Listes Recherche par nom de personne, de lieu,... Recherche par Année Carte

Page précédente Accueil du site Mode d'emploi Nous écrire



De l'année à l'année
Sans mise en forme











Événements contenant la ou les locutions cherchées



19 événements affichés, le premier en 1705 - le dernier en 1777


Jean-Aymard Ier de Nicolaï - par Rigaud

Mariage de Jean-Aymard Ier de Nicolaï avec Françoise-Élisabeth de Lamoignon

Jean-Aymard Ier de Nicolaï est veuf de Marie Catherine Le Camus.

Jean-Aymard Ier de Nicolaï épouse à Paris le 25 novembre 1705 Françoise-Élisabeth Lamoignon (1678-1733). Leurs enfants sont :



Naissance d'Antoine-Chrétien de Nicolaï

Antoine-Chrestien ou Antoine-Chrétien de Nicolaï ou Nicolay naît le 12 novembre 1712, fils de Jean-Aimar ou Jean-Aymard Ier de Nicolaï et de Françoise-Élisabeth Lamoignon.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Chevalier de Malte

Antoine-Chrétien de Nicolaï devient Chevalier de Malte en 1715.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Cornette

Antoine-Chrétien de Nicolaï entre dans le régiment de dragons de Jean-Aymard II de Nicolaï, son frère aîné, en 1729.

Antoine-Chrétien de Nicolaï est nommé Cornette le 18 mars 1729, puis mestre de camp du régiment de dragons Nicolaï.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Commandant d'une compagnie

Antoine-Chrétien de Nicolaï commande une compagnie au régiment de dragons Nicolaï le 14 octobre 1730 (sur démission de son frère colonel, par commission 27 juin 1731),



Antoine-Chrétien de Nicolaï succède à Jean-Aymard II de Nicolaï

Antoine-Chrétien de Nicolaï succède à Jean-Aymard II de Nicolaï en 1731 à son commandement.


Siège de Pizzighettone

Siège de Pizzighettone

En novembre et décembre 1733, le siège de la place forte de Pizzighettone, appartenant au duché de Milan, oppose :

C'est le premier engagement important sur le théâtre italien de la guerre de Succession de Pologne.

Le 30 novembre 1733 le gouverneur autrichien négocie la reddition de la place.

le 9 décembre 1733, aucun renfort n'étant arrivé, la garnison se retire vers Mantoue avec les honneurs de la guerre.

Antoine-Chrétien de Nicolaï participe à ce siège.



Bataille de Guastalla

Mort de Frédéric-Louis de Wurtemberg

Levée du siège de Mirandole

Dans la nuit du 14 septembre 1734, le comte de Waldeck remporte une petite victoire dans le camp de François de Franquetot de Coigny près de Quistello.

Au petit matin du 15 septembre 1734, 10 000 impériaux commandés par Frédéric-Louis de Wurtemberg pénètrent dans le camp de François-Marie de Broglie au gué de la Secchia.

Réveillé en sursaut, François-Marie de Broglie n'a que le temps d'enfiler un côté de sa culotte et de tenir l'autre avant de s'enfuir en abandonnant ses bagages et 4 000 prisonniers.

Il y gagne le surnom de général Culotte.

Cela redonne courage aux impériaux qui décident de lancer un assaut décisif sur les positions alliées à Guastalla, une petite ville bâtie au confluent du Crostolo et du Pô.

Ces deux rivières entourent presque complètement la ville.

Venant de Luzzara, von Königsegg, est à la tête de 4 000 hommes quand il se présente le 19 septembre 1734 vers 10 heures, devant les positions franco-piémontaises.

Les Français sont sur leur garde et ont reçu le renfort de 5 régiments français et de 5 régiments savoyards.

Charles-Emmanuel III de Savoie est enfin sorti de sa réserve et est présent à la tête de ses troupes.

Les forces alliées comptent 49 000 hommes.

La cavalerie française, sous les ordres de François IV d'Harcourt et d'Alexis Madeleine Rosalie de Châtillon est attaquée la première par les cuirassiers allemands qui sont repoussés dans le bois.

Pendant ce temps, l'infanterie attaque l'aile gauche des alliés.

Après 3 heures de combat, Français et Piémontais repoussent les Autrichiens.

