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Événements contenant la ou les locutions cherchées
32 événements affichés, le premier en 740 - le dernier en 1800
Mariage de Pépin III Le Bref avec Berthe Au Grand Pied
Pépin III Le Bref épouse en 740 ou vers 744 ou 749 Berthe Au Grand Pied. Leurs enfants sont :
Mariage de Hugues Capet avec Adélaïde d'Aquitaine
Hugues Capet épouse en 963 ou 968 Adélaïde d'Aquitaine et de Poitou, fille de Guillaume III Tête d'Étoupe et d'Adèle de Normandie. Leurs enfants sont :
Naissance de Adélaïde de France
Adélaïde naît en 973, fille d'Hugues Capet et d'Adélaïde d'Aquitaine.
Mort de Adélaïde de France
Adélaïde de France meurt en 1068.
Rupture des fiançailles de Louis XV avec Marie-Anne-Victoire de Bourbon
Retraite de Marie Anne de Bourbon
Mariage de Louis XV de France avec Marie Leszczynska
Le roi devenant adulte est apte à procréer. Se pose alors la question de l'héritier du trône.
Marie-Anne-Victoire de Bourbon n'a que 6 ans et Louis IV Henri de Bourbon-Condé redoute de perdre le pouvoir au cas où le jeune roi, de santé fragile, viendrait à disparaître.
En 1725, on prend la décision de rompre les fiançailles de Louis XV avec Marie-Anne-Victoire de Bourbon et de la renvoyer dans son pays.
Marie Anne de Bourbon se retire alors dans ses châteaux où elle mène une vie de plus en plus recluse.
On chercher une nouvelle fiancée. Fleuriau de Morville, l'un des secrétaires d'État, dresse une liste des partis possibles. Cent noms de Princesses européennes sont présentés et l'on n'en retint que 8.
Louis IV Henri de Bourbon-Condé ne peut imposer une de ses sœurs. Aussi refuse-t-il toutes les princesses alliées à la branche rivale des Orléans en dépit des intérêts du Royaume, notamment les filles du Duc et de la Duchesse de Lorraine.
On prête un rôle à Jeanne Agnès Berthelot de Pléneuf dans ces manœuvres.
Le 31 mars 1725, faute de mieux et à la grande déception de la cour et de la nation toute entière, Marie Leszczynska, fille du roi détrôné de Pologne est choisie par Luis XV et André Hercule de Fleury.
Elle vit alors chichement en Alsace d'une pension que lui verse la France. Elle est de 7 ans plus âgée que le roi.
Le 2 avril 1725, Louis IV Henri de Bourbon-Condé demande à Stanislas Ier Leszczynski sa fille en mariage au nom de Louis XV.
Stanislas Ier Leszczynski et Marie Leszczynska arrivent à Strasbourg le 4 juillet 1725.
Néanmoins, le 15 août 1725, Louis Ier d'Orléans épouse Marie Leszczynska par procuration dans la cathédrale de Strasbourg, devant le cardinal de Rohan, grand aumônier de France.
Louis XV fait réparer et remeubler le château de Chambord en août 1725.
Le 4 septembre 1725, Marie Leszczynska rencontre Louis XV.
Louis XV de France épouse à la chapelle de la Trinité du château de Fontainebleau le 5 septembre 1725 Marie Leszczynska. Leurs enfants sont :
Seule l'aînée des sœurs se mariera, les autres resteront à la cour, auprès de leurs mères et frères.
Le mariage est consommé le soir même, et le roi fera durer la lune de miel à Fontainebleau jusqu'en décembre. Marie tombe aussitôt amoureuse du roi, qui lui-même en est très épris.
On donne à la nouvelle reine, André Hercule de Fleury comme grand aumônier, et des serviteurs qui ont veillé sur Louis XV enfant, afin de lui permettre de mieux connaître son mari.
Elle se fait instruire dans les questions de cérémonial et d'étiquette et assume ses devoirs de représentation lors des fréquentes absences de Louis XV, à la chasse ou ailleurs.
