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Événements contenant la ou les locutions cherchées



15 événements affichés, le premier en 1731 - le dernier en 1799



Naissance d'Anne Léon II de Montmorency-Fosseux

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux naît à Paris le 11 août 1731, fils d'Anne Léon Ier de Montmorency-Fosseux (1705-1785) et d'Anne Marie Barbe de Ville (1713-1731).



Siège de Namur

Bataille de Rocourt

Louis Emmanuel de Conflans Lieutenant général

Pendant la guerre de succession d'Autriche, les Français assiègent Namur du 6 au 30 septembre 1746.

Noël Jourda de Vaux et Anne Léon II de Montmorency-Fosseux servent lors de ce siège.

Jean Baptiste Charles Henri Hector d'Estaing participe très jeune à cette bataille.

La bataille de Rocourt ou Rocoux ou Raucoux ou Roucoux a lieu le 11 octobre 1746, à Rocourt entre les armées française et autrichienne.

Philippe Henri de Ségur est blessé lors de cette bataille.

Noël Jourda de Vaux et Anne Léon II de Montmorency-Fosseux participent à cette bataille.

Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre participe à cette bataille.

Louis Emmanuel de Conflans combat lors de cette bataille.

Claude-Louis-François de Régnier participe à cette bataille.

La victoire des Français met fin au contrôle de l'Autriche sur les Pays-Bas.

Louis Emmanuel de Conflans apporte au roi Louis XV la nouvelle de la victoire, ce qui lui vaut d'être fait lieutenant général le 14 octobre 1746.


Hermann Maurice de Saxe à la bataille de Lauffeld - œuvre contemporaine de Pierre Lenfant

Bataille de Lauffeld

Ligonier Prisonnier

Prise de Bergen-op-Zoom

Pendant l'invasion française des Pays-Bas autrichiens, Hermann Maurice de Saxe mène l'armée française contre les forces combinées des gardes Écossais sous la bannière de William Augustus de Grande-Bretagne, et des Provinces-Unies, combattant sous les ordres de Guillaume IV d'Orange-Nassau.

William Augustus de Grande-Bretagne essaie d'anéantir un détachement de l'armée française commandée par Gaspard de Clermont-Tonnerre, mais une marche forcée d'Hermann Maurice de Saxe déjoue sa manœuvre.

William Augustus de Grande-Bretagne est maintenant face à l'armée française toute entière le 2 juillet 1747.

Le général Ligonier lui conseil d'occuper et de fortifier les villages sur une ligne de défense, pour faire face à l'avancée alliée, mais William Augustus de Grande-Bretagne ignore ce conseil compromettant ainsi ses chances de succès.

La bataille de Lauffeld ou bataille de Maastricht ou bataille de Val a lieu à Lauffeld ou Lafelt ou Lawfeld qui fait maintenant partie de Riemst, juste à l'ouest de Maastricht.

De nouveau, comme à la bataille de Rocourt les Autrichiens de l'aile droite refusent de se placer contre le flanc français ouvert.

Les villages changent de mains plusieurs fois jusqu'à ce qu'Hermann Maurice de Saxe prenne le dessus.

Les Néerlandais battent en retraite devant l'avance des Français qui menacent maintenant d'anéantir l'infanterie britannique.

Ligonier mène une charge de cavalerie qui sauve l'armée alliée, mais il est capturé.

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux est Guidon de la compagnie des gendarmes de la reine, avec grade de lieutenant-colonel de cavalerie.

Anne Emmanuel François Georges de Crussol d'Uzès participe à cette bataille.

Noël Jourda de Vaux, Anne Léon II de Montmorency-Fosseux et Gaston Pierre de Lévis-Mirepoix combattent lors de cette bataille.

Jean Baptiste Charles Henri Hector d'Estaing participe à cette bataille.

Antoine-Chrétien de Nicolaï reçoit une blessure lors de cette bataille.

Philippe Henri de Ségur perd un bras à la bataille de Lauffeld.

Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre commande la brigade du Régiment du Roi-Cavalerie lors de cette bataille.

Claude-Louis-François de Régnier se distingue lors de cette bataille.

Célébrée par les Français, la victoire n'est cependant pas décisive.

L'armée alliée n'est pas totalement défaite et retraite en bon ordre, laissant le champ de bataille aux Français, mais les empêchant dans l'immédiat de capturer Maastricht.

Hermann Maurice de Saxe envoie 30 000 hommes prendre la ville de Bergen-op-Zoom le 29 août 1747 pour conclure cette année de campagne.

Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre sert jusqu'à la prise de celte place.

Noël Jourda de Vaux reçoit une cinquième blessure pendant ce siège.

Maastricht passe une nouvelle fois brièvement sous domination française après la bataille de Lauffeld.