Sans se décourager, Königsegg reforme une colonne et lance une nouvelle attaque là où eut lieu le premier choc contre la cavalerie française.

Les 3 régiments français du Dauphiné, de Soufré et de Picardie, encaissent le choc.

Après plus de 8 heures de combat, Königsegg renonce et commande la retraite.

Celle-ci se passe avec ordre, dans le calme et sans se laisser entamer.

La bataille se termine vers de 19 heures.

Parmi les 12 000 victimes se trouvent :

Après la bataille Charles-Emmanuel III de Savoie retrouve son apathie et les alliés n'exploitent pas leur succès.

Cela permet aux Autrichiens de stabiliser leurs lignes à Luzzara et de prévenir une poussée alliée sur Mantoue.

Guy XXV de Laval se distingue lors de cette bataille

Guy XXV de Laval est nommé peu de temps après brigadier des armées du roi.

Antoine-Chrétien de Nicolaï participe à la batailles de Guastalla.

Victor-François de Broglie combat comme capitaine de cavalerie lors de cette bataille.

Claude-Louis-François de Régnier est blessé lors de cette bataille.

Noël Jourda de Vaux participe à cette bataille où il reçoit 2 blessures.

Louis Emmanuel de Conflans est blessé d'un coup de fusil au col.

François-Charles de Rochechouart est blessé au bras par un coup de fusil lors de cette bataille.

Alexis Madeleine Rosalie de Châtillon est blessé à la jambe d'un coup de feu lors de cette bataille.

Il est nommé lieutenant-général et chevalier du Saint-Esprit.

Quelques jours plus tard, Königsegg force Jean-Baptiste François Desmarets à lever le siège de Mirandole.

À la mauvaise saison, le climat malsain de la plaine du Pô, les maladies font plus de victimes dans les deux camps que sous le feu de l'ennemi.



Retour d'Antoine-Chrétien de Nicolaï en France

Antoine-Chrétien de Nicolaï rentre en France en 1736.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Brigadier des armées du Roi

Antoine-Chrétien de Nicolaï devient brigadier des armées du Roi le 15 mars 1740.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Maréchal de camp

Antoine-Chrétien de Nicolaï est élevé au grade deMaréchal de camp en 1744.


Hermann Maurice de Saxe à la bataille de Lauffeld - œuvre contemporaine de Pierre Lenfant

Bataille de Lauffeld

Ligonier Prisonnier

Prise de Bergen-op-Zoom

Pendant l'invasion française des Pays-Bas autrichiens, Hermann Maurice de Saxe mène l'armée française contre les forces combinées des gardes Écossais sous la bannière de William Augustus de Grande-Bretagne, et des Provinces-Unies, combattant sous les ordres de Guillaume IV d'Orange-Nassau.

William Augustus de Grande-Bretagne essaie d'anéantir un détachement de l'armée française commandée par Gaspard de Clermont-Tonnerre, mais une marche forcée d'Hermann Maurice de Saxe déjoue sa manœuvre.

William Augustus de Grande-Bretagne est maintenant face à l'armée française toute entière le 2 juillet 1747.

Le général Ligonier lui conseil d'occuper et de fortifier les villages sur une ligne de défense, pour faire face à l'avancée alliée, mais William Augustus de Grande-Bretagne ignore ce conseil compromettant ainsi ses chances de succès.

La bataille de Lauffeld ou bataille de Maastricht ou bataille de Val a lieu à Lauffeld ou Lafelt ou Lawfeld qui fait maintenant partie de Riemst, juste à l'ouest de Maastricht.

De nouveau, comme à la bataille de Rocourt les Autrichiens de l'aile droite refusent de se placer contre le flanc français ouvert.

Les villages changent de mains plusieurs fois jusqu'à ce qu'Hermann Maurice de Saxe prenne le dessus.

Les Néerlandais battent en retraite devant l'avance des Français qui menacent maintenant d'anéantir l'infanterie britannique.

Ligonier mène une charge de cavalerie qui sauve l'armée alliée, mais il est capturé.

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux est Guidon de la compagnie des gendarmes de la reine, avec grade de lieutenant-colonel de cavalerie.

Anne Emmanuel François Georges de Crussol d'Uzès participe à cette bataille.

