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Événements contenant la ou les locutions cherchées



11 événements affichés, le premier en 1575 - le dernier en 1642


Catherine de Parthenay

Mariage de René II de Rohan avec Catherine de Parthenay

Catherine de Parthenay est veuve de Charles II de Quélennec.

Le contrat de mariage entre René II de Rohan et Catherine de Parthenay, est signé le 15 août 1575.

René II de Rohan épouse Catherine de Parthenay. Leurs enfants sont :

Catherine de Parthenay lui apporte :

Catherine de Parthenay a une éducation supérieure à celle de toutes les femmes de son époque.

Le 26 août 1575, une transaction entre Françoise de Tournemine et René II de Rohan, touchant le douaire de cette dame et la succession de Judith de Rohan, livre le château de Blain au jeune couple.



Naissance de Benjamin de Rohan-Soubise

Benjamin de Rohan-Soubise naît en 1583, fils de René II de Rohan et de Catherine de Parthenay.

Il est élevé dans la religion réformée par sa mère.

Il fait son apprentissage en tant que soldat sous les ordres de Maurice d'Orange-Nassau, aux Pays-Bas.



Siège de Bergues

Benjamin de Rohan-Soubise est un des gentilshommes français qui, en 1606, se jettent dans Bergues lorsque les Espagnols assiégent cette place.



Mécontentement des princes

En 1615, Benjamin de Rohan-Soubise rallie le parti d'Henri II de Bourbon, prince de Condé dans sa révolte contre le roi.

Cette guerre civile est promptement terminée.

Par pouvoirs du 4 août 1615, Urbain de Laval est nommé Lieutenant-général commandant l'armée du roi Louis XIII contre les princes mécontents.

Il a ordre de couvrir Paris, d'arrêter l'armée des rebelles, et de ne point hasarder de bataille.

Urbain de Laval s'assure de Creil, en chasse le commandant, qui était dévoué aux princes.

Urbain de Laval prévient Henri II de Bourbon-Condé, prince de Condé, qui avait des intelligences dans la ville de Sens.

Urbain de Laval enlève le quartier du duc de Piney-Luxembourg, ses équipages et sa caisse.

Urbain de Laval met des troupes dans Gien, dont les mécontents ont séduit plusieurs habitants, et dégage les carabiniers du roi, investis à Housson.

Urbain de Laval s'avança vers le Poitou, pour en fermer l'entrée aux mécontents.



Soulèvements en Saintonge, en Guyenne et en Languedoc

Mort de Louis III de Lorraine

Prise de Saint-Jean-d'Angély

Prise de Saumur

Henri Ier de La Tour d'Auvergne intrigue contre Maximilien de Béthune puis s'allie aux princes révoltés contre la régente mais refuse le poste de généralissime des calvinistes lors de l'assemblée de La Rochelle de 1621.

Dans les provinces de Saintonge, de Guyenne et de Languedoc, les protestants se soulèvent avec pour chef Henri II de Rohan.

En 1621, Benjamin de Rohan-Soubise prend le commandement des huguenots des provinces du Poitou, de la Bretagne, et d'Anjou, sous la direction de l'assemblée de La Rochelle.

Il combat à l'ouest et le long de la côte tandis que Henri II de Rohan, son frère aîné, commande sur terre et dans le sud de la France.

Louis XIII se décide brusquement à marcher en personne contre Benjamin de Rohan-Soubise retranché dans Saint-Jean-d'Angely.

Louis III de Lorraine est libéré de la Bastille à condition de prendre part avec Louis XIII à l'expédition dans le Poitou contre les Protestants.

Les chroniqueurs raconte qu'un héraut d'armes se présenta aux portes de la ville, et sans se découvrir, dit à Soubise :

A toi Benjamin de Rohan ; le roi ton souverain seigneur et le mien, te commande de lui ouvrir les portes de sa ville de Saint-Jean-d'Angeli, pour y entrer avec son armée.

