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Événements contenant la ou les locutions cherchées
24 événements affichés, le premier en 1785 - le dernier en 1857
Naissance d'Adrien Victor de Feuchères
Adrien Victor de Feuchères naît à Paris le 20 novembre 1785, fils de Jean Nicolas de Feuchères et de Jeanne Thomas.
Adrien Victor de Feuchères Sous-lieutenant au 105e Régiment de Ligne
En 1804, Adrien Victor de Feuchères entre à l'école militaire de Fontainebleau et en sort comme sous-lieutenant au 105e Régiment de Ligne.
Bataille de Saalfeld
Mort de Louis-Ferdinand de Prusse
Bataille d'Auerstaedt
Mort de Charles-Guillaume-Ferdinand de Brunswick-Wolfenbüttel
Frédéric-Guillaume de Brunswick-Wolfenbüttel Duc de Brunswick-Wolfenbüttel
Bataille d'Iéna
Presque un an après l'éclatante victoire d'Austerlitz, Napoléon a très peur que la Prusse s'engage dans la guerre.
Le problème est que ce pays a une très bonne armée, beaucoup mieux encadrée que les armées autrichienne et russe.
Sous la pression des Russes et poussé par Louise de Mecklembourg-Strelit, son épouse, Frédéric-Guillaume III de Prusse entre dans la Quatrième Coalition, décrète le réarmement en octobre 1806.
Partout en Prusse des jeunes gens s'enrôlent, les industries tournent à plein régime.
En 2 semaines à peine, l'armée est prête, toute fraîche et déterminée.
Napoléon réagit et place ses armées à tous les points stratégiques de l'Allemagne :
les français sont prêts à la contre-offensive.
Frédéric-Louis de Hohenlohe-Ingelfingen, général d'infanterie, commande l'aile gauche des forces prussiennes s'opposant à Napoléon Ier.
Il a sous ses ordres :
ainsi que l'ensemble du contingent saxon.
Des conflits éclatent bientôt entre Frédéric-Louis de Hohenlohe-Ingelfingen et Frédéric-Guillaume de Brunswick-Wolfenbüttel, le commandant en chef.
Le 7 octobre 1806, Frédéric-Guillaume III de Prusse envoie un ultimatum à Napoléon Ier, le sommant de quitter la Prusse et l'ensemble des États allemands de la future Confédération du Rhin.
Napoléon Ier refuse, l'affrontement est inéluctable...
Farouche partisan de la reprise de la guerre contre la France, Louis-Ferdinand de Prusse, fraîchement nommé lieutenant-général, conduit un corps de 8 500 hommes à l'avant garde des troupes prussiennes.
Le 10 octobre 1806, Louis-Ferdinand de Prusse s'oppose au 5e corps de Jean Lannes lors de la bataille de Saalfeld.
En très nette infériorité numérique et hors d'état de résister, Louis-Ferdinand de Prusse refuse pourtant de se rendre au maréchal des logis Jean-Baptiste Guindey.
D'un coup de sabre, il taillade celui-ci au visage.
En retour, Guindey lui administre un coup de sabre au bas du crâne puis un coup mortel à la poitrine.
Eu égard à son rang et à sa vaillance, Jean Lannes fait rendre les honneurs au prince.
Son corps est déposé dans le tombeau des princes de Cobourg à Saalfeld.
La gravure reproduite ici est tirée d'un ouvrage sur la reine Louise édité à Berlin en 1896, œuvre de Richard Knötel (1857-1914), et s'inspire d'un tableau du peintre français Jean-Laurent Mosnier qui avait fui la France à la Révolution.
En plus d'être un vaillant soldat, Louis-Ferdinand de Prusse est également un élève de Beethoven qui lui dédie son Concerto pour piano nº 3.
Louis-Ferdinand de Prusse est un grand pianiste qui brille dans de nombreux salons à Berlin où il improvise au piano.
C'est aussi un compositeur talentueux.
Le 14 octobre 1806, commence la campagne de Prusse.
Charles-Guillaume-Ferdinand de Brunswick-Wolfenbüttel, maréchal de camp de l'armée prussienne, commande à la bataille d'Auerstaedt.
Guillaume de Prusse combat à la tête d'une brigade de cavalerie.