Noël Jourda de Vaux, Anne Léon II de Montmorency-Fosseux et Gaston Pierre de Lévis-Mirepoix combattent lors de cette bataille.

Jean Baptiste Charles Henri Hector d'Estaing participe à cette bataille.

Antoine-Chrétien de Nicolaï reçoit une blessure lors de cette bataille.

Philippe Henri de Ségur perd un bras à la bataille de Lauffeld.

Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre commande la brigade du Régiment du Roi-Cavalerie lors de cette bataille.

Claude-Louis-François de Régnier se distingue lors de cette bataille.

Célébrée par les Français, la victoire n'est cependant pas décisive.

L'armée alliée n'est pas totalement défaite et retraite en bon ordre, laissant le champ de bataille aux Français, mais les empêchant dans l'immédiat de capturer Maastricht.

Hermann Maurice de Saxe envoie 30 000 hommes prendre la ville de Bergen-op-Zoom le 29 août 1747 pour conclure cette année de campagne.

Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre sert jusqu'à la prise de celte place.

Noël Jourda de Vaux reçoit une cinquième blessure pendant ce siège.

Maastricht passe une nouvelle fois brièvement sous domination française après la bataille de Lauffeld.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Lieutenant-Général des Armées du Roi

Antoine-Chrétien de Nicolaï devient Lieutenant-Général des Armées du Roi le 10 mai ou en décembre 1748.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Gouverneur des citadelles de Marseille

Antoine-Chrétien de Nicolaï devient Gouverneur des citadelles de Marseille en 1756.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Gouverneur du Hainaut français

Antoine-Chrétien de Nicolaï devient Gouverneur du Hainaut français le 31 mai 1760.



Mariage d'Antoine-Chrétien de Nicolaï avec Marie-Hyacinthe Ralet de Chalet

Marie-Hyacinthe Ralet de Chalet est veuve de :

Antoine-Chrétien de Nicolaï épouse le 11 ou le 14 novembre 1763 Marie-Hyacinthe Ralet de Chalet.



Antoine-Chrétien de Nicolaï Maréchal de France

Antoine-Chrétien de Nicolaï, Comte de Nicolaï, est fait Maréchal de France le 24 mars 1775 par Louis XVI.

Le 20 avril 1775, Antoine-Chrétien de Nicolaï rédige son testament.


Louis XVI en costume de sacre

Sacre de Louis XVI

Gaspard de Clermont-Tonnerre Duc et Pair de France

Jean-François-Joseph de Rochechouart, pair du royaume, et l'évêque de Beauvais cherchent le roi pour le conduire à la cathédrale.

Louis XVI est sacré en la cathédrale de Reims le 11 juin 1775.

Le sacre est organisé par Gaspard-Louis Rouillé d'Orfeuil.

Avec 3 autres maréchaux, Antoine-Chrétien de Nicolaï est sélectionné pour porter les honneurs au sacre de Louis XVI, à Reims.

Charles X de France assiste au sacre de son frère.

Il représente Louis XVII, Duc de Normandie et Pair du Royaume.

Gaspard de Clermont-Tonnerre en sa qualité de doyen des maréchaux du royaume, a l'honneur de tenir pendant la cérémonie, comme il est d'usage, Joyeuse, l'épée de Charlemagne.

Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord assiste à ce sacre.

Alexandre-Angélique de Talleyrand-Périgord, son oncle, y assiste comme coadjuteur de l'évêque consécrateur.

Charles-Daniel de Talleyrand-Périgord, son père, y assiste comme otage de la sainte Ampoule.

Jean-Louis-Roger de Rochechouart est l'un des 4 otages de la Sainte Ampoule.

Louis XVI, à cette occasion, élève Gaspard de Clermont-Tonnerre à la dignité de Duc et de Pair de France.

Jean-Louis-Roger de Rochechouart est reçu chevalier des ordres du roi en 1775.



Mort d'Antoine-Chrétien de Nicolaï

Antoine-Chrétien de Nicolaï meurt à Paris le 10 mars 1777 sans postérité.


Menu contextuel

Si, dans le résultat d'une recherche, un nom de personne ou de lieu ou une date vous interpelle, sélectionnez-le et faites un clique droit pour lancer une nouvelle recherche.


Si ce site vous est utile, placez le dans vos favoris ou marques-pages !