A faute de quoi je te déclare criminel de lèse-majesté au premier chef, roturier toi et ta postérité, tous tes biens confisqués : que les maisons seront rasées de toi et de tous ceux qui t'assisteront.

Je ne ne puis répondre que comme soldat, répliqua Soubise, qui éfait resté couvert.

Tu ne dois répondre ni comme soldat ni comme capitaine, reprit le héraut, avant que tu sois dans ton devoir : sache que quand je te parle au nom du roi, ton seigneur et le mien, tu dois avoir le chapeau à la main.

Hautefontaine, vieil officier, excusa la faute de son chef, en disant :

M. de Soubise n'ayant jamais reçu une pareille sommation, il est excusable de n'en pas connaître les formalités. Si on lui avoit dit qu'il faut mettre un genou en terre, il les auroit mis tous les deux.

Soubise donna, pour réponse, ces mots écrits de sa main. Je suis trés-humble serviteur du roi : mais l'exécution de ses commandements n'est pas en mon pouvoir.

Louis III de Lorraine se distingue au siège de Saint-Jean-d'Angély.

Louis III de Lorraine meurt à Saintes en Charente-Maritime le 21 juin 1621 en combattant.

Après un mois de résistance, Saint-Jean-d'Angély est prise le 24 juin 1621.

Benjamin de Rohan-Soubise se rend aux troupes commandées par Louis XIII.

Défilant devant le Roi, à la tête de sa garnison, il s'approche de Sa Majesté, met les deux genoux en terre, et lui fait serment d'une inviolable fidélité. Louis XIII répond :

Je serai bien aise que vous me donniez dorénavant plus de sujet d'être satisfait de vous que par le passé. Levez-vous et servez-moi mieux à l'avenir.

Charles II de Cossé tombe malade au siège de Saint-Jean-d'Angély.

On le transporte au château de Brissac en juin 1621.

Bernard de Nogaret de Foix combat aux sièges de Saint-Jean-d'Angély et de Royan.

Honoré d'Albert d'Ailly sert aux sièges de Saint-Jean-d'Angély.

François de Montmorency-Bouteville sert avec éclat aux sièges de Saint-Jean-d'Angély, de Montauban, de Royan et de Montpellier

Henri de Lorraine-Harcourt combat les Protestants et prend part au siège de Saint-Jean-d'Angély.

Charles II de Lorraine-Guise est blessé à Saint-Jean-d'Angély.

Bien que protestant, Jean de Saint-Bonnet est fidèle au roi Louis XIII dans sa lutte contre le parti huguenot. Ses qualités de stratège, son courage et sa loyauté le feront distinguer par ses pairs et par le roi.

Jean de Saint-Bonnet participe à la prise de Saumur au printemps 1621.



Prise de l'île de Riez

En 1622, Benjamin de Rohan-Soubise reprend la guerre, s'empare d'Olonne, de l'île de Ré, d'Oléron, menace Nantes, et se flatte qu'on ne parviendrait pas à le forcer dans des positions aussi formidables.

En avril 1622, Louis XIII marche de nouveau contre lui.

Dans la nuit du 15 au 16 avril 1622, pendant la marée basse, les troupes de Louis XIII franchissent à gué un des bras de mer qui protègent l'île de Riez.

Benjamin de Rohan-Soubise, avec 5 ou 600 cavaliers, s'enfuit dans la direction de la Rochelle.

1 500 fantassins sont arquebusés ou sabrés sur place et sans résistance.

On en prend 600, dont quelques uns sont pendus et les autres envoyés aux galères.

Lors d'un procès en trahison, Louis XIII déclare Benjamin de Rohan-Soubise criminel de lèse-majesté et le déchoit de ses biens

Selon les confessions arrachées à un de ses lieutenants, ses propres officiers avaient été tentés de le poignarder au dernier conseil de guerre, tant il avait montré d'irrésolution à combattre.

