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2 événements affichés, le premier en 1796 - le dernier en 1805



Troisième tentative de relèvement du siège de Mantoue

Seconde bataille de Bassano

Bataille de Calliano

Bataille de Caldiero

Le 2 novembre 1796, Joseph Alvintzy lance la troisième tentative de relèvement du siège de Mantoue en traversant la Piave avec une armée de 28 000 hommes et en s'avançant vers l'ouest.

Au même moment, une deuxième colonne autrichienne dirigée par le Feldmarschall-Leutnant Paul Davidovich se déplace vers le sud contre Trento avec 18 000 hommes.

Joseph Alvintzy espère soulager le Feldmarschall Dagobert Sigismund von Würmser, pris au piège à Mantoue avec une garnison de 23 708 hommes.

Parmi eux, seulement 12 420 sont en état de se battre.

Pour faire face à la double menace, Napoléon Ier déploie :

En réserve :

Le général de division Charles Edward Jennings de Kilmaine et 8 800 hommes bloquent la garnison de Dagobert Sigismund von Würmser à Mantoue.

Le 6 novembre 1796, Napoléon Ier et 19 500 hommes, parmi lesquels :

attaquent Joseph Alvintzy à Bassano et à Fontaniva.

Au cours de la seconde bataille de Bassano, Joseph Alvintzy et ses 2 commandants de division, les Feldmarschall-Leutnants :

repoussent leurs adversaires en infériorité numérique.

Les pertes françaises sont de 3 000 morts, blessés et capturés.

L'armée de Joseph Alvintzy subit environ 2 800 pertes.

Paul Davidovich met Claude-Henri Belgrand de Vaubois en déroute lors de la bataille de Calliano le 7 novembre 1796.

Il inflige 4 400 pertes aux Français pour une perte autrichienne de 3 500 hommes.

Napoléon Ier se concentre sur la menace venant du nord alors qu'il retire sa force orientale à Vérone.

Paul Davidovich reste inactif car il a la fausse impression que la division d'André Masséna a renforcé Claude-Henri Belgrand de Vaubois.

Le 11 novembre 1796, les éléments avancés de Joseph Alvintzy atteignent Caldiero.

Caldiero est une ville située à environ 15 km à l'est de Vérone.

Croyant que Vérone est en train d'être évacuée, Frédéric-François-Xavier de Hohenzollern-Hechingen s'avance.

Mais Napoléon Ier envoie les divisions d'André Masséna et de Pierre Augereau de l'autre côté du fleuve Adige pour engager les Autrichiens.

Frédéric-François-Xavier de Hohenzollern-Hechingen perd 400 hommes et se replie sur une crête au nord de Caldiero.

Le 12 novembre 1796, Napoléon Ier décide d'attaquer les Autrichiens.

Napoléon Ier envoit un total de 13 000 hommes pour attaquer la position de Frédéric-François-Xavier de Hohenzollern-Hechingen.

André Masséna attaque la droite autrichienne et Pierre Augereau attaque la gauche autrichienne.

Les Autrichiens, qui se sont fortifiés dans plusieurs villages, résistent fermement aux assauts français.

Une pluie violente et une tempête de grêle soufflent sur les troupes françaises, ce qui les empêche de préparer leurs mousquets.

À la mi-journée, André Masséna commence à progresser sur la droite autrichienne.

Dans l'après-midi, les brigades du général Adolf Brabeck et d'Anton Schübirz von Chobinin sont arrivées sur le terrain.

Bientôt les Autrichiens repoussent André Masséna.

Giovanni Provera est également apparu et a ramené Pierre Augereau.

L'arrivée de la nuit permet aux Français de rentrer sans encombre à Vérone.

Les Français ont subi 1 000 morts et blessés, ainsi que 800 hommes et deux pièces d'artillerie capturées.

Les Autrichiens ont perdu 950 morts et blessés et 350 capturés.



Bataille de Caldiero

Le 8 septembre 1805, Jean-Mathieu Seras commande la 5e division d'infanterie à la bataille de Caldiero.


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