Grande amatrice de musique et de peinture, elle peint elle-même des aquarelles, c'est elle la véritable mécène de la culture à la cour.
Jeanne Agnès Berthelot de Pléneuf noue une amitié de 2 années qui en fait, pendant un temps, la femme la plus puissante de la cour.
Charles VII Albert de Bavière est à Versailles pour ce mariage.
Marie-Madeleine Bocquet devient première femme de chambre de Marie Leszczynska, tandis que M. Mercier reçoit la charge de contrôleur de la Maison de la Reine.
Stanislas Ier Leszczynski et Marie Leszczynska arrivent à Chambord le 20 septembre 1725.
Louis XV de France et Marie Leszczynska quitteFontainebleau pour Versailles le 28 novembre 1725.
Naissance de Marie-Adélaïde de France
Marie-Adélaïde de France, surnommée Madame Quatrième puis Madame Troisième, puis Madame Adélaïde puis Madame, naît le 23 mars 1732, fille de Louis XV de France et de Marie Leszczynska.
Baptême de Marie-Louise-Élisabeth de France et d'Anne-Henriette de France
Baptême de Marie Adélaïde de France
Marie-Louise-Élisabeth de France et Anne-Henriette de France sont baptisées à Notre-Dame de Versailles le 27 avril 1737.
Marie-Adélaïde de France est baptisée à Versailles le 27 avril 1737.
Louis-Philippe Ier d'Orléans est parrain de Marie-Louise-Élisabeth de France.
Louise Élisabeth de Bourbon-Condé est marraine de Marie-Louise-Élisabeth de France.
Louis IV Henri de Bourbon-Condé est parrain d'Anne-Henriette de France.
Louise-Anne de Bourbon-Condé est marraine d'Anne-Henriette de France.
Charles de Bourbon-Condé est parrain de Marie-Adélaïde de France.
Marie-Anne de Bourbon-Condé est marraine de Marie-Adélaïde de France.
Marie Adélaïde de France, Marie-Louise-Élisabeth de France et Anne-Henriette de France à Versailles
Alors qu'en 1738, Marie Leszczynska apprend qu'elle ne pourra plus avoir d'enfants et ferme sa porte à Louis XV de France.
Les filles cadettes de Louis XV de France sont, par mesure d'économie et sur les conseils d'André Hercule de Fleury, envoyées terminer leur éducation à l'abbaye de Fontevraud.
Marie-Adélaïde de France réussit à attendrir son père et reste à Versailles.
Marie-Adélaïde de France est élevée avec Marie-Louise-Élisabeth de France et Anne-Henriette de France, ses deux sœurs aînées.
Les trois fillettes vivent à Versailles dans l'ombre de Louis-Ferdinand de France, leur frère.
Louis XV, qui aime beaucoup Marie Adélaïde de France, s'amuse à la surnommer Madame Torchon en raison de son goût pour les travaux domestiques.
Marie Henriette de Polastron Dame pour accompagner Mesdames Anne-Henriette de France et Marie-Adélaïde de France
Marie Henriette de Polastron devient Dame pour accompagner Mesdames Anne-Henriette de France et Marie-Adélaïde de France de 1739 à 1746.
Mort d'Armand François de La Croix de Castries 3e Marquis de Castries, Marquis de Lévis, Comte de Charlus, Baron de Montjouvent, Seigneur de Saint Geniès
Armand François de La Croix de Castries meurt à Châlons-en-Champagne dans la Marne le 17 janvier 1743, de retour d'une expédition militaire en Bohème.
Veuve, Marie Louise Angélique de Talaru de Chalmazel devient Dame d'Anne-Henriette de France et de Marie-Adélaïde de France.
Catherine Madeleine Pécoil Dame de compagnie d'Anne-Henriette de France et de Marie-Adélaïde de France
Catherine Madeleine Pécoil est Dame de compagnie d'Anne-Henriette de France et de Marie-Adélaïde de France de 1745 à 1752.
Présentation de Jeanne-Antoinette Poisson à la cour
Le 14 septembre 1745, Jeanne-Antoinette Poisson est officiellement présentée à la cour.
