprès de Marguerite de Navarre, qui favorise les Protestants.
Exil de Calvin à Bâle
En 1534, suite à l'affaire des Placards et aux persécutions menées contre les protestants français (aussi appelés huguenots), Calvin est condamné par le parlement et doit fuir la France pour s'exiler.
En 1534, Calvin publie Psychopannychia, un traité sur le sommeil de l'âme.
Calvin participe à la publication de la Bible d'Olivétan.
Calvin à Noyon
En janvier 1535, Calvin revient à Noyon résigner ses bénéfices ecclésiastiques.
Puis Calvin passe quelque temps à Ferrare, chez la duchesse Renée de France.
Publication de l'Institution chrétienne
Calvin séjourne alors à Bâle.
En mars 1536, Calvin y rédige et publie la première version, en latin, de l'Institution chrétienne (Christianae religionis institutio), qui contient l'essentiel de ses idées sur la loi, la foi, la prédication, les sacrements et les rapports entre les chrétiens et l'autorité civile.
Il s'agit d'un exposé de la doctrine des novateurs, qu'il traduisit lui-même en français et qui devient comme le catéchisme des Réformes de France.
Par exemple, il ne reconnaît plus que deux sacrements : le Baptême et la Communion.
Les pasteurs sont désormais élus par les fidèles, et chacune des églises calvinistes est dirigée spirituellement par un conseil élu.
Calvin à Genève
En 1536, Guillaume Farel demande à Calvin de s'installer.
Calvin est nommé professeur de théologie et pasteur.
Calvin dirige alors l'Église réformée de Genève, jouant un rôle à la fois religieux et politique.
Conflit de Calvin avec le Conseil des Deux-Cents
Calvin à Strasbourg
Calvin cherche à réformer les mœurs et la doctrine et veut obliger chaque Genevois à adhérer à une profession de foi, qu'il a lui-même rédigée. Sa conception de la société, dans laquelle l'Église a la prééminence sur les autorités civiles, aboutit au conflit avec le Conseil des Deux-Cents, le conseil de la ville de Genève.
Le 23 avril 1538, Calvin et Guillaume Farel sont banni de Genève pour avoir déployé un rigorisme excessif.
Calvin part alors pour Strasbourg où il seconde le réformateur Martin Bucer pour propager les nouvelles doctrines.
Calvin y élabore la deuxième version de son Institution de la religion chrétienne.
Mariage de Calvin avec Idelette de Bure
Calvin épouse en 1540 Idelette de Bure (morte en 1549), veuve et mère de 3 enfants. Ils ont un enfant mort-né.
Rappel de Calvin à Genève
Exil de Castellion
Fondation d'une république calviniste
Calvin et Guillaume Farel sont rappelés à Genève. Calvin participe à la mise en place d'une république calviniste dans la ville. Dès son retour, le 13 septembre 1541, Calvin préside de fait aux destinées de la cité, même s'il n'a d'autre fonction que celle de pasteur, et il exerce jusqu'à sa mort un véritable magistère moral.
Défendant son œuvre par la polémique, mais aussi par la force, il fait exiler son ancien ami Castellion, directeur du Collège de Genève en 1541, avec d'autres adversaires. Cette affaire renforce définitivement l'autorité de Calvin.
Ses conceptions politiques s'étant entre-temps précisées, Calvin peut alors mettre en œuvre son programme. Le 20 novembre 1541, il fait adopter les Ordonnances qui régirent dès lors le statut religieux de Genève.
Il fait instituer un consistoire, organisme composé de pasteurs et de laïcs, ou "anciens". Sans juridiction civile, le consistoire a cependant la possibilité de prononcer l'excommunication.
Ce gouvernement théocratique lutte contre ceux qui ne sont pas favorables à la Réforme, parfois même en les condamnant à l'exil ou à la peine de mort.
Calvin parvient à imposer une discipline que ses contemporains décrivirent comme assez stricte, dans un contexte parfois difficile. Il est soutenu par des réfugiés protestants venus de France et d'Italie. Calvin doit combattre l'influence des grandes familles genevoises : Perrin et Berthelier notamment.
La constitution de l'État théocratique de Genève reconnaist la peine de mort pour les blasphémateurs, les hérétiques et les sorciers.