Au nord, Louis Nicolas Davout détruit la moitié de l'armée prussienne à la bataille Auerstäedt le 14 octobre 1806.
Charles-Guillaume-Ferdinand de Brunswick-Wolfenbüttel est mortellement blessé.
Ferdinand Baptista von Schill est blessé lors de cette Bataille.
Ernest III de Saxe-Cobourg-Saalfeld participe à cette bataille.
Gebhard Leberecht von Blücher est chef d'avant-garde à Auerstaedt.
Le 3e corps, soit environ 30 000 hommes, triomphe d'une armée prussienne au moins deux fois plus forte;
À la fin de l'action, Louis Nicolas Davout dit à Charles Antoine Louis Alexis Morand, devant sa division : Général, vous avez sauvé le corps d'armée !
S'étant échappé, Ferdinand Baptista von Schill se réfugie en Poméranie, à Colberg.
La bataille d'Iéna à lieu le 14 octobre 1806.
Frédéric-Guillaume de Brunswick-Wolfenbüttel participe à cette bataille.
Henri Gatien Bertrand participe à cette.
Henri-Jacques-Guillaume Clarke prend part à cette bataille, où il fait capituler les grenadiers saxons de Hundt, qui lui remettent leur drapeau et une batterie de plusieurs pièces de canon attelées et approvisionnées.
Adrien Victor de Feuchères participe à cette bataille.
Philippe Paul de Ségur se trouve à Iéna.
Louis François Foucher participe à cette bataille.
Jean Gabriel Marchand participe à cette bataille.
Nicolas Jean-de-Dieu Soult, sur la droite, avec sa puissante artillerie, pilonne les postions prussiennes les obligeant à se replier.
Michel Ney se poste en avant-garde et contient les contre-offensives allemandes.
Face à lui, le général prussien Hohenlohe, visionnaire militaire de son temps, sait que ses hommes n'ont pas été entraînés, et que la bataille va sûrement être perdue.
Messembach, son ami général, le rejoint au moment où la situation devient critique.
Les prussiens se positionnent sur le plateau d'Iéna, qui est jugé imprenable.
Mais Napoléon Ier observe un vaste champ de raisins bordant tout le plateau.
Il décide de faire passer ses hommes et le matériel à cet endroit.
Les vignes cachent les français montant la colline.
Oui mais, les canons n'avancent plus dans leur ascension, la pente devient trop raide.
Napoléon Ier joue le tout pour le tout, il décide de lancer l'assaut sans l'aide de l'artillerie.
Celui-ci débute à 6 heures du matin, sur des prussiens ébahis et mal réveillés.
Maurice Étienne Gérard charge la cavalerie prussienne à la tête du 4e régiment de hussards, la culbute et lui fit un grand nombre de prisonniers.
La victoire est totale, et les derniers régiments qui tentent de s'enfuir sont pilonnés par l'artillerie ayant finalement réussie à gravir les derniers mètres pendant la bataille.
Cette bataille entraîne la capitulation prussienne et engendre le terrible duel : France-Russie...
Napoléon Ier n'apprend la victoire Auerstäedt que le soir du 14 octobre 1806.
Les Français occupent, entre autres, de grandes parties de l'Allemagne du Nord, dont le Mecklembourg-Schwerin.
Frédéric-François Ier de Mecklembourg-Schwerin se réfugie sous la protection du Danemark à Altona près de Hambourg, dans le Schleswig-Holstein.
Poursuivi par les Français jusqu'en Prusse-Orientale, Frédéric-Guillaume III de Prusse doit alors s'exiler avec les débris de son armée chez le tsar Alexandre Ier de Russie.
Lorsque Napoléon Ier occupe Berlin en 1806, Wilhelmine de Hesse-Cassel est l'un des seuls membres de la famille royale à rester dans la capitale.
Frédéric-Louis de Hohenlohe-Ingelfingen fait preuve de courage au cours de cette bataille mais son armée est quasiment détruite.
Frédéric-Louis de Hohenlohe-Ingelfingen parvient à rassembler une partie de son corps d'armée près d'Erfurt.
Bataille d'Eylau
Par hasard les éclaireurs du 54ème régiment d'infanterie de Michel Ney repèrent les feux des bivouacs de l'armée russe.