Louis-Ferdinand de France et Marie-Thérèse-Raphaëlle d'Espagne font front commun contre la nouvelle favorite.
La reine, appuyée par les milieux dévots, presse le roi de faire cesser cette relation.
Aimar-Chrétien-François-Michel de Nicolaï et Christophe de Beaumont, l'archevêque de Paris, sont considérés comme guides spirituels du clan des dévots.
Anne-Henriette de France, Marie-Adélaïde de France et Louis-Ferdinand de France forment un groupe uni qui, par amour pour leur mère, s'oppose à Jeanne-Antoinette Poisson, qu'ils appellent en privée "Maman Putain".
Les milieux dévots et les milieux aristocratiques conservateurs qui craignent l'influence grandissante de la bourgeoisie dans la société, concentrent leurs attaques sur la nouvelle maîtresse du roi. Elle a contre elle d'appartenir au Tiers-État.
Bourgeoise proche des milieux financiers, elle est aussi attaquée par le peuple qui hait ce monde de la finance qui l'exploite...
Les maîtresses officielles de Louis XIV, et celles de Louis XV jusqu'à présent, choisies dans les hautes sphères de l'aristocratie, avaient été d'autant plus tolérées qu'elles n'exerçaient aucune influence sur le gouvernement, à l'exception de Françoise d'Aubigné.
Parurent bientôt des chansons et des pamphlets injurieux appelés Poissonades, par allusion aux Mazarinades du siècle précédent. Par exemple :
Fille de sangsue et sangsue elle même
Poisson d'une arrogance extrême
Étale en ce château sans crainte et sans effroi
La substance du peuple et la honte du Roi
Jeanne-Antoinette Poisson est trop ambitieuse pour accepter dans l'entourage de Louis XV un prince du sang investi de missions importantes au service des stratégies européennes de la France.
Elle n'aura de cesse de diminuer l'influence de Louis-François Ier de Bourbon-Conti sur le Roi, ce qui est d'autant plus efficace qu'elle sait le Roi hésitant à accorder son entière confiance au prince.
Exil de Marie Henriette de Polastron
Marie Henriette de Polastron aurait donné à Marie-Adélaïde de France un livre licencieux : Le Portier des Chartreux, visant à montrer l'hypocrisie sociale et religieuse.
Marie-Adélaïde de France le montre à son frère, qui s'empresse de rapporter le fait au roi Louis XV qui est contraint de l'exiler.
Louis XV exige le départ Marie Henriette de Polastron qui est exilée à Autun, en 1746.
Naissance de Jeanne Françoise Aglaé d'Andlau
Jeanne Françoise Aglaé d'Andlau naît à Auxerre le 16 décembre 1746, fille de François Éléonor d'Andlau (1710-1763) et de Marie Henriette de Polastron (vers 1716-1792).
Marie Henriette de Polastron, sa mère est en exil, loin de la cour d'où elle a été chassée pour avoir mis entre les mains de la princesse Marie-Adélaïde de France, dont elle est la gouvernante, un livre tenu pour infâme.
Liaison de Louis XV avec Françoise de Châlus
Mariage de Jean-François de Narbonne-Lara avec Françoise de Châlus
Françoise de Chalus tient la charge de Dame d'honneur de Marie-Adélaïde de France, fille de Louis XV.
Elle est dans une situation privilégiée pour fréquenter Louis XV dès 1749.
Louis XV a une liaison avec Françoise de Châlus, Duchesse de Narbonne-Lara. Leur enfant est :
Françoise de Châlus a un autre enfant, fils soit de Louis XV soit de Jean-François de Narbonne-Lara :
Jean-François de Narbonne-Lara épouse en l'Hôtel de Toulouse à Paris le 13 juillet 1749 et à Louveciennes le 21 juillet 1749 Françoise de Chalus, Baronne de La Bove.
Jean-François de Narbonne-Lara n'est pas le père biologique de ses deux enfants.
Plusieurs auteurs récents considèrent que Louis-Marie de Narbonne-Lara, et peut-être Philippe de Narbonne-Lara également, sont des bâtards de Louis XV
Après son mariage, probablement comme dédommagement pour sa complaisance, Jean-François de Narbonne-Lara obtient satisfaction concernant sa blessure à Namur.