L'Institution de la religion chrétienne
L'ouvrage expose la doctrine religieuse, la nouvelle foi.
Son livre fait suite :
Il contient au départ 6 chapitres et en compte 24 dans son ultime version, qui est divisée en 4 livres :
Il n'y a pas moins de 24 éditions publiées du vivant de l'auteur, ce qui atteste du succès de l'entreprise. On en distingue trois séries :
La version de 1536 est imprimé par Thomas Platter et Balthasar Lasius. Les versions françaises de 1541 à 1553 furent imprimées par Jean Girard (ou Gérard), à Genève.
Calvin est surnommé par ses adversaires le pape de Genève. Il se montre conservateur sur de nombreux points :
Ses conceptions religieuses peuvent d'ailleurs être analysées comme un retour vers un ordre.
Genève succède alors à Wittenberg, la ville de Luther, comme capitale spirituelle du protestantisme et cité refuge.
A 30 ans, l'aspect de Calvin est celui d'un vieillard : le visage maigri, osseux, les lèvres minces, les cheveux blancs. Il est en proie à des souffrances physiques, et notamment à des maux de tête continus.
Publication du Petit Traité de la sainte Cène
En 1541, Calvin publie un Petit Traité de la sainte Cène qui traite des divergences entre Martin Luther, Zwingli et lui à propos de la signification de l'eucharistie et de la présence ou non du Christ dans la célébration de la Cène.
Interdiction en France de l'Institution chrétienne
Répression contre les protestants
Les idées réformatrices connaissent des censures.
La Sorbonne en 1542 interdit les œuvres de Calvin, Luther, Dolet ou Marot.
Le Roi accepte une répression militaire entre le 13 et le 23 avril 1542 où plus de 2 700 personnes sont tuées.
L'institution chrétienne, le livre de Calvin, est interdit par un édit du parlement de Paris le 1 er juillet 1542. Pour les théologiens, l'utilisation du français dénote une évidente volonté subversive puisque l'auteur s'adresse ainsi au peuple, et non plus seulement aux seuls érudits.
Des livres sont brûlés en place publique sur le parvis de Notre-Dame de Paris. Le luthéranisme, ou inflexion vers les idées réformatrices de Luther, devient un crime d'état. Les condamnations pour hérésie se multiplient.
La communauté vaudoise est épargnée par François Ier de France mais en reniement de leur religion.
Publication du Catéchisme de Genève
A l'intention des bourgeois de la ville, Calvin rédige le Catéchisme de Genève en 1542 et une confession de foi obligatoire en 21 articles.
Publication de Calvin contre les anabaptistes
En 1544, Calvin publie sa Brève instruction pour armer tous bons fidèles contre les erreurs de la secte commune des anabaptistes. Dans cet ouvrage autant religieux que politique, Calvin se montre un partisan de la rigueur contre les anabaptistes. Il juge leurs idées particulièrement erronées en matière religieuse, et il condamne leurs conceptions sociales, notamment leur communisme archaïque qui interdit à un chrétien "de posséder ni maison, ni jardin ni aucun héritage".
Peste à Genève
Calvin cède à la psychose et aux accusations de sorcellerie envers certains habitants accusés d'avoir propagé la peste par magie durant la peste qui ravagea Genève en 1545 durant 3 années. En quelques mois, 34 individus sont martyrisés puis brûlés comme sorciers devant les maisons qu'ils étaient supposés avoir pestiférées.
Mort de Martin Luther
Martin Luther vit toutes ses dernières années à Wittenberg.
Il est affecté par la gravelle, et a connaît plusieurs périodes de dépression et d'angoisse en 1527, en 1528, en 1537, en 1538, dues au décès de sa fille Madeleine ou aux querelles entre protestants.
Considéré par certains comme un vieillard acariâtre, Martin Luther n'a rien perdu de sa pugnacité. Son adversaire principal reste le Pape, pour lequel il n'a pas de termes assez durs.
Martin Luther s'en prend également aux Juifs, coupables apparemment de ne pas s'être convertis à la nouvelle religion, et dont il souhaite voir les synagogues brûler. L'antisémitisme de Martin Luther lui a été longtemps reproché, d'autant que les nazis n'ont malheureusement pas hésité à le revendiquer pour justifier leurs crimes.