Prise de Maastricht

Louis XV n'était pas loin de réaliser le vieux rêve français d'établir la frontière septentrionale du pays le long du Rhin.

Le processus de paix commence en avril 1748.

À l'ouverture de la campagne de 1748, les Français investissent Maastricht.

Après un bref siège, Maastricht tombe le 7 mai 1748.

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux et Anne Emmanuel François Georges de Crussol d'Uzès participent à ce siège.

Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre participent à ce siège.

Les protestants habitant Maastricht perdent les droits qui les rendent égaux aux autres chrétiens



Mariage d'Anne François de Montmorency-Luxembourg avec Louise François Pauline de Tingri

Anne François de Montmorency-Luxembourg épouse le 17 février 1752 Louise François Pauline de Tingri, fille de Charles François Christian, Prince de Tingri. Leurs enfants sont :



Batailles de Clotersevern et de Zell

Convention de Kloster Zeven

Capitaine-lieutenant avec rang de maître de camp, Anne Léon II de Montmorency-Fosseux combat lors des batailles de Clotersevern et de Zell.

Louis-François-Armand de Vignerot du Plessis, successeur de Louis Charles César Le Tellier, impose à William Augustus de Grande-Bretagne la capitulation dite de Klosterzeven ou de Klosterzeven le 8 septembre 1757.

La popularité William Augustus de Grande-Bretagne ayant diminué depuis Culloden, cette défaite complète sa disgrâce.

Signée le 9 septembre 1757, la Convention Kloster Zeven prévoit :

Ces dispositions si clémentes provoquent l'indignation de Versailles qui s'attendait a voir l'adversaire purement et simplement désarmé.

Prétextant le pillage auxquels se livraient les troupes de Louis-François-Armand de Vignerot du Plessis au Hanovre la Cour de Londres refuse de la ratifier.


Combat de Sondershausen

Combat de Sondershausen

En 1758, Charles de Rohan-Soubise reçoit le commandement d'une armée avec laquelle il espère effacer l'affront de la bataille de Rossbach.

Suite a la bataille de Krefeld, Charles de Rohan-Soubise reçoit pour instruction de reconquérir la Hesse-Cassel.

Charles de Rohan-Soubise détache de ses 20 000 hommes un corps d'armée sous les ordres de Victor-François de Broglie avec pour mission de pourchasser les Hessois et de les contraindre à livrer bataille.

Les troupes françaises comportent 5 600 fantassins et 1 200 cavaliers appuyés par 28 canons.

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux et Anne Emmanuel François Georges de Crussol d'Uzès participent au combat de Sundershausen.

Les troupes hessoises commandées par Johann Casimir von Isenburg-Birstein sont majoritairement composées de conscrits.

Les troupes hessoises comportent 4 000 hommes et 1 250 cavaliers appuyés par 10 canons.

Johann Casimir von Isenburg-Birstein décide de se retrancher derrière l'Eder prés de Fritzlar.

Le 22 juillet 1758 Johann Casimir von Isenburg-Birstein se retranche au-delà de la Fulda vers Cassel.

Le 23 juillet 1758 Victor-François de Broglie se porte à l'attaque du village de Sandershausen, près de Cassel, où les Hessois ont installé leur campement.

Vers 11 heures l'infanterie de Victor-François de Broglie franchit la Fulda suivie par la cavalerie.

Les avant-postes Hessois sont bousculés rapidement mais les français sont stoppés par le tir de 2 bouches à feu ennemies couvrant leur infanterie.

Victor-François de Broglie déploie à son tour de l'artillerie pour procéder à un tir de contre-batterie mais l'adversaire bat en retraite vers ses positions de Sondershausen.

Au son du canon les Hessois sortent de leur camp et se déploient le long de la route menant vers Hannoversch Münden :

L'artillerie est répartie sur la ligne de bataille.

Victor-François de Broglie forme son armée en 3 colonnes d'assaut, celle de droite appuyée à elle seule par 10 canons, la cavalerie couvrant les arrières.

Toute l'armée se met en marche vers 16 heures.

La colonne de droite bute sur la ferme d'Ellenbach obligeant de Victor-François de Broglie à procéder à un puissant tir d'artillerie sur celle-ci avant de faire donner ses grenadiers.

Johann Casimir von Isenburg-Birstein contre-attaque avec sa cavalerie, obligeant les Français à faire de même.

Une mêlée de cavaliers s'ensuit au cours de laquelle les Hessois sont d'abord rejetés puis les Français lorsqu'ils tentent d'exploiter leur succès.

La bataille devient confuse et seule une charge à la baïonnette de l'infanterie royale finit par submerger les Hessois sur leur gauche, emportant la décision vers 18 heures 30.