Jean-François de Narbonne-Lara se rend avec Françoise de Chalus à Parme au service Philippe Ier de Parme et de Marie-Louise-Élisabeth de France, fille de Louis XV.
Marie-Adélaïde de France Célibataire
Imbue de son sang, Marie-Adélaïde de France reçoit avec une certaine joie :
Marie-Adélaïde de France préfère rester célibataire.
Dotée d'un caractère vif, Marie-Adélaïde de France sait s'imposer comme un véritable chef de famille auprès de ses sœurs.
Seule Louise Marie de France, la benjamine, échappait à son ascendant.
Louise Marie Emmanuelle d'Alègre Dame pour accompagner Mesdames les Ainées
Louise Marie Emmanuelle d'Alègre devient Dame pour accompagner Mesdames les Ainées : Anne-Henriette de France et Marie-Adélaïde de France en 1751.
Catherine Madeleine Pécoil Dame de compagnie de Marie-Adélaïde de France
Catherine Madeleine Pécoil est Dame de compagnie de Marie-Adélaïde de France de 1752 à 1770.
Cession du Château de la Bove
En 1753 ou en 1776, le château de la Bove à Bouconville est acheté par Françoise de Châlus, Dame d'honneur de Marie Adélaïde de France, fille de Louis XV.
Françoise de Châlus possédera le château jusqu'à la Révolution.
Mariage d'Alexandre Marie Éléonor de Saint-Mauris-Montbarrey avec Françoise Parfaite Thaïs de Mailly-Nesle
Alexandre Marie Éléonor de Saint-Mauris-Montbarrey épouse le 29 octobre 1753 Françoise Parfaite Thaïs de Mailly. Leurs enfants sont :
Françoise Parfaite Thaïs de Mailly est présentée à la cour 3 jours après son mariage.
Le lendemain, Françoise Parfaite Thaïs de Mailly entre en possession de la charge de Dame pour accompagner Marie-Adélaïde de France de 1753 à 1773.
Louis XV lui accorde une pension de 2 000 livres.
Alexandre Marie Éléonor de Saint-Mauris-Montbarrey et Françoise Parfaite Thaïs de Mailly ont peu d'affinités.
Liaison de Louis XV avec Marguerite-Catherine Haynault
Louis XV a une liaison avec Marguerite-Catherine Haynault (1736-1823). Leurs enfants sont :
Elle est alors dame d'honneur de Marie-Adélaïde de France.
Expulsion des Jésuites en France
Dissolution de l'ordre des jésuites
Louis-Ferdinand de France s'oppose vivement à Étienne-François de Choiseul et désapprouve la dissolution de l'ordre des jésuites mais soutient Louis XV de France contre les parlements.
Défendant avec ardeur l'ordre des Jésuites, Marie-Adélaïde de France se met à dos le Parlement
Le 9 mars 1764, les jésuites doivent renoncer à leurs vœux sous peine de bannissement.
Clément XIII répond par une protestation contre la violation des droits de l'Église et casse l'arrêt de 1762.
Mais les ministres de Louis XV ne peuvent permettre qu'on annule ainsi une loi française et Louis XV signe un acte de dissolution de l'ordre dans tout le royaume à fin novembre 1764.
Cette dissolution consterne les enfants de Louis XV de France.
Mariage de Louis XVI avec Marie-Antoinette d'Autriche
Pour consolider l'alliance franco-autrichienne, Florimond-Claude de Mercy-Argenteau négocie le mariage de Louis XVI avec Marie-Antoinette d'Autriche.
Florimond-Claude de Mercy-Argenteau essaie vainement de refréner les goûts dispendieux de la jeune femme devenue reine.
Louis XVI épouse dans la chapelle royale à Versailles le 16 mai 1770 Marie-Antoinette d'Autriche, fille de François III Étienne de Lorraine et de Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg. Leurs enfants sont :
Cette union est la concrétisation d'une alliance visant à améliorer les relations entre le royaume de France et l'Autriche. Le mariage ne sera consommé que 7 ans plus tard.