Philippe-Emmanuel de Gondi participe, aux côtés de Charles Ier de Lorraine, au combat naval contre les Rochelais en 1622.

Pierre de Gondi qui suit son père Philippe-Emmanuel de Gondi, a l'épaule cassée d'un coup de mousquet à l'Île de Ré, et son cheval est tué sous lui.



Édit de Montpellier

Pour arrêter les combats en Languedoc, Louis XIII signe l'Édit de Montpellier.

Un accord est conclu entre les deux parties.

Le 19 octobre 1622, Louis XIII signe l'Édit de Montpellier avec les protestants qui :

Louis XIII, décidé à participer davantage aux affaires de l'État et de se lier à un seul ministre, gouverne avec Nicolas Brûlart de Sillery et Pierre Brûlart, son fils, ainsi qu'avec La Vieuville qui sont vite disgraciés pour incompétence.

En grande faveur auprès de Marie de Médicis, Louis de Marillac est nommé :

Au-delà de l'intérêt pour les protestants, Henri II de Rohan cherche à satisfaire son ambition purement politique.


Henri II de Montmorency par Daniel du Monstier en 1625

Bataille navale de La Rochelle

Henri II de Montmorency bat la flotte de Benjamin de Rohan-Soubise devant La Rochelle en 1625.



La Rochelle Haut lieu de la religion réformée en France

L'Édit de Nantes a eu comme effet de créer un État dans l'État.

La Rochelle, dernière place de sûreté des Huguenots, est devenu un haut lieu de la religion réformée en France.

Ce port reçoit de mer l'aide des Anglais, en tant que ville protestante, mais aussi pour freiner le développement de la marine française.

La principale crainte de Richelieu est que cette place forte devienne une sorte de seconde capitale, bastion d'où les protestants, aidés financièrement par l'Angleterre, pourraient s'emparer de l'ensemble du territoire.

Sa décision est donc prise : il faut prendre sans tarder la Rochelle.

La pression sur La Rochelle s'accroît de mois en mois.

Soutenu par son frère Benjamin de Rohan-Soubise, acharné plus encore que lui-même à contrer les visées du Cardinal, Henri II de Rohan essaie de rallier les anglais à la cause réformée.


Défaite des Anglais en l'île de Ré par l'armée française - par Laurent de la Hyre - réalisée entre décembre 1627 et le début de 1628 - 112x120 cm - Paris - Musée de l'Armée à l'hôtel des Invalides

Installation de George Villiers Ier dans l'île de Ré

Mort de Rollin de Saint-Bonnet de Toiras

Mort de Paul de Saint-Bonnet de Toiras

Bataille du pont du Feneau

Le maire de La Rochelle, Jean Guitton refuse l'accès du port à George Villiers Ier qui se tourne alors vers l'île de Ré.

Bien qu'étant elle-aussi protestante, l'île n'a cependant pas rejoint la rébellion contre le roi.

Jean de Saint-Bonnet, gouverneur de l'île de Ré, dispose pour défendre l'île :

Après s'être emparé de vaisseaux français sur les côtes de Manche, George Villiers Ier part de Portsmouth avec 110 vaisseaux et 7 000 hommes dont Benjamin de Rohan-Soubise et fait route vers La Rochelle.

Le 12 juillet 1627, une flotte anglaise forte d'une centaine de navires et de 6 000 soldats, sous le commandement de George Villiers Ier, arrive face à l'île de Ré.

Le 22 juillet 1627, George Villiers Ier débarque avec ses troupes à Saint-Blanceau, avec pour objectif de contrôler les approches à La Rochelle, et d'encourager la rébellion protestante dans la ville.

Sablanceaux est le point de départ du pont actuel sur la commune de Rivedoux.

Depuis l'arrière des dunes, les Français arrêtent les forces anglaises.

Malgré la perte de 12 officiers et de 100 hommes, la tête de pont anglaise résiste.