La chasse aux sorcières et sorciers existe tant dans les régions protestantes que catholiques romaines de l'Europe centrale, pendant et après la Réforme. Martin Luther et Jean Calvin y apportent leur soutien. Ils se basaient sur les mots de la Bible (Exode 22:18) "tu n'accepteras pas de laisser vivre une sorcière". Martin Luther va jusqu'à en parler dans certains de ses sermons :celui du 6 mai 1526 et celui du 25 août 1538, il dit : "vous ne devez pas avoir de pitié pour les sorcières, quant à moi je les brûlerais". Il croyait que la sorcellerie était un péché allant à l'encontre du deuxième commandement. De nombreux théologiens, prédicateurs et juristes luthériens se basèrent plus tard sur ses dires.
Martin Luther meurt le 18 février 1546 alors qu'il est à Eisleben, sa ville natale, pour régler un différend entre les Comtes de Mansfeld.
La théologie de Luther peut s'énoncer en 4 points.
L'homme est perdu dans son péché
Ni la chair, ni l'esprit de l'homme ne sont libres de la corruption du péché originel. Le péché majeur est selon Luther l'égoïsme, qui éloigne de Dieu et des autres. Surtout au début de sa vie, Luther pensait que sa génération était mûre pour le jugement dernier.
Homme de la Renaissance, il condamne la spiritualité au profit d'une vie terrestre
Il condamne la vie monastique. Avec Dein Ruf ist dein Beruf (ta vocation est ton métier) il suggère que la vocation de tout un chacun n'est pas de chercher Dieu mais de s'incarner dans le monde.
Libère moi selon ta justice (Psaume 31)
Dieu accueille l'homme pécheur qui s'abandonne à lui. Le seul lien possible entre Dieu et les hommes est la Foi. Les actes ne peuvent donc rien : il ne sert à rien d'être charitable, généreux, pieux...si l'on n'a pas la Foi. Il faut d'abord s'abandonner à Dieu pour ressentir la Foi ; les actes viendront ensuite d'eux-mêmes, ainsi que le Salut. A noter que la théologie luthérienne est très théocentrée (se concentre sur le Père) alors que le catholicisme de l'époque est principalement dirigé vers le Christ intercesseur.
L'autorité de l'Évangile
L'homme n'a qu'un seul guide infaillible pour trouver le bon chemin, c'est la Parole de Dieu, l'Écriture qui le mène au Christ. Dieu, le seul être entièrement libre donne à chaque homme la possibilité d'accepter où de refuser la Parole et la Foi. La religion est une affaire personnelle. On a ici une pensée charnière entre le pessimisme du Moyen Âge et le "libre arbitre-isme" des humanistes. L'homme est rendu capable par la puissance de l'Évangile d'abandonner son péché pour trouver sa liberté en Christ.
Naissance de Jean Héroard
Jean Héroard naît en 1550 ou 1551, dans une famille de médecin. Son père est un chirurgien réputé, passé à la Réforme qui a rencontré Calvin à Genève.
Mort de Michel Servet
Mort de Gentili
Parmi les correspondants de Calvin figurait Michel Servet, un Espagnol aux idées teintées de panthéisme. Calvin cesse de correspondre avec lui très tôt, mais Servet continue de lui envoyer ses réflexions, y compris le texte latin de sa Restitution du christianisme, dirigé en partie contre le Genevois.
Lorsque Servet est inquiété par l'inquisiteur français Mathieu Ory, Calvin fournit à ce dernier sa correspondance, afin d'éclairer les juges.
En 1553, Servet s'étant évadé, il passe par Genève, où Calvin se prononça en faveur de sa condamnation pour avoir attaqué le mystère de la trinité. Servet est brûlé vif le 27 octobre 1553.
Calvin fait également brûler l'Italien Gentili.
Publication de Déclaration pour maintenir la vraie foi que tiennent tous chrétiens de la Trinité des personnes en un seul Dieu
En janvier 1554, contre les erreurs de Michel Servet, Calvin juge nécessaire de publier Defensio orthodoxae fidei de sacra trinitate (en français - Déclaration pour maintenir la vraie foi que tiennent tous chrétiens de la Trinité des personnes en un seul Dieu)
Il y justifie la condamnation des hérétiques à la peine suprême. Calvin reçoit l'appui de la plupart des réformateurs, mais il subit les attaques de Castellion.