Ils découvrent même que des rescapés prussiens d'Iéna et d'Auerstaëdt, 10 000 hommes, sont présents pour soutenir Bennigsen et ses troupes.
Toute cette armée est maintenant cantonnée dans la ville de Preussisch-Eylau.
Napoléon Ier se présente devant l'ennemi le 7 février 1807.
La ville est reconquise rue par rue, maison par maison.
Les fantassins russes se sacrifient pour permettre à leurs artilleurs de se replier.
Le lendemain, le 8 février 1807 seul le cimetière d'Eylau est encore sous la main russo-prussienne.
Napoléon Ier envoie la division de Pierre Augereau, qui encercle le périmètre.
Une tempête de neige éclate, et les français, aveuglés par les bourrasques, se font décimer par la mitraille russe.
Les soldats de Pierre Augereau sont obligés de battre en retraite.
A quelques kilomètres de là, le reste de l'armée assiste à la mort de leurs frères d'armes, impuissants.
Le brouillard se lève enfin, et Napoléon Ier crie à Joachim Murat : Nous laisseras-tu dévorer par ces gens-là ?
Après concertation avec le général Savary qui a remplacé Jean Lannes blessé, Joachim Murat réunit tous les cavaliers disponibles.
Pas moins de 80 escadrons, plus de 8 000 cavaliers ébranlent la ville !
L'intervention Jean-Baptiste Bessières et de Joachim Murat emportent la victoire.
C'est la plus puissante charge de cavalerie de l'Histoire.
Les ennemis sont écrasés, et battent en retraite.
Henri Gatien Bertrand est à Eylau.
Jean Baptiste Cacault sert à Eylau.
Adrien Victor de Feuchères participe à cette bataille.
Charles Antoine Louis Alexis Morand est blessé au bras.
Mais, Bennigsen fait donner la Garde Russe et attaque celle de Napoléon Ier.
Les cavaliers, épuisés par la charge folle qu'ils viennent d'effectuer, n'entendent pas les appels de l'infanterie française.
Soudain, on entend au Nord le canon tonner.
Le maréchal Michel Ney a parcourut avec ses hommes 79 kilomètres la veille et est présent sur le champ de bataille.
Bennigsen donne l'ordre de la retraite et s'enfuit à l'aube du 9 février 1807, laissant derrière 20 000 morts et disparus.
Napoléon Ier, malgré tout vainqueur, a perdu 12 000 hommes, dont 8 généraux.
Pierre Augereau est blessé durement, et sans l'intervention spéciale du chirurgien Larrey, il serait probablement décédé, suite à ses blessures.
C'est la première grande semi-victoire de l'Empire.
La bataille d'Eylau a prouvé que la Grande Armée n'est pas invincible.
Les russes se considèrent même comme les vainqueurs dans cet affrontement.
Siège et prise de Dantzig
Bataille de Friedland
Quelques mois après la sanglante et indécise bataille d'Eylau, Napoléon Ier ordonne à son armée de repasser la rivière de la Passarge.
La position acquise alors se révèle capitale pour couvrir le siège de Dantzig que l'Empereur se refuse de laisser derrière lui.
Après une résistance de quelques semaines, le port prussien se rend, offrant vivres et munitions à la Grande Armée.
Henri Gatien Bertrand au siège de Dantzig.
Jean Baptiste Cacault sert au siège de Dantzig où il est blessé.
Napoléon Ier peut maintenant prendre en main les opérations.
C'est plus de 170 000 hommes, en comptant les réserves, qui se portent à la rencontre des russes, très affaiblis depuis Eylau.
Ceux-ci se trouvent au nombre de 90 000, avec 100 pièces de canon alors que Napoléon Ier en aligne plus de 200 cents.
La domination française est donc indiscutable, mais il faut se méfier de cette armée russe motivée par des officiers fanatisés et des cosaques particulièrement redoutables.
De plus, le général Lobanov est en route avec un renfort de 25 000 soldats et 5 000 cavaliers.
Le 10 juin 1807, Napoléon Ier fait manœuvrer sur l'Alle, où Michel Ney reçoit l'ordre d'attaquer le commandant russe Bennigsen.