Du coté français, meurent Rollin de Saint-Bonnet de Toiras et le Baron de Chantal, père de Marie de Rabutin, alors âgée de 17 mois, qui deviendra la célèbre Marquise de Sévigné.

George Villiers Ier tente de saisir la ville fortifiée de Saint-Martin-de-Ré et le Fort de La Prée sans succès.

Cela lui sera ultérieurement fatal George Villiers Ier.

Durant les jours suivants, George Villiers Ier consolide sa tête de pont.

Jean de Saint-Bonnet se retire dans la citadelle Saint-Martin avec la garnison, et laisse une centaine d'hommes dans le fort de La Prée.

George Villiers Ier s'efforce d'établir un siège autour de la citadelle qui va durer un peu plus de 3 mois.

Mais la situation s'avère difficile, car l'ingénieur anglais s'est noyé lors du débarquement, de plus les canons sont trop peu nombreux et trop petits, enfin par la suite, la maladie commence à faire sentir ses effets sur les troupes anglaises dès l'automne.

Au cours de cette période, George Villiers Ier va se montrer d'une cruauté implacable à l'égard des habitants et habitantes de l'île et de tous ceux qui vont essayer d'entrer ou de sortir du fort.

Paul de Saint-Bonnet de Toiras meurt tué d'un coup de canon dans le fort de Saint-Martin-de-Ré.

George Villiers Ier attend l'arrivée éminente de plusieurs renforts.

Des troupes irlandaises fortes de 2 000 fantassins débarquent sous le commandement de Sir Ralph Bingley, le 3 septembre 1627.

Une autre flotte, plus petite, sous le commandement de Sir William Beecher, arrive avec seulement 400 soldats.

Le 18 septembre 1627, George Villiers Ier se présente à nouveau devant Saint-Martin-de-Ré, mais il est mitraillé et canonné et ne tente pas le débarquement.

Une flotte écossaise composée de 30 navires, avec à son bord 5 000 hommes, était en route en octobre 1627, mais a été interrompue par une tempête au large de la côte de Norfolk.

Le 7 octobre 1627, le vent étant enfin devenu favorable, une flottille de la Royale en provenance des Sables-d'Olonne arrive devant la rade de Saint-Martin mais se fait cerner et fortement étriller par la flotte anglaise.

Par bonheur, une trentaine de chaloupes chargées de plus de 300 soldats, de vivres et de vêtements arrive à accoster auprès de la citadelle.

Elles contiennent de quoi nourrir les assiégés pendant une centaine de jours !

Les assiégés ne se privent pas de narguer les assiégeants qui tentent en vain de monter à l'assaut du fort.

Qui plus est, environ 1 500 hommes viennent renforcer les troupes du fort de La Prée.

Vers le début octobre 1627, Jean de Saint-Bonnet, découragé par le manque de vivres et l'impossibilité d'être secouru, commence des transactions avec George Villiers Ier sur les conditions de sa capitulation.

Malgré le blocus de l'île de Ré par la flotte britannique, les Français réussissent durant la nuit du 7 au 8 octobre 1627, à faire passer 29 navires de ravitaillement sur un total de 35 bateaux.

Le 20 octobre 1627, des renforts français, au nombre de 4 000 hommes, débarquent à Sainte-Marie-de-Ré, sous les ordres d'Henri de Schomberg, qui rejoint le commandant Louis de Marillac à La Prée.

Le 27 octobre 1627, George Villiers Ier tente une dernière attaque désespérée sur Saint-Martin-de-Ré, mais se heurte à un nouvel échec.

La forteresse de Saint-Martin-de-Ré s'avère imprenable, et les échelles anglaises sont trop courtes pour escalader les murailles des fortifications.

George Villiers Ier, finalement, replie ses troupes vers la partie nord de l'île, avec l'objectif de se lancer à l'assaut du village de Loix.

Les Anglais sont poursuivis par Henri de Schomberg et Jean de Saint-Bonnet.