Brutalité d'Ami Perrin contre le syndic de Genève
La tension entre Calvin et les grandes familles genevoises culmine avec les incidents du 16 mai 1555, au cours desquels Ami Perrin brutalise le syndic de Genève. Perrin peut s'enfuir et est condamné à mort par contumace. Certains de ses amis sont exécutés.
Persécution des réformés de la rue Saint-Jacques
Calvin prend encore parti pour les réformés français de la rue Saint-Jacques persécutés par Henri II de France en 1557.
Fondation de l'Académie de Genève
En 1559, Calvin fonde l'Académie de Genève dont il confie le rectorat à Théodore de Bèze.
Colloque de Poissy
Calvin se fait représenter au colloque de Poissy par Théodore de Bèze, qui adopte une attitude intransigeante.
Théodore de Bèze participe au Colloque de Poissy entre le 9 et le 26 septembre 1561, en compagnie de Gaspard II de Coligny, face aux théologiens catholiques.
Depuis cette époque, tous les actes de Coligny sont influencés par le ministre du culte de Genève.
Du 9 au 26 septembre 1561, en vue de maintenir la paix religieuse en France, se tient le colloque de Poissy lors duquel Catherine de Médicis réunit 46 prélats catholiques, 12 ministres du culte protestant et une quarantaine de théologiens.
La mésentente sociale et les conflits politiques caractérisent la rivalité entre les deux camps.
Mais les discussions qui se tiennent au colloque portent sur des controverses théologiques.
Théodore de Bèze y expose la doctrine de l'Église réformée.
Charles Ier Cardinal de Lorraine obtient que le débat se concentre sur la nature de l'Eucharistie : Lors de cette célébration, comment le Christ manifeste-t-il sa présence ? C'est sur cette question que l'accord achoppe le 26 septembre 1561.
Afin de poursuivre les négociations, Michel de l'Hospital suggère alors à la reine mère d'appeler des délégations restreintes au château de Saint-Germain-en-Laye.
Mais le 14 octobre 1561 leur assemblée se sépare sans avoir trouvé de compromis.
L'émergence d'un parti modéré à la cour induit un relâchement de la pression sur les réformés.
Les protestants se sentent libre et les plus violents cherchent à s'imposer par la force.
Au final, la Catherine de Médicis ne contrôle plus la situation.
Confiants dans leur avenir, les mal sentants de la foi se sont convertis en masse au protestantisme.
L'année 1561 est l'apogée du protestantisme en France.
Il y a environ 2 000 000 de protestants en France. Les catholiques sont plus que jamais irrités.
Publication du catéchisme de Calvin en béarnais
Jeanne III d'Albret fait publier le catéchisme de Calvin en béarnais en 1563.
Mort de Calvin
Calvin meurt à Genève le 27 mai 1564.
Calvin et Martin Luther sont les initiateurs de la Réforme protestante, en opposition à certains dogmes et rites de l'Église catholique romaine. Martin Luther et Calvin ont contribué à lutter contre la superstition et à amorcer l'époque moderne. Calvin a sans doute, plus que Martin Luther, donné de la religion réformée une image de rigueur, voire d'ascétisme.
Calvin est avant tout un homme de combat car, pour faire triompher le protestantisme et le discipliner, il a besoin de la plus grande énergie, et même de l'intransigeance et de la rigueur les plus strictes.
C'est surtout par la pratique du culte que le calvinisme se distingue du luthéranisme. On considère généralement la doctrine de Calvin comme un développement de celle de Luther.
Calvin se distingue de Martin Luther par une réformation plus radicale, proscrivant tout culte postérieur et toute hiérarchie, ne reconnaissant pas plus le caractère d'évêque et de prêtre que celui de pape, rejetant la messe, le dogme de la présence réelle, l'invocation des saints, etc. Il enseigne la prédestination absolue des élus et des damnés, détruisant ainsi le libre arbitre.
Sur le plan littéraire, Calvin, en écrivant ou en traduisant ses œuvres en français, est l'un des premiers écrivains importants dans cette langue, qu'il choisit parfois pour faciliter la propagation de ses idées.
Exil de François III de la Noue à Genève
Entre 1586 à 1588, François III de la Noue s'exile à Genève, où il rencontre Théodore de Bèze, le successeur de Jean Calvin.
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