Le plan de Napoléon Ier est d'amener l'armée du Tsar à franchir à son tour la Passarge pour ensuite l'écraser en détails.
Bennigsen, un bon combattant, amené à être prudent, s'engage néanmoins et commence à subir les assauts destructeurs des corps de Nicolas Jean-de-Dieu Soult et Jean-Baptiste Jules Bernadotte.
Il décide alors de se replier sur Heilsberg, poursuivi par les cavaliers de Joachim Murat.
De son côté, Jean Lannes est au prise avec l'ennemi à Friedland.
Napoléon Ier envoie à son secours les carrés de Ney, Victor et Adolphe Édouard Casimir Joseph Mortier, faisant même donner la Garde...
Adrien Victor de Feuchères participe à cette bataille.
Le 14 juin 1807 au matin, l'offensive française est lancée.
Bennigsen, ignorant totalement le regroupement français, envisage de prendre Napoléon Ier à revers.
Il se heurte au corps d'armée de Lannes qui, éprouvé par les combats de la veille, n'a plus que 10 000 hommes sous son commandement.
Lannes donne alors l'illusion à Bennigsen que c'est le double de soldats qu'il rencontre en faisant donner son artillerie au maximum.
Ce dernier tombe dans le piège, et tarde dans sa manœuvre initiale, ce qui laisse le temps aux renforts français de se mettre en place.
La cavalerie d'Emmanuel de Grouchy s'élance avec fougue, brisant les lignes de fantassins russes, tandis que les canons français jettent des pluies d'éclairs et de feu sur les cosaques.
Pendant ce temps, Adolphe Édouard Casimir Joseph Mortier boucle le secteur de Königsberg.
Le plan est en place, les russes sont cernés de toute part...
A 17 heures, 3 salves tirées par la Garde indiquent le renfermement du piège.
Ney prend le village de Sortlack et fond sur les soldats de Gortchakov.
Toute la Grande Armée se met en marche.
Les russes se battent avec un courage qui forcent l'admiration, mais en vain.
Leur retraite est impossible, Adolphe Édouard Casimir Joseph Mortier est là.
Reste un passage par Friedland.
Bennigsen investit la ville, et entreprend la contre-offensive.
Hélas pour les russes, une contre-attaque française anéantit tout espoir.
Les fuyards se jettent dans l'Alle pour rejoindre la réserve du Tsar, située sur l'autre rive...
A la tombée de la nuit, la bataille s'achève.
La victoire est totale pour Napoléon Ier qui lave ainsi l'affront d'Eylau.
Bennigsen a perdu près de 17 000 hommes.
7 ans jour pour jour après Marengo, le génie de Napoléon Ier est toujours là.
Adrien Victor de Feuchères En Espagne
Adrien Victor de Feuchères est envoyé en Espagne et nommé capitaine à l'état-major de l'armée d'Aragon, où il se distingue et est cité à l'ordre du jour.
Bataille de Tudela
Adrien Victor de Feuchères est fait chevalier de la Légion d'honneur le 18 juillet 1809 à la bataille de Tudela.
Bataille du col d'Ordal
L'assaut du col d'Ordal oppose Louis Gabriel Suchet aux Hispano-britanniques le 12 septembre 1813.
Adrien Victor de Feuchères est blessé et promu chef de bataillon.
Adrien Victor de Feuchères au 6e Régiment d'Infanterie de la Garde Royale
Après la Seconde Restauration, Adrien Victor de Feuchères entre au 6e Régiment d'Infanterie de la Garde Royale.
Adrien Victor de Feuchères Lieutenant-colonel
Convalescent pendant la Première Restauration, Adrien Victor de Feuchères demeure inactif pendant les Cent-Jours.
Cette attitude prudente lui permet d'être réintégré après la Seconde Restauration, au 6e régiment d'infanterie de la Garde royale avec le grade de lieutenant-colonel.
Adrien Victor de Feuchères Gentilhomme de Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé
Mariage d'Adrien Victor de Feuchères avec Sophie Dawes
Adrien Victor de Feuchères devient Gentilhomme de Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé en 1818.
Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé souhaite établir Sophie Dawes afin qu'elle puisse paraître à la cour.
Adrien Victor de Feuchères épouse à Londres le 18 juin ou le 6 août 1818 Sophie Dawes, .