Lors de ce mariage, Marie-Louise de Savoie-Carignan rencontre Marie-Antoinette d'Autriche.
L'Opéra Royal est inauguré à Versailles à l'occasion du festin royal.
Le 31 mai 1770, un feu d'artifice est tiré sur la future place de la Concorde à Paris pour le mariage de Louis XVI avec Marie-Antoinette d'Autriche.
Les décorations en bois prennent feu.
La foule applaudit, lorsque les cris des ouvriers, périssant au milieu des flammes, l'avertissent.
Un mouvement de terreur se déclenche parmi les 100 000 de spectateurs qui entourent les échafaudages
Le principal débouché de cette place, la rue royale est alors en construction. Elle est encombrée de matériaux, des fossés profonds sont demeurés ouverts.
Une demi-heure est nécessaire pour que la foule s'écoule.
On trouva 133 cadavres et un grand nombre de blessés. Lorsqu'on a recueilli tous ceux qui sont tombé dans les fossés et tous ceux qui sont étouffés dans d'autres endroits encombrés, on porte à 1 200 le nombre de victimes.
Louis Antoine de Gontaut-Biron est pris dans la bagarre et va périr étouffé.
Des soldats des gardes le reconnaissent dans cette foule affolée.
Aussitôt ces braves font à leur vieux colonel un rempart de leur corps et, au prix de mille périls, le tirent de la presse sain et sauf.
Marie-Adélaïde de France veut se concilier Marie-Antoinette d'Autriche, contre Jeanne Bécu.
Elle y aurait réussi si l'impératrice Marie-Antoinette d'Autriche, mère de la dauphine, ne s'était pas opposée à cette entente.
Instruction destinée à Louis XVI
Marie-Adélaïde de France est dépositaire des papiers de Louis-Ferdinand de France et de Marie-Josèphe de Saxe, ainsi que d'une instruction destinée à Louis XVI.
Ce document est ouvert le 12 mai 1774 dans un petit conseil de famille, en présence de Louis XVI.
Il désigne 3 premiers ministres possibles :
Empierrement du Chemin des Dames
Dans les années 1780, Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France, les filles de Louis XV, empruntent le mauvais chemin de crête qui relie le carrefour de l'Ange Gardien à Corbeny, pour se rendre au château de la Bove à Bouconville, chez leur amie Françoise de Châlus.
À leur demande, le chemin est empierré. Il prend alors le nom célèbre de Chemin des Dames.
Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France à Bellevue
Après le 6 octobre 1789, Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France, seules enfants survivants de Louis XV, doivent quitter Versailles et s'installent à Bellevue, près de Meudon, château offert par Louis XVI, leur neveu, plutôt qu'aux Tuileries.
Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France en Italie
Les lois contre l'Église incitent Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France à fuir la France pour rejoindre l'Italie le 20 février 1791.
Leur départ suscite une certaine émotion.
François de Narbonne-Lara émigre en même temps que Victoire Louise Marie Thérèse de France et Sophie Philippine Élisabeth Justine de Franc, les filles de Louis XV dont il est l'aumônier.
Elles sont arrêtées et retenues quelques jours à Arnay-le-Duc, mais Honoré-Gabriel Riqueti les défend devant l'Assemblée et elles peuvent parvenir en Savoie.
Elles arrivent à Rome le 16 avril 1791 où elles rencontrent le lendemain de leur arrivée, en audience privée, le pape Pie VI.
Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse à Rome
En 1791, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara accompagne à Rome les tantes de Louis XVI : Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse.
Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France
La montée au pouvoir de Napoléon Ier et ses conquêtes contraignent Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France à fuir à Naples en 1796.
Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France à Corfou
Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France fuient à Corfou en 1799.
Mort de Victoire Louise Marie Thérèse de France
Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse de France fuient à Trieste.
Victoire Louise Marie Thérèse de France y meurt le 7 juin 1799.
Mort de Marie Adélaïde de France
Marie-Adélaïde de France meurt à Trieste le 18 ou le 27 février 1800.
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