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Événements contenant la ou les locutions cherchées
13 événements affichés, le premier en 1733 - le dernier en 1794
Mariage de Jean-Aymard II de Nicolaï avec Madeleine-Charlotte de Vintimille
Jean-Aymard II de Nicolaï épouse le 16 mars 1733 Madeleine-Charlotte de Vintimille, fille de Gaspard Magdelon Hubert de Vintimille et de Marie Charlotte de Refuge.
Leurs enfants sont :
Naissance d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï
Aymard ou Aimar-Charles-Marie de Nicolaï ou Nicolay naît à Paris le 14 août 1747, fils de Jean-Aymard II de Nicolaï (vers1706-1785) et de Madeleine-Charlotte de Vintimille (1715-1767).
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï Premier président de la chambre des comptes
En 1768, Aimar-Charles-Marie de Nicolaï est reçu Premier président de la chambre des comptes.
Mariage d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï avec Philippine Léontine Potier de Novion
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï épouse le 27 avril 1768 Philippine Léontine Potier de Novion. Leurs enfants sont :
Naissance d'Aymard Marie Pierre Léon de Nicolaï
Aymard Marie Pierre Léon de Nicolaï ou Nicolay naît en 1770, fils d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï et de Philippine Léontine Potier de Novion.
Naissance d'Aymard François Marie Chrétien de Nicolay
Christian ou Aimar ou Aymard François Marie Chrétien de Nicolay ou de Nicolaÿ naît à Paris le 23 août 1777, fils d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï (1747-1794), Seigneur du marquisat de Bercy, et de Philippine Léontine Potier de Novion (1748-1820).
Naissance d'Aymard-Tanguy-Raymond de Nicolaï
Aymard Jean Tanneguy Raymond ou Aymard-Tanguy-Raymond de Nicolaï ou Nicolay naît en 1781, fils d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï et de Philippine Léontine Potier de Novion.
Naissance d'Aymard-Charles-Marie-Théodore de Nicolaï
Aymard-Charles-Marie-Théodore de Nicolaï ou Nicolay naît à Paris le 31 juillet 1782, fils d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï et de Philippine Léontine Potier de Novion.
Assemblée des notables à Versailles
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï à l'assemblée des notables
Débat entre Charles-Alexandre de Calonne et Jacques Necker
L'Assemblée des notables, dont les membres sont nommés par le Roi, comprend :
soit au total 147 personnes.
Louis Philippe Marc Antoine de Noailles et Charles Eugène Gabriel de La Croix sont membres de cette Assemblée des notables.
François Claude Amour du Chariol est Membre de cette Assemblée des notables de 1787 à 1788.
Il y défend les privilèges.
Aimery-Louis-Roger de Rochechouart est désigné par le roi pour faire partie de cette assemblée.
Composée de propriétaires, elle est très majoritairement hostile aux réformes projetées.
La première Assemblée des Notables est prévue le 29 janvier 1787.
En raison d'une indisposition de Charles-Alexandre de Calonne, l'Assemblée ne tient sa première réunion dans l'hôtel des Menus-Plaisirs de Versailles que le 22 février 1787.
Ce délai laisse à l'opposition tout le temps de s'organiser.
L'assemblée constitue 7 bureaux pour examiner le plan du ministre.
Un seul bureau l'approuve, celui que préside Charles X de France.
Le premier bureau, présidé par Louis XVIII, le déclare inconstitutionnel.
Les autres, sans rejeter les réformes, les déclarent inapplicables, et présentent des contre-propositions qui les dénaturent.
Tous feignent de découvrir l'ampleur du déficit et s'en insurgent à plaisir.
Charles-Alexandre de Calonne, irrité, fait imprimer ses rapports, ce qui achève de lui aliéner la Cour.
De tous les partis, c'est le clergé qui se montre le plus virulent.
Les gazetiers et les libellistes, de leur côté, raillent l'assemblée des notables, accusée d'être à la solde du pouvoir, piquant l'amour-propre de certains députés, encouragés dès lors à faire preuve d'indépendance.
Louis François Joseph de Bourbon-Conti n'y joue qu'un rôle relativement effacé, mais insiste sur le délabrement des finances du royaume. Ses interventions montrent qu'il pressent la gravité de la crise que traverse la monarchie.
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï est appelé à siéger à l'assemblée des notables. Il s'y fait remarquer par son éloquence.
