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2 événements affichés, le premier en 1799 - le dernier en 1800



Bataille de Stockach

La bataille de Stockach eut lieu le 25 mars 1799, entre l'armée française commandée par Jean-Baptiste Jourdan et l'armée autrichienne commandée par Charles-Louis de Teschen,

L'engagement personnel de Charles-Louis de Teschen au gros du combat est déterminant et permet aux renforts autrichiens d'arriver.

Les Français sont défaits et repoussés sur le Rhin.



Bataille de Stockach

Du 27 avril au 2 mai 1800, l'armée française commandée par Jean-Victor Marie Moreau, forte d'environ 100 000 hommes traverse le Rhin pour se mettre en bataille entre le Danube et le lac de Constance.

En face d'elle se trouve l'armée autrichienne commandée par Paul Kray qui attend les Français à Engen.

Le 12 floréal de l'an VIII soit le 3 mai 1800, Tandis que Jean-Victor Marie Moreau est accroché à Engen, Claude-Jacques Lecourbe qui commande l'aile droite de Jean-Victor Marie Moreau, surprend l'aile gauche autrichienne commandée par Joseph-Marie de Lorraine-Brionne alors qu'il se hâte de rejoindre Paul Kray.

À 7 heures, Claude-Jacques Lecourbe manœuvre pour encercler la ville.

Les Autrichiens attendent les Français à la sortie des bois, mais une charge des dragons de la cavalerie d'Étienne Marie Antoine Champion de Nansouty les force à se replier sur la ville.

Les Français 2 fois plus nombreux rencontrent alors une vaillante résistance.

L'infanterie autrichienne, bien servie par une puissante artillerie, tient bon.

Les attaques répétées de Gabriel de Molitor sur le flanc gauche, permettent à Dominique-Joseph Vandamme de menacer la retraite des Autrichiens.

Devinant la manœuvre, ces derniers chargent alors que Joseph Hélie Désiré Perruquet de Montrichard saisit ce moment pour attaquer le centre, l'enfonce, entre dans la ville, la traverse et gagne les hauteurs.

Débordé de partout, Joseph-Marie de Lorraine-Brionne, coupé de l'armée de Paul Kray bat en retraite sur Moeskirch laissant 3 à 4 000 prisonniers, quelques canons, et d'importants magasins aux mains des Français.


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