Couverts par leur cavalerie et notamment les Chasseurs qui verrouillent la vallée d'Ellenbach, les Hessois battent en retraite.

Victor-François de Broglie, constatant l'épuisement de ses troupes, s'abstient de les poursuivre.

Les pertes françaises sont de 600 morts et 1400 blessés.

Les pertes hessoises sont de 1 500 tués, blessés et prisonniers ainsi que 7 pièces d'artillerie perdues.

Les Français occupent Marbourg et Cassel et restent provisoirement maîtres de la Hesse.



Bataille de Lutzelberg

La bataille de Lutzelberg ou de Lutterberg (actuellement Staufenberg en Allemagne) est un épisode de la guerre de Sept Ans qui a lieu le 10 octobre 1758.

Les Hessois et les Hanovriens tentent de couper les approvisionnements des Français

Les forces françaises comportent 42 000 hommes.

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux et Anne Emmanuel François Georges de Crussol d'Uzès participent à cette bataille.

Les forces hessoises et hanovriennes comportent 14 000 hommes.

Charles de Rohan-Soubise attaque d'abord au centre mais il est refoulé.

Charles de Rohan-Soubise lance une offensive sur le flanc et, après un furieux corps-à-corps, parvient à refouler ses ennemis.

Le mérite de la victoire revient plus particulièrement à François de Chevert.

Charles de Rohan-Soubise ne peut exploiter davantage la victoire.

La saison est déjà bien avancée et Charles de Rohan-Soubise prend ses quartiers d'hiver à Francfort-sur-le-Main.

François de Chevert est récompensé par le roi de Pologne qui lui décerne l'ordre de l'Aigle blanc.

Les forces françaises perdent 600 morts ou blessés.

Les forces hessoises et hanovriennes perdent 3 000 à 4 000 morts ou blessés et comptent 800 prisonniers.


Camp de l'Armée du Roi à Corbach et celui des ennemis à Saxenhausen

Bataille de Korbach

La ville de Corbach est située sur les hauteurs de Corbach, qui s'élèvent à quelque 400 mètres au-dessus de la plaine et s'étendent à environ 2 kilomètres à l'est de la ville dans le bois de Berndorf.

La ville elle-même est le carrefour de plusieurs routes.

De nombreuses et importantes forces des 2 camps se concentrent dans la région.

Le gros des troupes françaises, aux ordres de Victor-François de Broglie, sont à Frankenberg, à environ 30 kilomètres au sud.

La force principale des armées coalisées de Brunswick, de Hesse-Cassel, de la Principauté de Brunswick-Wolfenbüttel et du royaume de Grande-Bretagne, commandée par Ferdinand de Brunswick-Lunebourg, est à Sachsenhausen 10 kilomètres à l'est.

Le 4 juillet 1760, Victor-François de Broglie ordonne à Claude-Louis-Robert de Saint-Germain, stationné à Dortmund avec l'armée du Bas-Rhin, de marcher vers Corbach pour faire sa jonction avec l'armée principale française.

Le 8 juillet 1760, informé des manœuvres de Victor-François de Broglie, Ferdinand de Brunswick-Lunebourg détache le Prince Héréditaire de Brunswick avec l'avant-garde, une force mixte composée principalement de Britanniques, Hanovriens et d'Hessois, avec l'intention d'occuper les hauteurs de Corbach et empêcher la jonction des deux armées françaises.

Plus tard, Ferdinand de Brunswick-Lunebourg les suit avec le reste de l'armée, laissant le commandement à Lord Granby à Sachsenhausen.

Corbach est pris le 9 juillet 1760 par Nicolas de Luckner, le commandant de la cavalerie légère hanovrienne.

Le même jour, le général Clausen marche sur Corbach afin d'observer les mouvements des Alliés et y trouve le corps de Nicolas de Luckner.

Victor-François de Broglie ordonne de le déloger et envoie le comte de Rooth avec une brigade d'infanterie et le marquis de Poyanne avec les carabiniers du Comte de Provence pour soutenir Clausen.

Cependant, les Français ne peuvent préparer une attaque avant la tombée de la nuit.

Victor-François de Broglie ordonne à Claude-Louis-Robert de Saint-Germain d'accélérer sa marche.

La brigade Clausen prend position au bois gauche de Corbach et Victor-François de Broglie arrive lui-même à la tête de 6 brigades.

Le Prince Héréditaire, réuni au corps de Kielmansegg, arrive sur les hauteurs de Corbach vers 9 heures du matin, tandis que l'armée principale était encore au défilé de Sachsenhausen, à 8 kilomètres en arrière.

Croyant qu'il faisait face seulement au corps de Claude-Louis-Robert de Saint-Germain, il résout d'attaquer immédiatement sans attendre le gros de l'armée.