Devant l'Assemblée des notables, Charles-Alexandre de Calonne accuse Jacques Necker d'avoir trompé l'opinion en publiant de faux renseignements dans son Compte-rendu au Roi : selon lui les comptes de l'année 1781, loin de révéler un excédent, comme Jacques Necker l'avait affirmé, accusaient en réalité un déficit de 50 millions.
Jacques Necker réplique en contestant les chiffres de Charles-Alexandre de Calonne. Cette réponse lui vaut d'être exilé hors de Paris et est à l'origine d'un vif débat public entre les deux hommes.
Charles-Alexandre de Calonne soutenu simplement par Charles X de France et le clan Polignac, haï par Marie-Antoinette d'Autriche est lâché par Louis XVI le 10 avril 1787.
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï Membre de l'Académie française
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï est un magistrat français, conseiller du roi en tous ses conseils, premier président de la Chambre des comptes, Chancelier et garde des sceaux de l'Ordre du Saint-Esprit.
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï est élu membre de l'Académie française le 9 mars 1789. Il remplace le marquis de Chastellux et est reçu par Claude-Carloman de Rulhière.
Dans son discours de réception, il fait l'éloge de Louis XVI et suscite les murmures du public.
Élection d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï aux États- généraux
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï est élu aux États- généraux par un des collèges électoraux de Paris, mais il refusera de siéger dans cette assemblée.
Suspension de Louis XVI
Emprisonnement de la famille royale
Au manifeste de Brunswick, le peuple de Paris répond par l'assaut sur les Tuileries.
Le 9 août 1792, quand Augustin-Joseph de Mailly apprend les dangers qui environnent la famille royale, il se rend aux palais des Tuileries.
François-Athanase Charette de La Contrie revient en France pour défendre la famille royale aux Tuileries, le 10 août 1792.
Le 10 août 1792 le bataillon d'Henri Gatien Bertrand se porte aux Tuileries pour défendre la royauté constitutionnelle.
Augustin-Joseph de Mailly se voit confier par le roi le commandement des troupes devant défendre les Tuileries.
Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara, revenu à Paris, assiste au 10 août aux côtés de Louis XVI.
Le 10 août 1792, la foule envahit le palais des Tuileries.
La défense est balayée, et Augustin-Joseph de Mailly échappe au massacre et reçoit de l'aide pour s'enfuir.
François-Athanase Charette de La Contrie échappe au massacre.
La prise des Tuileries choque particulièrement Charles-François Lebrun qui reste royaliste.
Marie-Louise de Savoie-Carignan suit la famille royale qui se réfugie à l'Assemblée législative.
Louis XVI est suspendu par l'Assemblée législative. La déchéance du roi est prononcée.
Louis XVI confie à Aimar-Charles-Marie de Nicolaï les sceaux de France, en lui demandant de les remettre plus tard au dauphin.
Louis XVI, Marie-Antoinette d'Autriche et Louis XVII sont emprisonné à la Prison du Temple. Marie-Louise de Savoie-Carignan fait partie du convoi.
Louis XVII est confié à la garde de son père qui poursuit son éducation.
Nicolas de Luckner perd toute sa popularité et est regardé comme suspect après le 10 août 1792.
Augustin-Joseph de Mailly est dénoncé puis arrêté peu de jours après sa fuite et conduit devant la section, qui veut l'envoyer à la prison de l'Abbaye. Son passé, son âge et ses idées généreuses du temps des Lumières, font qu'un commissaire réussit à s'y opposer. Augustin-Joseph de Mailly échappe donc de peu aux massacres de Septembre dans cette prison.
Augustin-Joseph de Mailly se réfugie avec sa famille dans leur château de Mareuil-Caubert, près d'Abbeville.
Sur le chemin du retour, François-Athanase Charette de La Contrie est arrêté à Angers et relâché grâce à l'intervention de Charles François du Perrier du Mouriez.
Mort d'Aymard Marie Pierre Léon de Nicolaï
Mort d'Aimar-Charles-Marie de Nicolaï Marquis de Goussainville, seigneur d'Osny, de Villebourg, de Courances
Aymard Marie Pierre Léon de Nicolaï meurt le 6 juillet 1794 sur l'échafaud, pour refus de serment à la République.
Aimar-Charles-Marie de Nicolaï, son père, est enfermé dès les premiers jours de la Terreur dans la prison du Luxembourg et est condamné à mort comme ennemi du peuple le 19 messidor AN II soit le 7 juillet 1794. Il meurt guillotiné le même jour.
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