Les forces britanniques se replient vers Loix, où sont situés leurs navires.

À cause de la mauvaise nourriture, leur armée comprend de nombreux malades.

Sans avoir aperçu les forces françaises de toute la journée, les troupes de George Villiers Ier pensent que les Français n'attaqueront pas et ne prennent pas de précautions.

Ils ne marchent ni en rangs serrés ni ouverts.

Ils arrivent au pont en bois du Feneau qu'ils ont construisent lors de leur débarquement, reliant l'île de Loix du reste de l'Île de Ré.

Au niveau de Loix, l'arrière-garde de la troupe anglaise est rejointe le 8 novembre 1627.

Deux bataillons britanniques, menées par le colonel Sir Edward Conway, Sir Peregrine Barty et Sir Henery Spry traversent le pont.

Un autre, mené par le colonel Sir Charles Rich, frère du comte de Hollande, Henry Rich et demi-frère de Milord Montjoy, Sir Alexander Brett et le lieutenant de Sir Thomas Morton (lui-même étant malade) s'apprêtent à passer le pont avec les 4 canons.

Deux autres bataillons restent devant le pont, commandés par le colonel Sir William Courtney, le lieutenant-colonel Sir Edward Hawley et Sir Ralph Bingley.

Henri de Schomberg, ayant traversé le village de La Couarde, est informé par Louis de Marillac de la position adverse.

La tête de colonne britannique s'engage lentement, en raison de son étroitesse, sur le pont du Feneau.

Jugeant le moment opportun, Henri de Schomberg ordonne au capitaine de Bussi-Lamet de charger l'arrière-garde anglaise avec son escadron.

Il est suivi de près par Louis de Marillac et Henri de Schomberg lui-même, à la tête du reste de la cavalerie.

Les cavaliers anglais ripostent mais sont défaits.

De nombreux Britanniques sont tués, dont Sir William Cunningham et d'autres capturés comme Milord Montjoy Blount, colonel de cavalerie et demi-frère de Sir Charles Rich et du comte de Hollande, Henry Rich.

Deux régiments de l'infanterie française :

Une grande partie des forces britanniques est poussée violemment dans les fossés boueux et vaseux avoisinants.

Les 2 bataillons anglais en avant du pont sont vaincus.

Certains protestants rochelais volontaires parviennent à traverser le pont.

Les Français s'engagent dessus, tuant tous sur leur passage, notamment Sir Charles Rich et Sir Alexander Brett, qui tentent de le défendre.

Philippe de La Mothe-Houdancourt participe à ce combat.

Alexandre Dumas dans Les Trois Mousquetaires écrit :

Ils laissent sur le champ de bataille 2 000 hommes parmi lesquels 5 colonels, 3 lieutenants-colonels, 250 capitaines et 20 gentilshommes de qualité, 4 pièces de canon et 60 drapeaux qui seront apportés à Paris par Claude de Saint-Simon, et suspendus en grande pompe aux voûtes de Notre-Dame.

Sur une force de 7 000 hommes, dans cette expédition, George Villiers Ier en a perdu plus de 4 000.

Cet échec joue un rôle important dans la dégradation de l'image de Charles Ier Stuart dans l'opinion anglaise.

George Villiers Ier est chassé de l'île de Ré par Henri de Schomberg et Jean de Saint-Bonnet, puis est battu en mer le 17 novembre 1627.

Il finit par rentrer sans gloire en Angleterre.

Antoine d'Aumont de Rochebaron est blessé au combat de l'Ile de Ré en 1627.



Mort de Benjamin de Rohan-Soubise

Marguerite de Rohan Duchesse de Rohan et Pair de France

Benjamin de Rohan-Soubise meurt en exil à Londres le 9 octobre 1642 sans enfant.

Marguerite de Rohan, sa nièce, devient Duchesse de Rohan et Pair de France, Duchesse de Frontenay.


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