Claude-Louis-Robert de Saint-Germain déploie 4 bataillons d'infanterie dans la ville.

Le reste de son corps, infanterie, cavalerie et artillerie, est déployé sur les hauteurs de Corbach s'étendant à l'est et au nord jusqu'au bois de Berndorf où il a déployé quelques troupes légères.

Le 10 juillet 1760, la bataille commence à 9 heures avec des escarmouches entre la cavalerie légère des 2 camps.

Le Prince Héréditaire déploie son corps en ligne de bataille et attaque immédiatement.

Toutefois, le déploiement des Français l'aurait obligé à laisser sa gauche exposée à l'arrivée des renforts français envoyés depuis Frankenberg.

Une très violente canonnade et un feu intense d'infanterie durent toute la journée.

La lutte devient particulièrement intense au centre du front sur la colline entre Corbach et le bois de Berndorf, mais les Français maintiennent fermement leur position.

Pendant ce temps ils sont renforcés par les brigades Royal-Suédois et Castella.

Les brigades Navarre et du Roi qui se déploient sur l'aile droite, avec Auvergne et Orléans en réserve.

Une batterie de 24 canons s'établit vis-à-vis de la batterie alliée.

Après ces dispositions, les Français prennent l'offensive.

La brigade Navarre se distingue par la capture d'une batterie alliée à la baïonnette.

Selon un rapport officiel de Lord Granby au maréchal Ligonier, l'arrivée des troupes françaises sur l'arrière-garde alliée convainc le Prince de la nécessité d'une retraite.

La retraite alliée commence vers 15 heures dans le désordre.

Beaucoup de confusion règne dans l'infanterie et la cavalerie allemande.

Les Français redoublent leurs tirs d'artillerie et chargent avec l'ensemble de leur cavalerie.

Le Prince Héréditaire est obligé de charger à la tête de 2 régiments de dragons britanniques : 1st King's Dragoon Guards et 2d Queen's Dragoon Guards, pour couvrir la retraite, sans pour autant pouvoir empêcher la perte de l'artillerie du flanc droit avec 18 pièces de canon.

Les Alliés perdent :

Le Prince Héréditaire est légèrement blessé à l'épaule.

Les Français perdent environ 750 hommes.

Les régiments Royal-Suédois et du Roi souffrent plus qu'aucun autre.

François-Louis-Antoine de Bourbon Busset participe à cette bataille.

Jacques Gabriel Louis Le Clerc de Juigné, brigadier, participe aux combats à la tête du régiment de Champagne.

Louis-Philippe de Durfort, colonel du régiment de Chartres, participe à cette bataille

Louis-Henri-Gabriel de Conflans d'Armentières, mestre de camp au régiment d'Orléans cavalerie sous les ordres de son père Louis de Conflans d'Armentières, participe à cette bataille

Alexandre Séraphin Joseph Magnus, comte de Sparre, colonel au régiment d'Anhalt, participe à cette bataille

François-Henri de Franquetot participe à cette bataille.

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux participe à cette bataille.



Mariage d'Anne Léon II de Montmorency-Fosseux avec Marie-Judith de Champagne

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux épouse à Paris le 25 janvier ou le 27 janvier 1760 ou 1761 Marie-Judith de Champagne, fille de Louis Hubert de La Roussière et de Françoise Judith de Lopriac de Coëtmadeuc. Leur enfant est :



Anne Léon II de Montmorency-Fosseux Maréchal de camp des armées du roi

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux devient Maréchal de camp des armées du roi en 1762.



Mariage d'Anne Léon II de Montmorency-Fosseux avec Charlotte Anne Françoise de Montmorency-Luxembourg

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux Duc jure uxoris de Montmorency

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux est veuf de Marie-Judith de Champagne.

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux épouse à Paris le 21 septembre ou le 6 octobre 1767 Charlotte Anne Françoise de Montmorency-Luxembourg. Leurs enfants sont :

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux devient Duc jure uxoris de Montmorency



Naissance d'Anne Charles François de Montmorency

Anne Charles François de Montmorency naît à Paris le 13 ou le 28 juillet 1768, fils d'Anne Léon II de Montmorency-Fosseux et de Charlotte Anne Françoise de Montmorency-Luxembourg.



Naissance d'Anne Louise Élisabeth de Montmorency

Anne Louise Élisabeth de Montmorency naît à Paris le 8 juillet 1771, fille d'Anne Léon II de Montmorency-Fosseux et de Charlotte Anne Françoise de Montmorency-Luxembourg.



Mort d'Anne Léon II de Montmorency-Fosseux

Anne Léon II de Montmorency-Fosseux meurt à Münster le 1 ou le 7 septembre 1799.


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