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Arcole

Bataille d'Arcole

Les français, après les succès de Dego, Mondovi, Lodi et Castiglione, subissent leur premier revers.

André Masséna et Pierre Augereau sont bousculés par Joseph Alvintzy, les forçant à battre en retraite.

Napoléon Ier qui a perdu 3 batailles consécutives, envisage une retraite derrière la rivière Adda, abandonnant le blocus de Mantoue.

Mais les Autrichiens commencent à patauger plutôt que de profiter de leurs occasions, Napoléon Ier décide d'attaquer à nouveau son adversaire.

Napoléon Ier laisse très peu d'hommes à Claude-Henri Belgrand de Vaubois et Kilmaine pour défendre les positions à Ronco.

Napoléon Ier se présente le 12 novembre 1796 devant l'Alpone, non loin d'Arcole, pour contourner Joseph Alvintzy et le stopper dans sa progression.

La ville d'Arcole est située juste derrière l'Adige.

Un pont est construit pour y parvenir mais les français sont mitraillés de l'autre rive par les autrichiens, et meurent par dizaine.

Napoléon Ier bientôt rejoint ses soldats.

À mi-chemin, une canonnade retentit et le contingent français est décimé.

Muiron, un aide de camp, est tué en protégeant Napoléon Ier de son corps.

Celui-ci se retrouve presque seul sur la rive ennemie, attaqué par des soldats croates.

L'adjudant-chef Belliard se précipite avec ces hommes pour sortir son commandant de ce mauvais pas.

Ensemble, il retraverse l'Adige à la nage.

L'effet de surprise sur Joseph Alvintzy est manqué.

Les plans d'attaques de Napoléon Ier sont déjoués mais il reprend confiance quand il apprend qu'André Masséna a repoussé Giovanni Provera.

L'armée française reçoit des renforts du général Jean Mathieu Philibert Sérurier, lui conférant une petite supériorité numérique.

Frédéric-François-Xavier de Hohenzollern-Hechingen joue un rôle moins important dans cette bataille.

Le 17 novembre 1796, Napoléon Ier ordonne de simuler une attaque sur le flanc.

Les autrichiens imaginent déjà l'arrivé d'un autre corps d'armée français.

Joseph Alvintzy, un septuagénaire expérimenté mais fatigué et sans vivacité d'esprit, ordonne l'attaque de cette armée fictive.

Il présente alors son flanc sud à Napoléon Ier.

Le général autrichien Adolf Brabeck est tué.

Joseph Alvintzy se replie sur le plateau de Rivoli.

Il a perdu 6 000 hommes en 6 jours.


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