Adrien Victor de Feuchères croit qu'elle est une fille naturelle de Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé alors qu'elle est en réalité sa maîtresse.
Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé entretient la crédulité d'Adrien Victor de Feuchères et va même jusqu'à doter la jeune femme.
Adrien Victor de Feuchères Baron héréditaire
Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé obtient pour Adrien Victor de Feuchères un titre de baron le 30 ou le 31 août 1819.
Adrien Victor de Feuchères Aide de camp de Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé
Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé fait nommer Adrien Victor de Feuchères son aide de camp en 1820.
Découverte de l'infortune d'Adrien Victor de Feuchères
À la suite de certaines indiscrétions, les soupçons d'Adrien Victor de Feuchères finissent par être éveillés.
En 1822, Adrien Victor de Feuchères finit par découvrir la nature des relations entre Sophie Dawes, son épouse, et Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé.
Quand le baron apprit son infortune, la seule arme qui lui restât pour venger son honneur était la fuite.
Sophie Dawes demeure, avec son nom et son titre auprès de Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé, à qui elle fait perdre bientôt ce qui lui reste de tête.
Adrien Victor de Feuchères Colonel d'infanterie
Adrien Victor de Feuchères est promu Colonel d'infanterie le 23 avril 1823.
Séparation de fait d'Adrien Victor de Feuchères et de Sophie Dawes
Humilié d'être à peu près le seul à être tenu dans l'ignorance d'un secret de Polichinelle qui faisait se gausser tout Paris, Adrien Victor de Feuchères impose en mars 1824 la séparation d'avec Sophie Dawes, non sans restituer sa dot.
Sophie Dawes demeure, avec son nom et son titre auprès de Louis VI Henri Joseph de Bourbon-Condé.
Mais elle se voit interdire de paraître à la cour et, par voie de conséquence, cesse également d'être reçue au Palais-Royal chez le duc d'Orléans et un peu partout dans le monde.
Adrien Victor de Feuchères conserve un souverain mépris pour la haute société et la Cour.
Adrien Victor de Feuchères quitte l'armée avant de la réintégrer en 1824.
Séparation de corps d'Adrien Victor de Feuchères et de Sophie Dawes
La séparation de corps d'Adrien Victor de Feuchères et de Sophie Dawes est prononcée en 1827 ou le 26 aout 1829 par le Tribunal de la Seine.
Adrien Victor de Feuchères Maréchal de camp
Adrien Victor de Feuchères devient Maréchal de camp le 13 décembre 1830.
Adrien Victor de Feuchères chef de la subdivision de Nîmes
En 1835 Adrien Victor de Feuchères est général et chef de la subdivision de Nîmes qui regroupe les garnisons du Gard et de l'Ardèche.
Il aime cette ville où il a de nombreux amis. De nobles parisiens viennent le visiter. Il bénéficie d'une brillante réputation. En fait, il a l'estime de tous.
Mort de Sophie Dawes
Sophie Dawes meurt en 1840.
Adrien Victor de Feuchères hérite de la plus grande partie de la fortune de Sophie Dawes.
Adrien Victor de Feuchères refuse de percevoir pour lui-même cette fortune qu'il considère comme le salaire du vice.
Il la consacre entièrement aux œuvres de bienfaisance et de charité pour Nîmes et sa région.
Adrien Victor de Feuchères Lieutenant général
Adrien Victor de Feuchères devient Lieutenant général le 9 avril 1843.
Adrien Victor de Feuchères Député du Gard
Adrien Victor de Feuchères devient Député orléaniste du Gard de 1846 à 1848.
Mariage d'Adrien Victor de Feuchères avec Héloïse Gide
Adrien Victor de Feuchères épouse à Paris Xe le 22 novembre 1851 Héloïse Gide (1800-1895)
Mort d'Adrien Victor de Feuchères Baron de Feuchères
Adrien Victor de Feuchères meurt à Paris le 22 novembre 1857.
Il est inhumé en la 49e division du cimetière du Père Lachaise, Paris XXe
On donne son nom à la première grande avenue moderne de Nimes : celle qui relie la gare à l'esplanade et au palais de justice.
Le plus grand collège de Nîmes, situé sur l'avenue Feuchères, porte également son nom.
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