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2 événements affichés, le premier en 1567 - le dernier en 1678


Surprise de Meaux - Enluminure du manuscrit Carmen de tristibus Galliae - 1577 - Bibliothèque municipale de Lyon - ms 0156 - fo 13 Michelade de Nîmes

Deuxième guerre de religion

La surprise de Meaux

Michelade de Nîmes

Bataille de Saint-Denis

Mort d'Anne de Montmorency

Mort de François Artaud de Montauban d'Agoult Gouverneur du Lyonnais, Forez et Beaujolais

Mort de Claude de Batarnay Baron d'Anthon

François de Montmorency Duc de Montmorency

Henri III de France Lieutenant général

Sentant monter les périls, Louis Ier de Bourbon-Condé décide de monter une action préventive malgré les réserves de Gaspard II de Coligny.

Prenant prétexte que le roi de France est menacé par les Italiens qui envisagent de le capturer, Louis Ier de Bourbon-Condé, François Ier de Coligny-d'Andelot et Renée de Rieux font investir, le 28 septembre 1567 le château de Monceaux en Brie ou Montceaux-les-Meaux, près de Meaux pour s'emparer de la personne de Charles IX de France.

Celui-ci et Catherine de Médicis, sa mère, ne parviennent à échapper aux protestants que d'extrême justesse et peuvent s'enfuir à Meaux puis gagner Paris.

Jacques de Savoie-Nemours commande les Suisses qui ramènent Charles IX de France à Paris.

Cette opération extravagante que l'histoire a retenue sous le nom de Surprise de Meaux ou Poursuite de Meaux est de nouveau le prétexte au déclenchement de nouvelles violences.

On range toute l'infanterie française en 6 régiments dont 3 sous les ordres de Timoléon de Cossé, colonel général de là les monts.

Dans le Midi, les protestants s'emparent de plusieurs villes, notamment Nîmes, où une vingtaine de catholiques sont tués le 30 septembre 1567, lors de la Saint-Michel, d'où le nom de "Michelade" donné à ce massacre.

L'armée de Louis Ier de Bourbon-Condé avec Gaspard II de Coligny assiège la capitale.

Le connétable Anne de Montmorency tente une sortie à Saint-Denis, le 10 novembre 1567, combat au cours duquel il est mortellement blessé d'un coup de fusil dans le dos.

Participent à cette bataille :

Odet de Coligny combat pour les protestants lors de cette bataille.

René de Rochechouart participe à cette bataille.

Antoine de Clermont d'Amboise signale sa valeur dans le parti protestant dans cette bataille.

François Artaud de Montauban d'Agoult meurt tué les armes à la main lors de cette la bataille dans la cavalerie du prince de Condé.

Artus de Cossé-Brissac se distingue dans l'armée catholique lors de cette bataille, à la tête d'un corps de cavalerie.

Timoléon de Cossé sert à la tête de ses 3 régiments lors de cette bataille.

Participent à cette bataille dans l'armée catholique :

Guillaume V de Hautemer obtient une compagnie d'ordonnance et devient chevalier de l'ordre de Saint-Michel.

Claude de Batarnay meurt lors de cette bataille.

Jacqueline de Montbel, son épouse, se réfugie chez Beatriz de Silva, sa mère, au château de Saint-André de Briord.

Anne de Montmorency meurt le 12 novembre 1567.

Henri III de France, alors duc d'Anjou, lui succède à la tête de l'armée royale dont il est nommé lieutenant général.

François de Montmorency devient Duc de Montmorency.

Les protestants se replient alors et se portent vers Chartres.

François de Montmorency participe à ce combat coté catholique et François III de la Noue coté protestant.

Jacques de Savoie-Nemours est chargé de s'opposer à l'entrée des troupes que Wolfgang de Bavière, duc de Deux-Ponts, envoie aux protestants.

Jacques de Savoie-Nemours échoue dans cette expédition par la faute du duc d'Aumale, son rival, et se retire dans son duché de Genève, où il se livre à la culture des lettres et des arts.



Bataille de Saint-Denis

François-Henri de Montmorency-Bouteville défait Guillaume III d'Orange-Nassau à Saint-Denis, près de Mons, le 14 août 1678, combat inutile puisque gagné au lendemain de la signature du traité de Nimègue.

La réputation de François-Henri de Montmorency-Bouteville est au plus haut, au point de faire des envieux.

Nicolas Chalon du Blé participe à ce combat.


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